Arlequin valet de deux maîtres

si le théâtre a joué le même rôle. Problématique : le théâtre peut-il avoir un rôle politique et moral ? I - Analyse du titre de la pièce. Cours dialogué. On demande aux élèves ce qu'évoquent les deux mots du titre pour montrer qu'il constitue une antithèse. On les interroge sur les différentes périodes historiques qui correspondent à l'esclavage. On analyse la préposition " de " : caractérisation ou appartenance ? Le titre propose de traiter une

Salluste à la main." jusqu'à la fin de la scène. Introduction Ruy Blas, homme du peuple et valet, est devenu premier Ministre du royaume, à la faveur d’une machination fomentée par son maître, Don Salluste. Ruy Blas est secrètement amoureux de la reine. Généreux et désintéressé, il dénonce la corruption de l’état mais vient de se voir obligé, par le retour de Don Salluste, (ironiquement déguisé en valet à cause de son bannissement) à avouer sa modeste identité à la reine. 

Problématiques : 
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pièce se déroule sur une île de la Grèce, sur laquelle la relation entre valets et maîtres est inversé. C’est là qu’échouent Arlequin et son maître Iphicrate, ainsi qu’Euphrosine et sa suivante Cléanthis. Dès leur arrivée, ils doivent échanger leur position sociale et leur rôle, selon la loi établie par les esclaves révoltés qui ont crée l’île. Trivelin, gouverneur des lieux, est le garant de cet ordre. Il veille à ce que les maîtres donnent leur nom, leurs habits et leur rang à leurs serviteurs. Les

prétendant arrive donc chez M.Orgon, qui était au courant de la supercherie, déguisé en un valet nommé Bourguignon et son valet Arlequin se fait passer pour Dorante. Ce jeu « d’amour et de hasard », prend tous son sens lorsque Silvia et Dorante se rendent comptent qu’ils sont attirés par une personne de classe sociale inférieure à la leur et que Lisette et Arlequin séduisent chacun la personne qu’ils pensent être un maître ou une

pièce où Marivaux allie batifolage et comique. La scène fait partie du dénouement de l'enjeu de la pièce, en effet, l'enjeu était le mariage de deux jeunes nobles (Silvia et Dorante) réticents à l'engagement. Pour s'assurer que s'ils se mariaient leur décision serait la bonne, ils décident d'échanger de place avec leurs valets respectifs (Lisette et Arlequin), en ne mettant en courant que ceux-ci ainsi que leurs pères respectifs. La scène six se passe donc après la révélation du secret de Dorant à

personnages, dans « l’île des esclaves ». Le lecteur ignore où se situe géographiquement cette île ; il sait, en revanche, qu’elle joue un rôle politique important puisqu’elle accueille, « depuis cent ans » , « des esclaves » révoltés contre leurs maîtres (L.2932). A ce lieu qui n’est objet d’aucune localisation s’oppose la ville d’Athènes d’où les naufragés sont originaires. Cette dernière n’est qu’un ailleurs que les protagonistes de l’action se contentent d’évoquer. Elle n’en reste pas moins

neveu de Monsieur Rémi, amoureux d’Araminte et qui devient son intendant pendant la pièce * Arlequin : valet d’Araminte * Marton : suivante d’Araminte * Dubois : ancien valet de Dorante, au service d’Araminte * Le Comte Dorimont : en querelle au sujet d’une terre, il souhaite épouser Araminte, afin notamment d’éviter le procès envisagé pour régler la querelle ACTE 1 : Scène 1 : Arlequin accueille Dorante chez Araminte. Il fait un peu trop de manières et insiste trop auprès de Dorante

scène 2, on assiste à trois étapes du renversement des rôles entre maîtres et valets qui sont :· Iphicrate est dépouillé de son épée, symbole de son pouvoir, par ordre de Trivelin et il est contraint de la céder à Arlequin ( p. 16, l. 5-7) « Prenez cette épée, mon camarade, elle est à vous ». Notons qu’Iphicrate avait perdu son gourdin dans la chaloupe (scène 1). Le gourdin et l’épée ces objets symboliques des rapports entre maître et esclave est perdu.· L’échange ( des noms ) des identités : « Eh

personnages, que l'on peut fréquemment observer entre ce qui est ouvertement dit entre eux et ce qu'ils pensent. Ces pensées prennent alors la forme des fameuses apartés. On remarquer particulièrement cela dans la scene 7, acte 1 « Quel homme pour un valet ! », ce très simple apparté appartient à Silvia qui juste après dit pourtant (cette fois tout haut) « Il faut pourtant qu'il s'éxecute ; on m'a prédit que je n'épouserais jamais qu'un homme de condition, et j'au juré depuis de n'en écouter jamais

défense de Martine mais elle protège son mari car elle va se venger des coups que Sganarelle lui donne. Pendant ce temps, deux domestiques, Valère et Lucas, cherchent un médecin pour soigner la fille de leur maître qui est devenue muette. Le plan de Martine est de faire passer son mari pour un médecin qui résout tout. S’ensuivent des quiproquos entre Valère, Lucas et Sganarelle. Les deux domestiques lui donnent des coups de bâton comme l’a dit Martine pour qu’il avoue qu’il est médecin. À bout de forces