Arlette Laguiller

politique française et les luttes sociales. Deux figures sont particulièrement populaires en raison de leurs fréquentes apparitions télévisées et de leur score électoraux élevés à l’échelle de l’extrême gauche mondiale : Olivier Besancenot et Arlette Laguiller. Ce courant se caractérise par la stabilité de trois courants majeurs depuis les années 1953-1956, malgré les changements de noms : la Ligue communiste révolutionnaire (section française de la IVe Internationale), Lutte ouvrière (ou Union communiste

39 49,19 Valéry Giscard d'Estaing 8 326 774 27,21 32,6 13 396 203 43,78 50 81 Jacques Chaban-Delmas 3 857 728 12,61 15,11 Source : Bulletin officiel du Ministère de l'Intérieur, mai-juin 1974. Jean Royer 810 540 2,65 3,17 Arlette Laguiller 595 247 1,95 2,33 René Dumont 337 800 1,1 1,32 Jean-Marie Le Pen 190 921 0,62 0,75 Emile Muller 176 279 0,58 0,69 Alain Krivine 93 990 0,31 0,37 Bertrand Renouvin 43 722 0,14 0,17 Jean-Claude Sebag 42 007 0,14

république s'est affronté au tant de candidats pour le 1er tour. Les candidats étaient les suivants : François Bayrou, Olivier Besancenot, Christine Boutin, Jean-Pierre Chevènement, Jacques Chirac, Daniel Gluckstein, Robert Hue, Lionel Jospin, Arlette Laguiller, Corinne Lepage, Jean-Marie Le Pen, Alain Madelin, Noël Mamère, Bruno Mégret, Jean Saint-Josse et Christiane Taubira. Les 16 candidats présents pour le premier tour des élection 2002. L'affiche des 3 candidats, ayant obtenu les meilleurs

plusieurs mouvements de gauche dissidents. - Les écologistes et les Trotskystes : Antoine Waechter se présente sous les couleurs écologistes. L’extrême gauche Trotskyste doit quant à elle compter sur deux candidatures : Pierre Boussel et Arlette Laguiller. C. Les résultats du premier tour. Un double enseignement pour la droite : - Avec 36,5% des suffrages, la droite parlementaire est en fort recul : en 1981, elle obtenait 49,3% des suffrages et 44,8% lors du premier tour des législatives

plupart des candidats à l’élection Présidentielle se positionnent pour empêcher l’accès de Jean Marie Le Pen à l’Elysée. On note par exemple le parti communiste en passant par le parti “Chasse, pêche, nature”, les Ecolos ou bien l’UMP. Seule Arlette Laguiller, de “Lutte Ouvrière” n’appelle pas à voter Jacques Chirac. IL FAUT QU ON AIT DEJA POSE LE CADRE Ce dernier est le représentant de la droite mais la gauche, pour faire “barrage” à l’extrême droite n’hésite pas à inciter les électeurs de voter

débat. Candidats 12 candidats (un record): personnages principaux: François Mitterrand, Valéry Giscard D'Estaing ; seconds rôles: Jacques Chaban-Delmas ; figurants: Jean Royer ( droite, maire de Tours, ministre de l'Artisanat et du Commerce) , Arlette Laguiller, René Dumont (écologiste), Jean-Marie Le Pen (Front National, ex-député poujadiste), Emile Müller (maire de Toulouse, social-démocrate), Alain Krivine ( trotskiste), Bertrand Renouvin (monarchiste ), et deux fédéralistes (programmes européens)

plupart des femmes politiques vont toutes suivre le même parcours sous la Vème. De l’ENA à un cabinet ministériel à une entrée au gouvernement jusqu’à une entrée au Parlement, les femmes entrent dans la compétition présidentielle. Par exemple, Arlette Laguiller a été la première en 1974, et ensuite que des candidates de petits partis jusqu’en 2007 avec Ségolène Royal. C. La loi du 6 juin 2000 sur la parité La deuxième phase dans la féminisation du champ politique était la loi du 6 juin 2000

communiste Georges Marchais, qui descend à 15 %. Ce n’est que le début d’une longue chute. À l’élection présidentielle de 2002, le communiste Robert Hue reçoit moins de 4 % des suffrages, et il est devancé par deux candidats d’extrême gauche, Arlette Laguiller et Olivier Besancennot, ainsi que par le candidat des Verts, Noël Mamère. En 2007, Marie-Georges Buffet n’atteint même pas les 2 %. Alors qu’il a été pendant près de quarante le premier parti de la gauchefrançaise, la question de l’existence

rassemblé tous ceux qui s'opposaient aux communistes. Pendant longtemps la centrale a été dominée par les socialistes mais elle accueillait aussi des militants anarchistes[2] et trotskystes, en particulier proches de l'OCI ou de Lutte ouvrière (Arlette Laguiller) et même des gaullistes. FO reçoit le soutien logistique et financier de syndicats belges, allemands, et de l'AFL-CIO américaine sous l'égide de son tout récent FTUC (Free Trade Union Committee) et d'Irving Brown[3],[4],[5], membre éminent de

populaire. On trouve dans cette catégorie les documents 4 et 9. Il s’agit d’une interview – dans les années 1970 – de Ferdinand Béghin, un grand patron français qui n’a personnellement pas tiré profit de cette période et d’un discours d’Arlette Laguiller lors d’un meeting en 2002 où elle affirme que le Front populaire n’est pas un bon gouvernement parce qu’il a fallu que la classe ouvrière descende dans la rue pour obtenir des avancées sociales ; - ceux qui restent plutôt neutres vis-à-vis du Front