Armand Salacrou

Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Non, malgré certaines ressemblances, la représentation du « sauvage » est très différente entre Cartier et Lahontan. |Argument principal 1 | |     Les deux hommes veulent, tous les deux, documenter les coutumes et habitudes de vies des amérindiens. Ils veulent transmettre aux | |Européens ces informations qui se

Le Quartier Latin Les Romains, après avoir conquis en 52 av JC la tribu des Parisii installée sur l'ile de la Cité, s'étendent peu à peu sur la rive gauche de la Seine sur l'actuelle montagne Ste-Geneviève qui tire son nom de celle qui galvanisa les habitants de Paris lors des invasions barbares. Les Romains y construisent des Thermes, un Forum, un Théatre, un Amphithéatre, un Aqueduc ainsi que des axes routiers (actuelle rue St-Jacques). On peut encore découvrir aujourd'hui des vestiges de cette

Vanité ou Allégorie de la vie humaine Philippe de Champaigne Première moitié de XVII ème siècle Pierre-André Struffi 4ème B L’auteur Philippe de Champaigne Peintre français classique, il nait dans une famille pauvre à Bruxelles le 26 mai 1602. C’est un élève de Jacques Fouquières, peintre paysagiste à Bruxelles. En 1621, il s’installe à Paris et en 1625, il commence à travailler pour son compte. Il participera à la décoration du Palais du Luxembourg et du carmel du

d'inspirer des exploits héroïques aux braves. · M. de Tréville, capitaine des mousquetaires du roi : Jean-Armand du Peyrer, comte de Tréville[->46] · Mme de Chevreuse[->47] ; · D'Artagnan : Charles de Batz de Castelmore D'Artagnan[->48] avait treize ans en 1625, date à laquelle Dumas situe le début du roman. Il aurait eu 15 ans au moment du siège de La Rochelle[->49] ; · Athos : Armand de Sillègue d'Athos d'Autevielle[->50] ; · Porthos : Isaac de Portau[->51] ; · Aramis : Henri d’Aramitz[->52]

| |Malgré la vision commune des auteurs sur leur mode de vie et leurs actions simples, il y a plus de 150 ans qui séparent leurs ouvrages. | |L’explorateur décrit sa première rencontre avec le peuple amérindien alors que Louis Armand de Lom D’Arce les côtoie depuis une dizaine | |d’années. | |Sous-argument 3.1

Fiche auteur Pierre Corneille (1606-1684) Période et mouvement littéraire : orientation générale de l’œuvre Corneille est , avec Molière et Racine , l'un des trois grands dramaturges français du XVII siècle .Il a écrit des tragédies , comme le Cid ou Horace , mais aussi bon nombre de comédies . Pierre Corneille s ' est démarqué de ses contemporains par une œuvre théâtrale riche et particulièrement moderne . D'abord fortement inspiré par la comédie , il glissera

2 : Rédaction de l’introduction Le XVIe siècle est reconnu pour les débuts de la littérature québécoise dont il est possible de retracer aujourd’hui à l’aide de plusieurs récits de voyages des explorateurs. Parmi ceux-ci, Jacques Cartier et Louis-Armand de Lom D’Arce ont écrit les premiers textes à témoigner du territoire que nous habitons, donc ils ont une valeur très particulière. De plus, ces textes prennent une forme assez littéraire dans la manière dont ils s’y prennent pour décrire les Amérindiens

Dissertation : Le Cardinal de Richelieu Armand Jean du Plessis, dit le Cardinal de Richelieu, a vécu de 1585 à 1642 en France. Il a été Premier Ministre du roi Louis XIII et il s’est rapproché de la mère de ce dernier, Marie de Médicis, pour satisfaire ses ambitions de pouvoir.1 Le Cardinal de Richelieu ne fut pas très aimé par la cour française, principalement à cause grand pouvoir qu’il exerçait auprès de Marie de Médicis, qui fut régente depuis la mort de son mari en 1610, et de son fils

Anne est l’aînée du couple royal espagnol. Contrairement à l’usage du temps qui prônait une séparation des enfants de leurs parents, Anne mène une vie calme et ordonnée, entourée de l’affection de sa famille3. Elle grandit au palais royal de l’Alcázar à Madrid où ses parents, très pieux, lui donnent une forte éducation religieuse. La jeune Anne visite des couvents et passe des journées entières penchée sur des reliques. Elle s’attache à ses frères et sœurs et plus particulièrement à Philippe (futur

Pendant les cinq ans qui suivirent la première mise en scène, la pièce eut un million de spectateurs à Paris, un nombre immense pour une pièce rompant complètement avec toute convention théâtrale classique (Ibid, p. 39). Le dramaturge français Armand Salacrou (1899-1989) écrit après les premières mises en scène (cité dans Ekbom) : 6 Nous avons attendu cette pièce, une pièce de son époque avec un nouveau ton et une langue simple et naturelle. En attendant Godot n’est pas un coup de chance temporaire