Armes de destruction massive en Irak

importantes. Etudier les impacts économiques des guerres c’est donc analyser quelles sont les répercussions des conflits armés, les réactions en chaîne qui s’ensuivent et quels sont les conséquences sur les pays en guerre et au niveau mondial. Pour soutenir notre analyse, nous prendrons comme étude de cas les deux guerres en Irak et nous nous appuierons sur certains conflits armés entre Etats afin de répondre à la question suivante : existe t-il une guerre rentable ? Quels sont les causes explicatives

l'agression subie, elle-même définie comme l'attaque du pays par des troupes régulières (arrêt de la CIJ sur les activités militaires et paramilitaires au Nicaragua, 27 juin 1986) ou comme l'envoi par un État ou en son nom de bandes et de groupes armés contre un autre État d'une gravité telle qu'il équivaut à une véritable agression accomplie par des forces régulières. La légitime défense est une faculté provisoire de riposte immédiate à l'agression, dans la mesure et pendant la durée nécessaires

grands (EU, URSS, Angleterre, France) disposaient du droit de veto. Le veto a été utilisé plus de 190 fois entre 1945 et 1991. L’ONU a le droit d’ingérence. Elle peut intervenir dans un pays. 2) La guerre du Golfe L’Irak sort de la guerre Iran-Irak. L’Irak endetté a décidé d’envahir le Koweït pour mettre main sur les richesses pétrolières et les dettes auprès du Koweït. L’ONU condamne cette intervention. Une coalition internationale est mise en place par les forces américaines, britanniques

téléphone rouge entre Soviétique et américains. On parlait de coexistence pacifique côté URSS. * 1963 – 1979 : détente entre les deux superpuissances. Conclusion début 70’s de l’accord SALT (1 en 1972 et 2 en 1979) qui instaure une limitation des armes. Strategic Arms Limitation Talk. * 1979 – 1985 : nouvelle intensification des tensions. En 1979, intervention soviétique en Afghanistan ce qui fait redémarrer la guerre froide. * 1986 – 1991 : désengagement de l’URSS. * Durant ces

{text:soft-page-break} II. Une réaction populaire intense. Nous cherchons à savoir quels effets ont eu les attentats sur le peuple américain. Nous verrons comment le nationalisme extrémiste a petit à petit laisser place à un sentiment de peur face à la guerre en Irak. 1.Pro-américanisme et patriotisme: Les États-Unis ont toujours été patriotiques. Il est dans la culture américaine d'aimer son pays, en chantant l'hymne « God bless America » ou en mettant par exemple, le drapeau américain aux fenêtres des maisons

ont cédé à cause de Hiroshima et Nagasaki. C’est la menace qui donne le contenu de la domination L’échec de la menace mène à la bataille La bataille c’est ce qui vient quand tout le côté politique a échoué. L’objectif de la bataille c’est la destruction en masse. L’enjeu de la bataille c’est de redonner une crédibilité supplémentaire à la menace, ça reconstitue le rapport politique. Il peut y avoir des guerres qui se gagnent sans avoir à livrer bataille. Exemple : les accords de Munich  signés

permettant ainsi d’y inclure les attentats du 11 septembre. En effet, comme le souligne Serge Sur qui souligne aussi que le Conseil de sécurité n’est pas lié par les résolutions de l’Assemblée générale, on peut différencier entre les armes par destination et les armes par nature ce qui permet ainsi de qualifier les aéronefs d’armes. Mais certains auteurs ont aussi avancé l’argument selon lequel il n’y avait pas agression armée car l’agression n’était pas le fait d’un Etat. Pour cela ils s’appuient

dossier n°5 réfléchissent sur le néo-impérialisme en se demandant si l’intervention des Etats-Unis en Irak peut être qualifiée de politique impérialiste. Il apparait à travers cela une vision qui place les Etats-Unis comme puissance hégémonique et qui renvoie au second plan les Etats de la zone transatlantique. Cette vision montre que les Etats-Unis, au travers de l’opération « liberté en Irak » ont pris une décision indépendamment des autres puissances alliées et non alliées et que malgré leurs

yeux, de la peau et des muqueuses, y compris à travers les vêtements et à travers le caoutchouc naturel des bottes et masques, durant la Première Guerre mondiale et lors de plusieurs conflits coloniaux, puis, plus récemment, lors de la guerre Iran-Irak. Sous sa forme pure et à température ambiante, c'est un liquide visqueux incolore et sans odeur qui provoque, après un certain temps (de quelques minutes à quelques heures), des cloques sur la peau. Il attaque également les yeux et les poumons. Son

Bordeaux). Ceci n’a pas empêché des frictions de survenir quant au rôle des pays de l’UE au sein de l’OTAN, notamment au moment de la guerre en Irak. En effet, l’OTAN, véritable bras armé des Etats-Unis, est tiraillé par la tentation unilatérale à tendance hégémonique américaine. D’autre part, se pose la question des limites du dispositif américain (guerre en Irak et cyclone) malgré un effort financier nettement supérieur à celui européen. Ainsi se pose t-il le dilemme suivant : L’Europe entend créer