Armes de destruction massive en Irak

Tziganes par les nazis : un crime contre l'humanité Introduction Les deux conflits mondiaux mobilisent la totalité des ressources des belligérants, engagent des armées de millions d'hommes dans une violence extrême, et sont accompagnées de violence massive contre les civils (génocide arménien pendant la 1°GM / Juifs et Tziganes 2°GM) qui imposent l'enjeu de mémoire face à ce nouveau crime : le crime contre l'humanité. Que furent les 2 conflits mondiaux ? Quelles en ont été les conséquences ? Quels en

un climat d'insécurité ou renverser le Gouvernement établi. De plus, la plupart des actions terroristes sont menées contre un Etat. Il est important de définir la différence entre le terrorisme et le crime organisé, bien qu'ils utilisent les mêmes armes. Le crime organisé recherche le profit illicite alors que la déstabilisation des institutions étatiques qui peut en résulter n'est pas leur but final, mais la conséquence de leur stratégie. Mais ces différences entre le terrorisme et le crime organisé

groupes se justifie entre autres par leur financement rendu plus ou moins facile par l’exploitation des ressources naturelles minières plus essentiellement que renferment les circonscriptions où ils opèrent. Ceci justifie le fait que certains groupes armés ne s’installent que dans des territoires où l’on enregistre la présence des potentialités naturelles pouvant leur permettre de s’autogérer. De ce qui précède, la violence armée pourrait être considérée comme le cerveau moteur de l’exploitation des

juste ? Le terrorisme peut-il constituer une méthode de guerre juste ? « La guerre est ce qu’il y a de pire pour l’humanité. Elle provoque la mort et la mutilation d’êtres humains, la perte de leurs pouvoirs et leur défiguration. Elle […] cause la destruction des civilisations, suscite la haine et le ressentiment dans les peuples et transmet des problèmes psychologiques aux générations futures »1. Ces mots d’Imam Shirazi sont typiques du langage des leaders religieux, quels qu’ils soient2. Le discours

le capitalisme –, un système politique – la démocratie –, une langue : l’anglais. A chaque phase de mondialisation, on retrouve les mêmes constantes : révolution des transports et des moyens de communication, rôle stratégique des innovations (les armes à feu au XVe siècle, la conteneurisation après la Seconde Guerre mondiale, Internet depuis les années 1990), rôle essentiel des Etats mais aussi des acteurs privés, depuis le capitalisme marchand de la bourgeoisie conquérante à la Renaissance jusqu’aux

mort inévitable (...) Dans ces conditions, l'emploi de ces armes serait contraire aux lois de l'humanité". Les conférences de La Haye de 1899 et 1907 élargissaient l'interdiction aux "poisons et armes empoisonnées", ce qui aurait dû empêcher l'utilisation des gaz quelques années après. La Convention de 1907 prohibait aussi le bombardements de civils sans défense, le pillage "même après l'enlèvement d'une place par assaut", la destruction des biens de l'ennemi, et l'utilisation de la traîtrise pour

mesures de sécurité collective décidées par le Conseil de sécurité des Nations Unies, le principe de droit de peuple à l'auto-détermination justifiant et légiférant la guerre de libération (3(*)). En dépit de cette interdiction, de nombreux conflits armés continuent à faire rage. Aujourd'hui, les Etats reconnaissent que le Droit International Public, doit prendre en compte cette réalité internationale non seulement en combattant ce phénomène, mais aussi en le régulant pour garantir un niveau d'humanité

pas toujours le cas : changements pacifiques : - réunification de l’Allemagne - dislocation de l’URSS - création des USA - construction européenne Mais meme s’il y a ces procédures pacifiques, la guerre est toujours un moyen (Irak). Encore aujourd’hui nous vivons dans l’héritage de la Seconde Guerre mondiale. • Il existe malgré tout des éléments d’organisation et de stabilité : ⋄ Etat en tant que forme d’organisation politique et sociale et en tant qu’institution interne

Moyen Orient et d'apaiser les tensions qui persistent encore. En effet, à la base, la décision américaine de mener une guerre en Irak, sous le gouvernement de G.W Bush, reposait essentiellement sur des raisons économiques, stratégiques et politiques mais aussi, et surtout, sur une motivation irrationnelle qu'était la soi-disant détention d'armes de destruction massive par l'Irak, pays à l'origine des attentats du 11 septembre 2001 à New York, cette ultime raison n'ayant été, comme on le sait maintenant

acteurs prévisible + conflits limités (= conflits d’intérêts) et possibilité de compromis - systèmes hétérogènes : Au moins 2 types de valeurs irréductibles + Conflits plus fréquents + violence pas limitée + conflit achevé par la conversion ou la destruction des acteurs 3 modèles de systèmes : • système unipolaire : 1 seul pôle de décision qui a : • une capacité d’action aussi large que le système • une sphère d’intérêts aussi large que la société internationale • une vision de l’ordre international