Armes de destruction massive en Irak

particulièrement délicate en raison de l'incohérence même des arguments avancés par le gouvernement Bush. Ce dernier a tour à tour donné pour justification à la guerre la destruction des armes dites de destruction massive détenues par Bagdad, puis le " changement de régime " en Irak après que l'action des inspecteurs eut montré que le problème des armes pouvait être résolu par des moyens pacifiques, enfin les liens " possibles " - c'est-à-dire virtuels, imaginaires, voire à venir - de Saddam Hussein avec al Qaeda

complétant le dispositif d’encerclement du communisme. : ANZUS (Austral, NV Z +USA) en sep 1951, l’OTASE(organisation des territoires de l’Asie du SE = Australie, NZ, Pakistan, Thaïlande, Philippines, F, GB, USA) en 1954, pacte de Bagdad en 1955 (Turquie, Irak, Iran, Pakistan, GB) on a pu parler de "pactomanie" de la part de la puissance américaine : le bloc occidental est ainsi renforcé. Les Américains sont sur tous les fronts : crises à Berlin (1948-49 avec le blocus, 1961 avec le mur, doc 3p 203)

restaient exclus de la coopération.  ● La rédaction de la stratégie européenne de sécurité prend place dans un  contexte particulier : l’opposition des Européens à participer à l’intervention  militaire en Irak.  ● Les menaces identifiées par le terrorisme semblable a celles des Etats Unis :  ○ Terrorisme, prolifération des armes de destruction massive, conflits  régionaux.    ● La sécurité ne dépend pas uniquement de menaces directes : particularité  européenne. Mais d’enjeux plus profonds comme la pauvreté ou la maladie dans 

retard considérable dans le domaine des nouvelles technologies, ne peut rivaliser. En janvier 1986, Mikhaïl Gorbatchev, qui veut se consacrer à la modernisation de son pays — condition du maintien de sa puissance —, propose l’élimination de toutes les armes nucléaires avant l’an 2000. En 1987, un accord met fin à la bataille des euromissiles ; l’élimination de tous les missiles nucléaires d’une portée de 500 à 5 500 km est programmée pour le 1er juin 1991. Le 6 juillet 1989, Gorbatchev annonce devant

IRAK Afficher la liste complète (26 médias) Les structures géologiques qui, d'une certaine manière, dessinent d'avance la biographie des peuples révèlent qu'entre l'Europe et l'Extrême-Orient les liaisons n'ont pu se faire aisément que dans la direction sud-est - nord-ouest (et réciproquement), c'est-à-dire précisément suivant l'orientation du Tigre et de l'Euphrate, les fleuves jumeaux de la Mésopotamie. C'est par le golfe Persique et la mer Rouge, bien mieux que par les routes de l'Iran barrées

lorsqu'elle ne comporte pas de destruction de vies humaines, elle n'est qu'un conflit ou un échange de menaces. » Selon Karl Von Clausewitz, la guerre est un conflit armé opposant au moins deux groupes militaires organisés réguliers2. Elle se traduit ainsi par des combats armés, plus ou moins dévastateurs et implique directement ou indirectement des tiers. Elle qualifie donc tous les conflits, qui ont pour principales caractéristiques, la force physique, les armes, la tactique, la stratégie ou la

la souveraineté du Koweït. Le 17 janvier 1991, les États-Unis, à la tête d’une coalition de 29 nations, déclenche l’opération « tempête du désert ». L’Irak bombardé est rapidement vaincu. Il est placé sous embargo et doit détruire ses armes de destruction massive sous le contrôle de l’ONU. L’effondrement du communisme rompt l’équilibre de Sarajevo qui éclate en cinq États : Slovénie, Croatie, Bosnie-Herzégovine, Serbie-Monténégro et Macédoine. La Croatie proclame son indépendance en mai 1991

les empires centraux (Allemagne, Autriche-Hongrie) Dans le Nord de l'Italie à partir de 1915 entre l'Italie et l'Autriche-Hongrie. Autour de l'empire ottoman : dans le Caucase face à la Russie, en Égypte entre les Anglais et les Ottomans, en Irak, en Grèce à Salonique à partir de 1915. A l'Ouest, la guerre peut se résumer en 3 phases : - 1er phase : Août à novembre 1914 : guerre de mouvement, offensive allemande qui progresse jusqu’à 50 km de Paris, elle est arrêtée sur la Marne. Les

conflit qui opposa l'Irak de Saddam Hussein à une coalition de 34 États, soutenue par l'Organisation des Nations unies entre 1990 et 1991.Il d’abord important de faire un bref rappel sur les causes du conflits. L’Irak, très affaibli par la guerre Iran-Irak, a d'énormes dettes par rapport à certains de ses voisins arabes, notamment quinze milliards de dollars au Koweït, pays avec lequel l’Irak entretient de mauvaises relations depuis sa création en 1961 car il lui bouche la plus grande partie du golfe

l'établissement de la paix durable. Cette résolution n'est toujours pas appliquée par Israël. Au Liban les casques bleus ne parviennent pas à maintenir la paix. En 1988, Perez de Cuellar (secrétaire général) joue un rôle de médiateur dans le conflit Iran-Irak. Conclusion : L'ONU participe au processus de décolonisation, elle est aussi un peu le jouet des deux grands dans le cadre de la guerre froide. Mais déjà s'affirme sont rôle dans le maintien de la paix. Dans ces domaines, l'ONU connaît des échecs