Armes de destruction massive en Irak

justifier que les compagnies britanniques puissent sortir perdantes en Irak (...) si la Grande-Bretagne devait être un allié proéminent du gouvernement américain durant la crise. » La ministre a alors promis « de rendre compte aux compagnies avant Noël » du résultat de ses tractations auprès de l'administration Bush à Washington. Le ministère des affaires étrangères britannique invitait BP le 6 novembre 2002 à parler des opportunités en Irak « après le changement de régime ». Dans le compte-rendu de la réunion

jours après, il devra prendre le vol pour Londres à 18h10 • Il attend la tombée de la nuit à l’aéroport • Fin, pendant cette nuit 3. Résumé A Kafr Karam, on continue à vivre normalement, en dépit de la guerre qui fait ravages en Irak. On est loin de celle-ci. Néanmoins, un jour la guerre va frapper aussi ce petit village perdu. Après s’être coupés les doigts, Souleyman doit être ramené à un dispensaire. Son père et le personnage principal l’emmènent en voiture, mais ils sont interpellés

milliards de dollars pour la guerre en Irak en 2003 pour lutter notamment contre le terrorisme. - Lutte contre le terrorisme amorcée en 2001 par l'attaque contre l'Afghanistan, berceau du réseau de terroristes d'Al Qaida, commanditaires des attentats du 11 septembre 2001 amenant à la fin du régime extrémiste taliban. Fin de la dictature de Saddam Hussein en 2003 suite à la guerre d'Irak et élimination avec l'aide de l'ONU des armes de destruction massive en Irak. - Menaces envers la Corée du Nord

le renversement du gouvernement de Saddam Hussein par les armées américaines et britanniques. Elles voulaient aussi détenir tout les armes de destructions massives. Pourtant aucune de ces armes n’étaient présentes en Irak et Saddam Hussein n’a participé à aucun des attentats contre l’Amérique…Ne serait-ce donc pas juste un prétexte pour justifier l’invasion en Irak ? - Prise de mesures de sécurité : survol permanant d’avion de chasse dans l’espace aérien des Etats-Unis -Impact économique important

isréalo-arabe, 1956 guerre de Suez, 1967 guerre de 6 jours où Israël a récupéré les réserves dʼeaux, 1973 guerre du Kippour. Le processus de paix nʼest pas mis en place. 3. Questions dʼactualités dans le monde arabe contemporain a." Les guerres Iran/Irak En 1979, le régime était laïc, et Saddam Hussein était déjà présent au gouvernement. Bien quʼétant laïc, le gouvernement était autoritaire. Les tensions avec lʼIran et surtout lʼayatollah Khomenyi avec le gouvernement irakien ont déclenché une guerre

révolution islamique, rejet du marxisme comme du K, coran et tradition appellent les musulmans à la révolution. La révolution iranienne +deuxième choc pétrolier inquiétude de l’URSS contagion révolutionnaire dans les républiques musulmanes du sud Guerre Irak/Iran 1980/1988 un million de morts enjeu terres riches en pétrole. La menace soviétique 1978 l’Afghanistan devient communiste par un coup d’état militaire. L’URSS intervient militairement contre une rébellion antimarxiste le 17 décembre 1979

qui semble annihilée. Cet étouffement de cette liberté a des conséquences dramatiques. Lorsqu’on évoque la guerre en Irak, il est difficile de ne pas penser à un échec. Combien de civils irakiens, de soldats américains sont morts pour rien. À l’époque où George W. Bush expliquait aux Etats-Unis mais aussi au monde entier que l’Irak abritait de nombreuses armes de destruction massive et lors d’une conférence le 3 juin 2003, que Saddam Hussein entretenait des liens avec Al-Quaïda (responsable des attentats

moins que ce ne soit son habituelle pusillanimité. Les pays émergents sont coupables de ne pas vouloir courir de risques - comme si les va-t-en-guerre de la capitale française en prenaient beaucoup ! Il est vrai qu’à la différence de la guerre en Irak, l’intervention en Libye a été approuvée par le Conseil de sécurité. Mais légalité vaut-elle légitimité ? A la base de la décision se trouve un concept récemment introduit, la responsabilité de protéger la population civile d’un pays contre les agissements

dénoncés comme des « délinquants de la scène internationale». Il s’agit de Cuba, et de la Corée du Nord, derniers bastions communistes, mais aussi de certains Etats du Moyen-Orient soupçonnés d’abriter des groupes terroristes ou de détenir des armes de destruction massive, tels l’Irak, la Libye, l’Iran et la Syrie. La Somalie, le Soudan et le Yémen sont aussi mis en cause. Pour assurer leur sécurité et celle du monde, les États-Unis interviennent militairement à plusieurs reprises dans les années 1990

l’islamisme sont des combattants au nom de Dieu, menant une guerre sainte. Ce terrorisme islamiste a pris une place croissante sur la scène international, ses auteurs le justifie notamment comme une réponse à l’interventionnisme américain notamment en Irak, Palestine etc. … Il a touché des pays aussi où il n’y a pas de troupe occidental, il s’agit alors la de montrer sa puissance à l’Etat afin d’essayer de le déstabiliser. Quelques exemples : l’OAS en Algérie, l’ETA au pays basque, Al-Qaïda …