Arret Chambre Criminel Cour De Cassation 2 Juillet 1998

négligence ou par son imprudence". Il s’agit ici d’une responsabilité quasi-délictuelle car c’est une négligence ou une imprudence qui a causé un dommage. Il y a tout de même une obligation de réparation, donc un lien de droit va naitre. * Dans les 2 cas, il s’agit d’un fait juridique à l’origine du préjudice. C’est un fait qui conduit à s’obliger envers autrui. La responsabilité contractuelle fait également partie de la responsabilité civile. Article 1147 du Code civil = "Le débiteur est condamné

Immixtion de l’État dans la famille (école obligatoire). Ex : 20e siècle  Étatisation de la famille : éducation, protection des mineurs, la politique familiale (allocations familiales, aides aux familles nombreuses…). Il y a ainsi un concours entre ces 2 cellules, famille et État. Et ce concours est aggravé par le rétrécissement de la famille : augmentation des familles monoparentales et nucléaires. Autre phénomène : démocratisation de la famille. Autrefois le pouvoir était patriarcal. Aujourd’hui

Droit des obligations – Partie 2 Arrêt Franck, Jand’heur, oxygène liquide, distinction structure et comportement, arrêt Gabillet, transfert de la garde, les critères de la garde, l’exonération du gardien, l’arrêt Desmares, le fait de la victime et l’exonération du gardien, le rôle causal de la chose, le rôle causal de la chose inerte. Livre 2 : les délits et quasi-délits Les obligations dont il va être question ne sont pas nées à l’occasion d’un contrat. On parle d’ailleurs parfois de responsabilité

Cette solution a été réformé par la cour d’appel de Douai le 17 novembre 2008). - La famille contemporaine: la famille a connu de très profondes mutations ces dernières décennies. Tout d’abord, premier phénomène qui intéresse la stabilité du couple. De plus en plus le mariage se transforme en divorce. Le caractère laïque de la famille s’est traduit par la faculté offerte aux époux de rompre le lien du mariage, l’instrument étant le divorce. Loi du 11 juillet 1975, qui a facilité la rupture du

L’organisation de 1965 resta en place jusqu’au 15 juillet 1974 et elle était composée du tribunal de SADDAD, des tribunaux régionaux, des cours d’appel et de la cour suprême (actuellement cour de cassation). Le 15 juillet 1974, le législateur abolit cette organisation et met en place une nouvelle architecture composée de juges communaux et d’arrondissement, de tribunaux de première instance, de la cour d’appel et de la cour suprême. Dans les années 90, il y ajouta les tribunaux

distinguerait des autres sanctions juridiques ; d’ailleurs c’est la définition qui est donnée par la Cour EDH. Celle-ci adopte une conception strictement matérielle de la peine pour attribuer cette qualité à toutes les sanctions juridiques qui poursuivent un double objectif de répression d’actes contraire à l’ordre juridique et de prévention de ces mêmes actes. C’est toute la notion de matière pénale que la Cour EDH a développée sur le fondement de l’article 6 de la CEDH. Elle va jusqu’à reconnaître que

peine, mais pour cela il faut avoir effectué la moitié de la peine pour les délinquants primaires et au 2/3 pour les récidivistes; ou encore l’amnistie, la grâce, la réhabilitation). § 2 - le droit pénal spécial L’étude du droit pénal spécial, c’est l’étude des différentes infractions dans leur spécificité, une sorte de «catalogue» des infractions qui sont classées par thèmes. Dans le livre 2 du Code Pénal (débutant à l’article 211-1), l’on a les «crimes et délits contre les personnes» : le livre

objet. Définition du Droit pénal : Le Droit pénal général constitue l’ensemble des règles juridiques qui organisent la réaction de l’État vis à vie des infractions et des délinquants. Une précaution sémantique : on entendra aussi parler du Droit criminel. C’est un synonyme. Pour des raisons de connotations politiques et péjoratives, nous utiliserons « Droit pénal ». Chapitre 1e : L’étendue du Droit pénal général Le Droit pénal général étudie les textes à valeur répressives qui déterminent un

règle de droit. Si le droit subjectif existe et est reconnu par le droit objectif, alors c’est du positivisme. Historiquement, le Jus Naturalisme est dominant. A la seconde moitié du 20ème siècle, c’est la consécration du positivisme. La DDHC, article 2 : les droits naturels et imprescriptibles de l’homme sont la liberté, la propriété, la sureté et à la résistance de l’oppression. Exemple : la pièce de théâtre d’Antigone illustre le positivisme et le jus naturalisme. Le positivisme est plus humaniste

public n’étaient habilités à faire appel de la décision, le pourvoi en cassation basé sur la forme était le seul recours judiciaire. Sinon, la composition et le fonctionnement de la cour d’assises était le même qu’aujourd’hui. Trois magistrats et neuf jurés tirés au sort était habilités à prendre la décision fatale, mais l’avis du président jouait un rôle prépondérant (d’autant qu’il était le seul des douze membres de la cour ayant par la suite l’obligation d’assister à l’exécution). Bien que cela