Arrêt Barras

bloquée. Toutefois, il rencontre très vite Paul Barras, le plus puissant des Directeurs, qui le voit comme un soutien dans le milieu militaire. Bonaparte fait échouer un coup d’Etat royaliste à Paris en 1796 pour le compte de Barras, il fait alors preuve de tactique et d’adaptation à des circonstances exceptionnelles. Les royalistes le surnomme alors le « général républicain ». En échange du grade de général et du mariage avec Joséphine de Beauharnais, Barras lui confie le commandement de l’armée d’Italie

des riches. Il est pour une stricte égalité. Le Directoire fait fermer le club du Panthéon le 27 Juillet 1796 par le général Bonaparte, la légion de police est dissoute mais Babeuf organise « la conspiration de l’égalité » qui est un échec, il est arrêté le 10 Mai 1796 avec ses complices. Quelque centaine de conspirateurs tentent de monter des soldats au camp de Grenelle le 10 Septembre 1796. B- Le coup d’Etat des 17 et 18 Fructidor, an V (4 et 5 Septembre 1797) C’est un coup d’Etat contre

province protestent, les membres du clergé se montrent aussi solidaires. Au printemps 1788, tous les parlements rendent des arrets hostiles aux décisions de Louis 16. Cette résistance parlementaire, provoque parfois des violences, les + graves ont lieux à Grenoble, au début du mois de Juin 1788, l’intendant décide de fermer le parlement de Grenoble et il envoie la troupe pour arrêter les parlementaires, mais la population attaque la troupe, les habitants ont jeté des tuiles sur les officiers, on l’appelle

noblesse aux États Généraux et préside l'Assemblée Constituante durant les journées de la "Fuite à Varennes" de la famille royale. Sous la Terreur, le ci-devant vicomte est arrêté puis guillotiné et sa mère est emprisonnée mais, libérée après la chute de Robespierre, reprend sa vie mondaine et devient la maîtresse de Barras, l'homme le plus influent du Directoire. En 1795, Hortense entre à douze ans dans la pension de Mme Campan à Saint-Germain-en-Laye puis fréquente à sa majorité la haute société

Toulon . Il est fait général de brigade le 22 décembre. Après cette victoire, il sert en Italie. Ses amitiés avec les jacobins lui valent d’être brièvement arrêté après la chute de Robespierre le 9 Thermidor an II (27 juillet 1794). Libéré, il refuse d'être affecté en Vendée et erre à Paris un temps sans commandement effectif, puis Barras lui demande le 13 vendémiaire an IV de réprimer l’insurrection royaliste contre la Convention nationale. À cette occasion, Bonaparte a sous ses ordres un jeune

sur le Champ de Mars réclame la déchéance de Louis XVI. LaFayette est envoyé pour disperser la foule qui refuse. La garde tire sur la foule : 100 morts. 20 juin 1791 : Le roi et sa famille s'échappent des Tuileries. 22 juin 1791 : Louis XVI est arrêté à Varennes. 25 juin 1791 : Le roi est ramené à Paris et est suspendu de ses pouvoirs. 27 août 1791 : Déclaration de Pillnitz : l'empereur d'Autriche et le roi de Prusse ordonnent que "le roi Louissoit rétabli dans tous ses droits" et menacent d'envahir

obligatoire et la chasse aux suspects touche non seulement les accapareurs ou les nobles mais également les relations des prêtres et des nobles. Les personnes tenant des propos séditieux, les fonctionnaires en arrêt d'activité et les parents d'émigrés sont également touchés. 29% des suspects arrêtés sont issus des classes populaires, 18% sont issus des classes privilégiées, 28% de la haute bourgeoisie et 25% sont des fonctionnaires. Le calendrier républicain Messidor - la moissonneuse assoupie Une

Cette loi entraîne de nombreuses arrestations et des procès expéditifs devant le tribunal révolutionnaire. Ex : Girondins, prêtres réfractaires, royalistes. · Des comités de surveillance révolutionnaire ont les pouvoirs de faire arrêter les suspects sur dénonciation.· Des représentants en mission sont envoyés dans les départements pour épurer l’administration : les personnes suspectées d’être trop modérées sont emprisonnées. La répression militaire du soulèvement vendéen fait plus

les bureaux du Comité. La nuit du 8 au 9 Thermidor, une conspiration visant la chute de Robespierre s’organise. Elle a eu comme déclencheur ce discours. En effet, des anciens représentants en mission rappelés par Robespierre (Tallien, Lebon, Barras…) se sont senti directement menacés. Ils vont alors faire le siège des hommes les plus influents de la Plaine (Boissy d’Anglas, Durant Maillane et Palasne de Champeaux) afin de faire une alliance. Ils leurs promettent la fin de la terreur. Après

Chevalier Teil, ou Principes de la guerre de Montagne de Bourcet… ( stratégie napoléonienne en germe dans ces écrits (avoir la supériorité numérique en un point donné, surprendre l’adversaire par la rapidité de mouvement...). Un jour ou il se fait arrêté, il lit les Institutes de Justinien et quinze ans plus tard, lors de la rédaction du code civil, il parvient à citer des lois romaines grâce à cette lecture ( tire profit et enseignement de chaque détail. C’est d’Auxonne de Bonaparte assiste aux