Art 212

complet, 4 ans en temps partiel Conditions dadmission Matrise les candidats doivent tre titulaires dun Baccalaurat en arts visuels et mdiatiques, et avoir obtenu de bons rsultats scolaires. Doctorat les candidats doivent tre titulaires dune matrise en art ou dans un domaine connexe, ou avoir une exprience professionnelle quivalent des tudes de 2me cycle. Cot des tudes Voir ladresse suivante http//www.unites.uqam.ca/ifinance/frais.html Bourses Pour les tudiants canadiens ( HYPERLINK http//eavm.uqam

véritable visage (un génie composite) derrière un masque (la gasconnade). Ceux qui arrivent à voir à travers ce déguisement, lui pardonneront d’emblée son audace et son outrecuidance, et comprendront que cet homme est digne de la qualité Maestre Certa; son art et son génie resteront pour toujours un brillant exemple. 3. De bon sens vers le folhor Les trois premiers couplets semblent avoir un ton sérieux. Seule une lecture approfondie est susceptible de mettre en évidence qu’il s’agit ici d’une parodie

l’oppose à la critique que l’on appellera, faute de mieux, journalistique est haute en couleurs et en enseignements. Naguère, en effet, le théâtre vivait et mourait par la critique que dispensaient les journaux et leurs censeurs redoutés. Puisqu’il est un art de société1, le théâtre s’expose plus qu’aucun autre genre littéraire et les dramaturges sont davantage aux prises avec les critiques que leurs (con)frères romanciers ou poètes. Plus attaqués que les autres, ils ont dû développer davantage leurs systèmes

idées, des périodes, qui peuvent prétendre à une marque indélébile sur la sinueuse évolution du théâtre au cours du dernier siècle, et au début du nôtre - aucun, peut-être, autant que l'apparition du cinéma, non seulement comme technique, mais comme art et phénomène populaire. Les deux arts ont été immédiatement perçus, et se sont perçus, comme des collaborateurs ou des rivaux potentiels selon les personnes et les moments. Le cinéma s'est défini par rapport à bien des arts : la peinture, la photographie

second (192b21), il la conclut; en troisième (192b23), il explique la définition elle-même. #142. — Il dit donc, en premier, qu'entre tous les êtres, nous disons que certains existent par leur nature, et d'autres par d'autres causes, par exemple, par art ou par hasard. Nous disons qu'existent par leur nature tous les animaux, et leurs parties, comme leur chair et leurs os, et aussi les plantes et les corps simples, à savoir, les éléments qui ne se résolvent pas à des corps antérieurs : la terre, par

promptitude à passer à l’acte est rendue dans la pièce de théâtre dans les didascalies :à la page 22, il nous est dit que « les bruits du galop d’un animal puissant et lourd sont très proche, très accélérés ; on entend son halètement » tandis qu’ à la page 212 c’est à un « troupeau de rhinocéros, allant à une cadence très rapide » qu’on fait référence. La notion de « troupeau » rappelle distinctement la « foule » tandis que la « cadence »se rapproche de l’image d’ « un raz de marée ». Les impulsions d’un

le bon combat, celui des faibles et des opprimés8. Mais, d'égale importance, 6. Comme le dit fort bien William Barrett, Irrational Man : A Study in Existential Philosophy, New York, Doubleday Anchor Books, 1962, chap, in : « The Testimony of Modern Art ». 7. Cf. « Orphée noir », publié en guise de préface à VAnthologie de Senghor (Paris, P.U.F., 1948, nouv. éd., 1969) et reproduit aussi dans Situations III (Paris, Gallimard, 1949) ; la note sur le Portrait du colonisé, précédé du Portrait du colonisateur

entraînant ainsi un effet frisant la farce. -Cécile prend une leçon de danse et, à contrecoeur, elle suit maladroitement les indications de son maître de danse ; - Le maître de danse, qui connaît les mêmes difficultés à enseigner son art que le maître à danser de M. Jourdain, donne l'exemple des figures qu'il entend faire exécuter à Cécile. Ces mouvements, dans leur diversité, renvoient l'image d'un monde déréglé, chaque personnage étant isolé dans son propre automatisme (le cinéma

nihiliste qui marquerait le passage à une autoréférentialité apologétique d’un art pur, essentiel, autonome, ontologique. Puis vient l’art abstrait et surréaliste, dont l’activisme théoricien exalte la modernité au nom du progrès et de la lutte idéologique contre la dégradation de l’art bourgeois et conformiste en marchandise. Le quatrième paradoxe renvoie à la culture de masse de l’expressionnisme abstrait et du pop art qu’Antoine Compagnon dénonce comme un marché de dupes conduisant au règne du kitsch

intégralement ou partiellement le présent ouvrage, sur quelque support que ce soit, sans autorisation de l’éditeur ou du Centre Français d’Exploitation du Droit de Copie, 20, rue des Grands-Augustins, 75006 Paris. © Groupe Eyrolles, 2009 ISBN 978-2-212-54291-2 Sommaire Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .7 Femmes de lettres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .9 Femmes de