Art académique

introduction à Nighthawks : Né le 22 juillet 1882 à Nyack dans l’État de New York et mort le 15 mai 1967 à New York. Etudie à la New York School of Art. Il y aura pour maître à penser le célèbre peintre Robert Henri. Ensemble, ils vont partager une passion pour les peintres français, surtout Edouard Manet parce qu’il refusait les sujets académiques (thèmes religieux,historiques, mythologiques) pour se concentrer sur des sujets qui étaient considérés comme indignes par l’Ecole des Beaux-Arts en France :

temps assez limité généralement. On appelle alors cette période « la bohème », caractérisée par le jeunesse et l'insouciance. Mais vers le milieu du 19éme siècle, ce terme de « bohème » change de sens. Il est important à cette période de faire de son art, une activité professionnelle qui rapporte de l'argent. Ces artistes souhaitent aussi de détacher de la vision trop « originale », trop précaire, trop marginale de l'artiste. Ils veulent mener une vie tranquille, sans encombres et ils rejettent l'inconfort

reconnaître malgrè des contacts bien placés tels que le peintre du roi Louis XV François Boucher. Il est désireux d'exposer au Salon : ce fait pourrait lui ouvrir la porte d'une carrière académique mais surtout des commandes royales ce qui pourrait le faire vivre très confortablement > Pour ce fait, il doit par son art séduire les académiciens. Premier tableau : • Il y parvient grâce à son tableau intitulé : Bélisaire reconnu par un soldat qui avait servi sous lui au moment qu'une femme lui fait l'aumône

Cours histoire de l'art Semestre 2 Cours 1 Bibliographie BLUNT Anthony, Nicolas Poussin et son temps, Rouen, Musée des Beaux Arts, 1961 BLUNT Anthony, Art et architecture en France ; 1500- 1700, Paris, Macula, 1961 CHASTEL André, L'art Français. L'Ancien Régime (1620-1775) Paris, Flammarion, 2000 CHATELET Albert, Peinture française du XVIIIème siècle, Genève, Skira, 1992 DELAPIERRE Emmanuelle ( Dir. ) Rubens contre Poussin. La querelle du coloris dans la peinture française à la fin du

NIEUWERKERKE, Alfred-Emilien, Rapport sur la situation des musées impériaux pendant le règne de S. M. Napoléon III, 1853-1869, Paris, 1869. OLLENDORF, G. et P. DUPRÉ, Traité de l’administration des Beaux-Arts, Paris, 1885, 2 vol. PAUL-BONCOUR, Josephe, Art et démocracie, Paris, Paul Ollendorf, 1912. PROTH, M., Voyage au pays des peintres, Salon de 1875, Paris, 1875, p. 11. PROUST, Antonin, «Edouard Manet», Exposition de l’Ecole des Beaux-Arts, Paris, 1884. *G-D PROUST, Antonin, L’Art sous la République

la possibilité d'une croissance économique et l'occasion de s'ouvrir sur le monde. Une jeune génération de peintres qui accède à l'Europe avec plus de facilités que la dernière, développe sa propre version d'un art inspiré de nécessités intérieures. Cette antithèse individualiste à un art «pour le peuple» (en décadence à l'époque) a été considérée comme le point culminant de la rupture entamée par Tamayo, avec une conception modifiée de la patrie, mais aussi comme une sorte de «narcissisme» auquel

en fait à l'idée de mort. Il n'y a pas à regarder le ciel des idées, mais à en inventer un nouveau, avec de nouvelles idées, et sans cesse et surtout, dans la vie. Les lourds sentiments chargés d'émotion sont à bannir, au profit d'un « autre » art, un art « moqueur, léger, fluide, divinement libre ». La question de la forme est délesté, et les idées mises en avant. Les épopées, abordent toutes les exploits historiques ou mythiques, autour d'un héros admiré ou d'un peuple célébré. Les même thèmes

en 1931, dont le projet lauréat, de Boris Iofan, est un bâtiment à colonnades conçu comme un gigantesque piédestal pour une statue de Lénine: les années 30 ont sonné le glas de l'architecture d'avant-garde en URSS, remplacée par une architecture académique et monumentale. Le Corbusier à l'architecture organique L'oeuvre du Suisse Charles-Edouard Jeanneret, dit Le Corbusier, se fonde sur des principes différents de ceux des architectes allemands, même si l'apparence extérieure de son architecture

La carrière de Brunelleschi résume le cheminement de la plupart des architectes « arrivés » du Quattrocento. Formés chez des artistes (toujours assimilés professionnellement aux artisans), ils apprennent auprès d'eux les rudiments théoriques de leur art : la perspective, l'étude de la nature et la vénération des antiques. Leur formation conserve un caractère autodidacte, et les voyages et la fréquentation des cercles humanistes orientent cette quête d'un savoir où l'homme est devenu la mesure absolue

3°/ L’auteur doit apparaître comme omniscient, ayant une connaissance sans limite de l’histoire. Au contraire pour Robbe-Grillet le romancier est “celui qui invente en toute liberté, sans modèle”. De plus, si les récits prônés par la critique académique représentent un ordre, dès Flaubert tout vacille, et cent ans plus tard le système est dépassé : “raconter est devenu proprement impossible”. Cependant “la recherche de nouvelles structures du récit” n’est pas la suppression de tout événement, mais