Art Danse

Date :11/10/2010 Cycle :IUFM master 2 Effectif :10 étudiants Séance numéro :2 APSA support : danse Durée : 1h30 Matériel :Musique, radio,journaux Objectif de la séance : Créer des formes corporelles à partir d’un inducteur A)Entrée dans l’activité Situation 1 (10 à 15 minutes) ➢ Groupe classe ,faire un cercle et s’allonger au sol Consigne1 : Mettez tout votre poids du corps sur le sol, enfoncez-vous ,fermez les yeux Consigne 2 : Essayer d’étirer

l’éternité et ne cherche pas à dépeindre un homme déjà âgé malgré son visage d’un homme de 64 ans. On voit la représentation de 2 hommes ; le vieil homme qui a vécu (visage vieillit) et celui d’un homme jeune est danseur (jambe d’homme jeune, il aimait la danse) Pourquoi cette mise en scène spectaculaire? Laissons répondre le Grand Roi lui-même: "les peuples [...] se plaisent aux spectacles. Par là, nous tenons leurs esprits et leurs cœurs". Il s'agissait donc d'une arme politique, donnant au monarque un

les dix heures du soir, mais les plus grandes personnalités arrivent « au moment où la fête à dégagé tout sa chaleur » : dans les deux extraits, on voit que la colonel Pallavicino et l’empereur arrivent après les autres invités. Avant de souper, on danse, que ce soit « polonaise en vogue », « mazurkas », « valses » ou « cotillons », et ce sont les hommes qui invitent les dames, et ce sont les gens les plus importants qui ouvrent le bal (l’empereur dans La Guerre et la Paix).Mais déjà avant qu’il ai

«Emporté comme un fétu dans ce tourbillon, j'eus un enfantin désir d'être duc d'Angoulême, de me mêler ainsi à ces princes qui paradaient devant un public ébahi. La niaise envie du Tourangeau fit éclore une ambition que mon caractère et les circonstances ennoblirent. Qui n'a pas jalousé cette adoration dont une répétition grandiose me fut offerte quelques mois après, quand Paris tout entier se précipita vers l'Empereur à son retour de l'île d'Elbe? Cet empire exercé sur les masses dont les sentiments

lorsqu’elle arrive sur la place, tout le monde n’a d’yeux que pour elle. Elle devient l’héroïne principale de récit. A la fin de chaque danse le peuple entier l’applaudit avec amour. A chaque représentation c’est comme un rayon de soleil « tous les regards étaient fixes, toutes les regards étaient fixes, toutes les bouches ouvertes « Au début de l’œuvre toute les apparitions et danse d’Esméralda, laisse un peuple sans voix, et couvert de respect pour cette si jeunes bohémienne, et même jusqu’à la fin ou il

à l’école. Justine rêvait de devenir une Etoile d’Opéra tandis que Mathilde rêvait de devenir un petit rat d’Opéra. Arrivées à la rue Peletier, elles se pressèrent de rentrer dans l’école, chacune des étoiles plein les yeux. Leur passion était la danse et elles ne voyaient que par ca ! Elles se firent tout d’abord gronder. Maître Tolik dit «  Mesdemoiselles, chaque mardi les cours commencent en retard par votre faute. La prochaine fois, nous commencerons sans vous ». Elles baissèrent la tête et filèrent

sur la scène et je ne pensais vraiment pas qu'une scène était si grande et avait autant de hauteur ! Car derrière les rideaux ou le décors, il se trouve encore un énorme espace (qui n'est généralement pas utilisé pour le théâtre mais plus pour la danse). On y trouvait des accessoires qui étaient utilisés pour la pièce qui se jouait le soir même. Au plafond, on distingue des barres de fers, ce sont les cintres. Les cintres servent à tenir un éclairage ou un décors. Chaque cintre est contrôlé par une

de la danse et des mouvements mis à part celle de Thoinot Arbeau, datant de 1588. Entre 1588 et 1700, il n’existe donc pratiquement pas de documents concernant la danse et sa pratique. Cela est bien malencontreux, puisque la danse du seizième siècle, siècle de la Renaissance, se différencie beaucoup de celle que l’on peut voir au dix-septième, siècle de Louis XIV. En France, avant le règne de Louis XIV, les danses les plus anciennes sont le branle et la basse danse. Le branle est une danse de groupe

Les Caprices de Marianne (I,1 : “ Et n’est-ce pas un suicide… sur sa jalousie ”) 1) Une composition en diptyque : Le portrait d’Octave répond à celui que Cœlio a déjà esquissé dans son monologue (“ Malheur à celui… ”) et surtout à celui qui va suivre. Après une série de répliques en parallélismes qui soulignent à quel point les deux personnages se ressemblent mais s’opposent, les deux portraits se présentent comme deux volets complémentaires. La structure même du texte présente Octave et Cœlio

les secrets de la danse Cubaine. A cette époque elle ne se rendait certainement pas compte que ce soldat allait lui sauver la vie étant donne que la danse lui a permis de surmonter toutes les horreurs que la vie lui reservait. C’est seulement à l’âge de 21 ans après avoir économisé assez d’argent pour le retrouver qu’elle se décida de prendre l’avion pour les Etats-Unis afin de le remercier pour cette chose si précieuse que ce Cubain lui avait transmis 13 ans plus tôt, la danse. Mais à son arrivée