Art gothique

« l’invention de la beauté par les grecs », longtemps l’art grec a été une source d’inspiration pour les artistes européens. L’art grec se base sur la forme parfaite, on a un respect permanent pour la proportion parfaite des corps humains. C’est un art de la vie quotidienne qui privilégie la représentation harmonieuse du corps humain. Dés l’antiquité on a associé la beauté au principe de proportions, les grecs manquaient d’une théorie de la beauté. Les philosophes et les artistes européens se sont

la diversité des milieux artistiques fruits de ces rencontres. ← Rencontre style gothique/ modèles antiques. Des artistes polyvalents interviennent sur livres, manuscrits et imprimés ; les mêmes modèles sont employés pour l’illustration des livres ou pour fournir les cartons destinés aux vitraux ou tapisseries. La nouveauté ne se situe pas nécessairement là où nous l’attendrions : l’ornement gothique, à l’époque qualifié de « moderne », et celui issu des modèles de l’Antiquité romaine, qualifié

Le style Gothique. L'architecture gothique ou art français est un style architectural d'origine française qui s'est développé à partir de la seconde partie du Moyen Âge en Europe occidentale. Elle apparaît en Île-de-France et en Haute-Picardie au xiie siècle sous la dénomination

| |3 La rupture avec le classicisme : le préromantisme anglais de la fin du XVIIIe siècle (les Graveyard Poets et le roman gothique) | |4 Le romantisme allemand | |5 Le romantisme britannique

1764), qui ont créé un nouveau genre : The Gothic Novel (le roman gothique). Ce genre reprend le thème de la déchéance de l'être humain et de ses œuvres qu'il croyait éternelles, face à la nature et au temps qui flétrissent et détruisent jusqu'à l'anéantissement de la vieillesse les plus belles vertus de la jeunesse, ne respectant pas même les monuments du passé les plus sublimes, ruines antiques ou médiévales (en particulier gothiques) dans lesquelles de puissants arbres plongent leurs racines destructrices

de Paris , parfois simplement Notre-Dame , est la cathédrale de l’ archidiocèse catholique de Paris . Elle n’est pas la plus vaste des cathédrales fran çaises, mais elle est l’une des plus remarquables qu’ait produites l’ architecture gothique 1 en France et en Europe. La construction s’étant étendue sur de nombreuses décennies (deux s iècles) sur l’emplacement d’anciens temples païens. En 1163 a lieu la pose de la première pierre par le pape Alexandre III alors réfugié à Sens

des Jacobins et quai Louis-Leblanc) Au Moyen-âge, la cathédrale est le monument symbole du pouvoir de l'Evêque. Elle domine la Cité et face au palais des comptes du Maine et ses Plantagenêts, défendeurs du pouvoir politique. A la fois romane et gothique, c'est l'histoire de l'architecture et de l'art religieux médiéval qu'elle vous propose de découvrir. Elle conserve un ensemble rare de vitraux, des statues en terre cuite et une exceptionnelle fresque de 47 anges musiciens qui a inspiré SkertzÓ

par couche, touche après touche sur une surface sèche, opérant comme une texture « granitée », tantôt raclant vers le haut ou en écrêtant les boursouflures des pigments. Au centre de beaucoup de tableaux, la rosace imposante de cette cathédrale gothique, est toujours présente. Devant la vraie cathédrale c’est elle que l’on voit en premier alors que sur les tableaux de Monet elle est presque invisible, on l’a distingue à peine. Pourtant le vitrail étant au centre, elle est la chose qui attire le

Deuxième sens (sens adopté par l'histoire littéraire) | |2 La rupture avec le classicisme : le préromantisme anglais de la fin du XVIIIe siècle (les Graveyard Poets et le roman gothique)| |3 Le romantisme allemand | |4 Le romantisme britannique

fertile en bons esprits qu’ait été aucun des précédents », proclame Descartes. Il l’est effectivement et si bien qu’il se trouve marqué, dans l’ordre intellectuel, par une révolution non seulement comprise, mais voulue. L’époque antérieure est jugée « gothique », c'est-à-dire barbare. Toute la science apparaît à refaire. Ou mieux, à faire. I- L’URBANISME, L’ARCHITECTURE CIVILE ET L’ARCHITECTURE RELIGIEUSE : Ce siècle va faire de l’art français, disciple émancipé de l’école italienne, un maître