Art lyrique

poétique À la source de la poésie, il y a l’inspiration. Celle-ci a longtemps été considérée d’essence divine : le poète, inspiré des dieux, a la faculté de parler spontanément une langue qui ne lui est pas naturelle. « Ce n’est pas en effet par art, mais par inspiration et suggestion divine que tous les grands poètes épiques composent tous ces beaux poèmes. Tant qu’il n’a pas reçu ce don divin, tout homme est incapable de faire des vers et de rendre des oracles. » Platon, Ion Les créatures

je pense à la poésie créatrice la poésie telle que Victor Hugo nous la propose : « Le but de l’art est presque divin : ressusciter,s’il fait de l’histoire ; créer, s’il fait de la poésie. » En effet tout de suite le poète se fait créateur dans cet art puis forme des vers pour donner le plus beau des langages qui existe ! La poésieest presque divine et invente son propre monde, sa musique, ses images, ses mystères et nous le fait vivre grâce à sa lecture, nous le fait sentir pour éveiller tous

Lisle; les principaux poètes : Gautier, Théodore de Banville, Sully Prudhomme (pendant un temps), Coppée, Heredia, Baudelaire (qui dépasse l'école parnassienne et annonce le Symbolisme). [pic]   III- La doctrine:  [pic] Réaction contre les excès lyriques du romantisme : la poésie sera objective et non plus personnelle; impassible et non plus passionnée : « Promène qui voudra son cœur ensanglanté Sur ton pavé cynique, ô plèbe carnassière... » (Leconte de Lisle)  [pic] « Le Poète devrait voir les

Bibliothèque nationale de France direction des collections département Littérature et art 05/05/2009 VASSILY KANDINSKY (1866-1944) Bibliographie sélective Vassily Kandinsky (1866-1944), peintre russe et théoricien de l'art, est considéré comme le fondateur de l'art abstrait dans le courant des années 1910. Aux origines de sa découverte de l'abstraction, se trouve ce récit écrit en 1908 par Kandinsky lui-même, qui évoque le « mythe » fondateur à l'époque où il résidait à Murnau : « C'était

Baudelaire et les Fleurs du mal :Lorsque Baudelaire, poète du XIXème, publie en 1857 la première version de son célèbre recueil, Les fleurs du mal, le romantisme se termine et les Parnassiens sous la houlette de Gautier affirment leur conception de « L art pour l'art ». Baudelaire à la fois héritier de la tradition poétique classique et de la poésie baroque du XVIIème, marqué par le romantisme et admirateur de Gautier, affirme dans ce recueil une conception originale de la poésie qui va complètement

Elle est un art du langage qui fait une utilisation maximale des ressources de la langue. Elle reste cependant difficile à définir, et cette définition varie d'ailleurs au fil du temps, au point que chaque siècle peut lui trouver une fonction et une expression qui varie aussi d'auteur en auteur. La poésie procure un plaisir, elle offre un accès aux choses intellectuelles et elle affine, enrichie la sensibilité. On se demande qu’évoque réellement la poésie ? – c’est un art pour un art, par ailleurs

affirmation, la poésie peut prétendre servir à quelque chose. Tout d’abord, dans une première partie, nous verrons l’utilité de la poésie. Puis, dans une seconde partie, nous constaterons que celle-ci peut aussi s’avérer inutile. La poésie est un art qui pour le poète comme pour le lecteur a de nombreuses utilités. On peut considérer la poésie comme utile car elle sert à défendre des idées politiques ou bien sociales. C’est la poésie engagée. Gabriel Celaya a intitulé un de ces poèmes «  La poésie

Verlaine) 6) Les principales formes poétiques : * Ballade : au Moyen Age, poème lyrique à forme fixe, se composant de 3 strophes et d'un envoi qui commence en général par le mot « Prince ». Chaque strophe et l'envoi se terminent par le même vers, les 3 strophes sont symétriques par le nombre de vers, la position des rimes, la mesure des vers, tous de même longueur. XIXe siècle : poème épico-lyrique, à strophes égales, emprunté par les romantiques à l'Angleterre et à l'Allemagne : ce poème

tout à déclarer sa flamme. L'utilisation quasi-systématique du pronom personnel « je » montre clairement que son auteur met en avant le côté personnel de la lettre, et donc de ses sentiments pour sa promise. La poésie, qui a une origine avant tout lyrique, prend un sens incluant l'amour au milieu du XVIème siècle, où elle est à présent liée aux sentiments et aux sensations intimes. La poésie romantique est la poésie de la sensibilité et d'une certaine musicalité, et elle se plaît dans des poèmes plutôt

tout éventuel embellissement des vers. De plus, les allitérations en [d], [t] et [p] : ‘‘Près de moi, ton soldat fidèle ?’’ ne produisent pas une belle sonorité, et le poème tout entier n’est finalement pas musical. L’auteur a donc exclu le registre lyrique de son poème. Le poète, par le choix formel de son sonnet, veut montrer qu’il est capable de faire un poème, mais, se considérant différent des autres poètes, se permet de faire quelques entorses à la règle. L’auteur, d’après les descriptions contemporaines