Arthur De Gobineau Inegalite Des Races Humaines

2006 Jury : Mme Camille Goirand, Maître de conférences à l’IEP de Lille M. Olivier Dabène, Professeur à l’IEP de Paris Résumé Le courant de pensée dominant au Brésil, imprégné par le mythe de la démocratie raciale, considère les inégalités comme sociales, rendant illégitime toute lecture de celles-ci comme raciales. Depuis la fin du XIX° siècle, le mouvement noir, à travers diverses organisations, aujourd’hui sous forme de réseau, s’oppose à cette idée reçue et plus généralement aux

Outre sa haine de la démocratie, de la France « ennemie mortelle du peuple allemand », du socialisme et du « judéo-bolchevisme », sa doctrine repose sur sa conviction intime à base pseudo-scientifique d’une lutte darwinienne entre différentes « races » foncièrement inégales. Au sommet d’une stricte pyramide, se trouverait la race allemande ou « race des Seigneurs », qualifiée tantôt de « race nordique » et tantôt de « race aryenne » et dont les plus éminents représentants seraient les grands blonds

leur appartenance à la sphère politique comme principal horizon de leur déploiement, de leur évolution et de leur confrontation. Les idéologies politiques se distinguent en ce sens d’autres mouvements de pensée, tels que l’humanisme (qui place l’être humain au centre du monde), le féminisme (qui place la femme au centre de ses préoccupations) ou le postmodernisme (qui estime que notre époque est celle d’une sortie de la modernité), du fait que l’horizon de déploiement des idéologies politiques se limite

nature de la société industrielle naissante. Évolutionnisme : idée que les sociétés changent sous l'impulsion de forces, de lois qui s'imposent aux hommes (on le retrouvera dans la sociologie du XIXe siècle). Permet l'accroissement des capacités humaines d'intervention sur la nature et sur l'humanité. Cette analyse >> SS=précurseur d'une sociologie positiviste. Synthèse : Opération intellectuelle par laquelle on réunit en un tout cohérent, structuré et homogène divers éléments de connaissance concernant

Outre sa haine de la démocratie, de la France « ennemie mortelle du peuple allemand », du socialisme et du « judéo-bolchevisme », sa doctrine repose sur sa conviction intime à base pseudo-scientifique d’une lutte darwinienne entre différentes « races » foncièrement inégales. Au sommet d’une stricte pyramide, se trouverait la race allemande ou « race des Seigneurs », qualifiée tantôt de « race nordique » et tantôt de « race aryenne » et dont les plus éminents représentants seraient les grands blonds

en position de force et est alliée avec l’Italie. Hitler exerce alors des pressions sur le chancelier autrichien Kurt von Schuschnigg, le sommant, lors d’une entrevue à Berchtesgaden en février, de faire entrer des nazis dans son gouvernement, dont Arthur Seyss-Inquart au ministère de l’Intérieur. Devant la menace croissante des nazis, Schuschnigg annonce en mars l’organisation d’un référendum pour confirmer l’indépendance de l’Autriche. Hitler lance alors un ultimatum exigeant la remise complète

: les grands thèmes de la révolution bourgeoise sont en place. “Souveraineté du peuple, démocratie, liberté” : de grands thèmes des mouvements populaires aussi. Réflexions socio-économiques. En même temps qu’émergent les premières critiques des inégalités économiques, s’affirme l’économie politique (cf. 3) qui met en avant l’accumulation du capital et la liberté économique (Turgot et les physiocrates en France), et se pose la question : comment produire plus et mieux. La bourgeoisie française va

coalition de tout ceux qui veulent mettre un terme à la domination des princes. La république universelle, démocratie et sociale 1848 naît un grand rêve : idée d'une Europe démocratique mais aussi sociale (qui prendrait en compte les inégalités croissantes nées de la révolutions européennes), les mouvements de rébellions seront de trois ordres : insurrections libérales insurrections nationales (pays qui n'ont pas d’État pour leurs nations, mars 1848 :

1906-1907 et une résistance générale des polonais. Chapitre 7 : La politique extérieure du Reich wilhelmien La « Weltpolitik », 1890-1914 I- Les fondements de la « Weltpolitik » A- Les fondements psychologiques et idéologiques(Deutschtum, Gobineau, Houston Chamberlain, Dühring, Ranke, Max Weber, Ratzel, Der Lebensraum, Alldeutscher Verband, Mitteleuropa, Flottenverein, Wehrverein, Colonialverein, Reichsverband gegen die Sozialdemokratie, Deutscher Ostmarken-Verein, Bund Jungdeutschland)

Outre sa haine de la démocratie, de la France « ennemie mortelle du peuple allemand », du socialisme et du « judéo-bolchevisme », sa doctrine repose sur sa conviction intime à base pseudo-scientifique d’une lutte darwinienne entre différentes « races » foncièrement inégales. Au sommet d’une stricte pyramide, se trouverait la race allemande ou « race des Seigneurs », qualifiée tantôt de « race nordique » et tantôt de « race aryenne » et dont les plus éminents représentants seraient les grands blonds