Article 1583 Du Code Civil

mauvais escient : o Rupture faite sans motif légitime o Rupture faite de façon brutale des pourparlers avancés, en n’ignorant pas que son partenaire a engagé des frais. C’est une responsabilité délictuelle fondée sur l’article 1382 du code civil car cette responsabilité nait au cours des négociations préalables au contrat. Il appartient alors à la victime de prouver la faute, le dommage et le lien de causalité. Ce n’est pas la rupture qui engage la responsabilité mais les modalités

(l'étendue des obligations de chacune des parties au contrat est précisée par la loi) c'est un contrat nommé (le régime du contrat de vente est précisé dans le code civil) SECTION 1: FORMATION DU CONTRAT DE VENTE 1) Les conditions de fonds Les conditions de fonds sont réglementées par l'article 1108 du code civil. Cet article n'est pas propore au contrat de vente mais à n'importe quel contrat. Ce contrat dit «4 conditions sont essentielles pour la validité d'une convention: le consentement

CHAPITRE 5. LE CONTRAT DE VENTE Selon l’article 1582 du Code civil, "La vente est une convention par laquelle l’un s’oblige à livrer une chose et l’autre à la payer". Le contrat de vente est donc un contrat translatif de propriété qui porte sur un bien et qui suppose le versement d’un prix. C’est un contrat synallagmatique, car il crée des obligations réciproques à la charge des parties. Mais c’est aussi un contrat translatif de propriété : il provoque un transfert de propriété. Enfin, c'est un contrat

Olivia Franco Fiche de niveau 3. Droit des contrats / Le contrat / 2007 La rencontre des volontés Aucun texte spécifique ne régit la formation même du contrat. Si le Code civil définit le contrat dans son article 1101 et énonce ses conditions de validité à l’article 1108, l’échange des consentements fait l’objet d’un régime principalement jurisprudentiel. C’est à la jurisprudence qu’est revenu le rôle de déterminer le régime des pourparlers et les problèmes liés à la rencontre de l’offre et de

Commentaire d’arrêt : 3ème Chambre Civile 25 mars 2009 Posant un droit de préemption avantageux le pacte de préférence est régulièrement utilisé en droit civil. Son existence bien que méconnue du Code civil est à l’origine de nombreux contentieux, son régime est principalement d’origine jurisprudentiel. Dans cet arrêt la 3ème Chambre civile de la Cour de cassation est venu préciser le moment où devait s’apprécier la mauvaise fois de l’acquéreur afin d’appliquer ou non la sanction de la violation

juridiquement. Cela veut dire que dès lors que l’on s’engage juridiquement, on doit s’exécuter car pèse sur nous la menace d’une sanction étatique. Cette caractéristique permet de distinguer l’obligation juridique de l’obligation morale et l’obligation civile de l’obligation naturelle. a. Obligations juridiques et obligations morales La sanction étatique fait la différence entre l’obligation juridique et l’obligation morale. * L’obligation morale Elle ne s’exécute pas sur le plan du droit

par exemple comment se répartissent les charges du mariage. I. LES REGLES COMMUNES A. Le statut impératif Quel que soit le régime conventionnel ou légal, le législateur a prévu un certain nombre de règles (art. 212 à 226 du Code civil) qui s'appliquent impérativement à tous les époux. Certains auteurs désignent ce droit commun des régimes matrimoniaux sous le vocable de "régime matrimonial primaire", d'autres préfèrent le vocable de "statut de base impératif" ou encore "statut

consommateurs. Malgré son importance, la vente commerciale n’est pas réglementée par le code commercial puisque son régime figure encore très largement dans le code civil (article 1582 à 1701). Ces dispositions du code civil sont complétées par les dispositions du code de la consommation lorsque le contrat sera conclu entre un professionnel et un consommateur. En outre, il faut également tenir compte des dispositions du code de commerce sur certains points particuliers. (Il ne sera question dans ce cours

le contrat est un acte de volonté, s'il n'y pas de volonté, il n'y a pas de contrat. Exception : L 122-1 du code de la consommation interdit à un professionnel le refus de vente ou le refus de prestation de service à un consommateur sauf motif légitime - liberté de choisir son cocontractant : on ne peut se voir imposer la personne avec qui on va contracter il existe une Exception: article 15- 2 de la loi du 6 juillet 1989 droit de préemption - liberté de choisir le contenu du contrat : sous le

Les vices du consentement = article 1109 du Code civil : il n’y a point de consentement valable si le consentement n’a été donné que par erreur, extorqué par violence ou obtenu par dol. Appréciation au jour de la formation du contrat. Sanction = annulation du contrat + éventuellement dommages et intérêts sur le fondement de la responsabilité civile délictuelle. I. L’erreur = article 1110 du Code civil = « une fausse croyance sur l’objet de l’obligation ». L’erreur est le vice du consentement