As White As La Blanche

Taoub Cambara Courbaril Melabuwai Mentibu Keladan Yuan Yang Kosipo Koto Lauan, white Louro vermelho Maçaranduba Makoré Mansonia Mélèze Mengkulang Méranti, dark red Merbau Merisier Moabi Mogno Niangon Noyer Okoumé Ormes Padouk Peupliers Pin maritime Pin sylvestre Ramin Red alder Red oak Sapelli Sapin Sipo Sitka spruce Tatajuba Tauari Teak Tiama Tola Virola Western hemlock Western red cedar Kosipo Koto Lauan, white Grignon franc Balata rouge Douka Bété Mélèze Mengkulang Méranti, dark red Merbau

devenue en quelque sorte le manifeste d'une architecture dépourvue de hiérarchie, dans laquelle l'individu peut se frayer son propre chemin, autonome, de par le parcours qu'il choisit: « With regard to the method to produce sequence, in the cases of the White U and the Shimosuwa Municipal Museum, a linear path was created as circulation to force people to walk along, but for projects after Sendai, each person who experiences the space creates a sequence from their own experience, I sense some expansion

premier coup sera porté en 1986 par Freedent, précisément, un chewing-gum made in USA du groupe Wrigley. La croissance du marché se fait alors sur le sans sucre. - Puis fin des années 90, Freedent initie les chewing-gums à fonctionnalité (dents blanches, haleine...). ➢ Résultats : en avril 2000, Hollywood perd pour la première fois son leadership avec 42,8% de part de marché valeur contre 42,9 % pour Freedent. ➢ Les ventes du chewing-gum (pour les tablettes sucrées à la chlorophylle) ont

toutes les villes d'Amérique, ainsi que des panneaux lumineux. C'est en 1931, que la marque s'approprie la célèbre image du Santa Claus ou Saint Nicolas (Père Noël) qui devient l'icône de la boisson, habillé de vêtements rouges doublés de fourrure blanche par Haddon Sundblom, chargé de la publicité de Coca-Cola. Le rouge et le blanc seront désormais les couleurs emblématiques de la marque. L'ours polaire apparaît dans les publicités en 1993. Seulement, ce n'est qu'en 2001, que Coca-Cola adopte des

surtout la personnalisation du pouvoir présidentiel. Autres facteurs qui visent à renforcer les relations entre la Maison blanche et le peuple sont le grand rôle des médias et l'identification du peuple avec le président et donc avec « l'esprit des États-Unis ». On parle même du lobby présidentiel qui résulte de l'étroite coopération de l'assistant personnel du président au White House Office avec les différentes chambres du Congrès. Sous Eisenhower, on connaissait déjà l'Office of congressional

certainement appliqués de la façon souhaitée par le Congrès. Autres facteurs qui visent à renforcer les relations entre la Maison blanche et le peuple sont le grand rôle des médias et l'identification du peuple avec le président et donc avec « l'esprit des États-Unis ». On parle même du lobby présidentiel qui résulte de l'étroite coopération de l'assistant personnel du président au White House Office avec les différentes chambres du Congrès. Aujourd'hui, les moyens de pression de l'exécutif sont nombreux

Déclaration d’indépendance rédigée quatorze ans plus tôt. En effet, ce recensement est loin de considérer tous les hommes vivant sur le territoire américain comme libres et égaux car il fait la distinction entre : les hommes blancs libres, les femmes blanches libres, les esclaves et les autres personnes (Poglia Mileti, 2015). « La nation américaine se construit sur une société fortement différenciée et inégalitaire » (Poglia Mileti, 2012 : 33). L’objectif premier de ce recensement est de

(durée : 3h10 et réalisation : Richard Attenborough). Ses principaux acteurs sont Ben Kingsley (Gandhi), Edward Fox (Général Dyer), Martin Sheen (Vince Walker, le reporteur de New York Times), John Mills (le vice-roi), Candice Bergen (Margaret Bourke-White), John Gielgud (Lord Irwin), Trevor Howard (juge Broomfield) et Ian Charleston (le révérend Charlie Andrews). Il s’agit d’une production historique indi-britannique à gros budget : 22 000 000 $ avec un nombre important de figurants (300 000 dans la

de l'administration américaine, comme Henry Kissinger, secrétaire d'état de Richard Nixon et de Gerald Ford, le sénateur Joseph Lieberman, candidat démocrate à la vice-présidence des États-Unis en 2000 ou Rahm Emanuel, chef de cabinet de la Maison Blanche de Barack Obama. Toutefois, l'antisémitisme reste présent dans les milieux de l'extrême droite américaine. Ainsi, le 13 avril 2014, un suprémaciste blanc abat trois personnes sur les sites d'un centre culturel et d'une maison de retraite juifs

surtout la personnalisation du pouvoir présidentiel. Autres facteurs qui visent à renforcer les relations entre la Maison blanche et le peuple sont le grand rôle des médias et l'identification du peuple avec le président et donc avec « l'esprit des États-Unis ».6 On parle même du lobby présidentiel qui résulte de l'étroite coopération de l'assistant personnel du président au White House Office avec les différentes chambres du Congrès. Sous Eisenhower, on connaissait déjà l'Office of congressional relations