Ascension Sociale Bel Ami

Dans un roman objectif décrivant une société corrompue où le héros est un beau jeune homme ayant eu une ascension sociale fulgurante, qui use de son charme pour rencontrer les cercles d’amis influants et loue ses directeurs pour gravir les échelons, le lecteur rejette l’extraordinaire abjection d’un Bel-Ami. Bien que le lecteur de roman de la fin 19ème soit attaché à son héros social contemporain, certains auteurs, par volonté de scission avec le roman dit « traditionnel » vont accorder

amèneront un succès quasi immédiat aux oeuvres de Flaubert. On est alors aux alentours de 1844. Sa particularité en tant qu'auteur se situe dans le fait qu'il s'inspire volontiers de faits divers lus dans les journaux pour écrire ses oeuvres. Le plus bel exemple de cela, c'est la parution de Madame Bovary en 1857. Ce roman, virulemment attaqué par les moralistes, lui vaudra une condamnation en 1864. En 1866, sa passion inassouvie à l'encontre d'Elisa Schlésinger lui inculquera l'idée de son deuxième

Rênal et devient son amant. Grâce à la tendresse qu'elle lui manifeste, Julien connaît alors un bonheur éphémère. A l'occasion de la visite d'un roi à Verrières, Julien le cœur empli de joie et de fierté défile à cheval , dans un bel uniforme. Cette soudaine ascension sociale fait jaser dans la petite ville. La maladie de son jeune fils réveille les remords de Mme de Rênal, qui se croit punie par Dieu; tandis qu'à l'inverse cette crise morale décuple l'amour de Julien. Le soir même , une lettre anonyme

littéraire, le réalisme constitue la notion élargie, tandis que le naturalisme est la notion plus restreinte, car il utilise tous les principes fondamentaux et la thématique du réalisme. Le naturalisme a contribué à la prise de conscience des inégalités sociales, à la naissance des droits de l’homme, à l’émergence du droit d’expression. L’art est devenu accessible à tous, une esthétique nouvelle étant créée, la littérature ou la peinture traitant de sujets quotidiens. A partir de la France, le naturalisme

effet dévastateur sur l’image que se donne le lecteur sur Goriot, en plus de n’avoir plus d’argent à sa disposition, il perd sa dignité. On se permet alors de faire des ragots sur lui ; la visite de celles dont il prétend être le père, des femmes tant belles que riches, fait penser à ses voisins que Goriot n’est en fait qu’un libertin, ou pire un proxénète et n’a en fait jamais, contrairement à ses dires, eu ni femme ni fille. 2) Le personnage principal d’un roman est le personnage sur lequel est fondée

cherche à s’évader grâce à l’imagination. L’évasion devient l’un des thèmes favoris de la littérature romantique. C)      L’engagement politique ·         La plus grande liberté des formes littéraires et du langage est mise au service de l’engagement social et politique. Pour Victor Hugo, le mot est une arme poétique. Le langage noble ne doit plus dédaigner le langage simple et populaire. ·         Les auteurs romantiques luttent bien souvent pour plus de libertés et de justice dans la société. Victor

peu respectueux envers celui-ci. Ils rient de ces idées folles à se costumer en homme de qualité en plus d’assouvir ses lubies en tentant de mener un mode de vie reflétant un noble. M. Jourdain est même convaincu qu’il y a eu erreur sur son statut social, puisqu’il est persuadé que son père était noble. Il scande de ne pas être le fils d’un simple bourgeois qui faisait carrière dans la vente de draps. Les maîtres conviennent qu’il est sot et inculte, car il ne sait pas apprécier leurs arts en ne différenciant

personnages comme Gervaise sont des personnages plutôt réalistes qui sont placés dans un tableau objectif des milieux et des êtres. Cette méthode a comme but de donner un caractère plus réel au roman et lui donner donc une certaine vraisemblance. Bel Ami de Guy de Maupassant est n exemple de roman qui montre une réalité bizarre, puisque Georges Duroy, étant une sorte de gigolo prend partie des femmes riches pour accomplir ses désirs car lui, tout seul, est misérable. C’est ainsi que les héros médiocres

fasciné par le prestige de Napoléon, et se verrait bien épouser une carrière militaire. Mais sur les conseils de l'abbé Chélan, le curé de son village, il envisage d'entrer au séminaire. Cela lui parait en effet la seule voie judicieuse d'ascension sociale dans la société de cette époque. Grâce à l'abbé Chélan, avec qui il sympathise et qui lui a enseigné le latin, Julien est engagé par Monsieur de Rénal, le maire de Verrières. Ce dernier, par vanité, recherche un précepteur pour ses enfants. Il juge

un alambic, choses qui existent réellement. D’ailleurs tous les objets mentionnés dans les textes réalistes sont vraisemblables. D’autre part, les auteurs en font des descriptions plus ou moins précises permettant de nous montrer que ces objets sont bel et bien réels. Notamment, Zola, lorsqu’il décrit l’alambic, montre ses aspects qui sont tels qu’ils sont dans la réalité (« le grand alambic de cuivre rouge (…) les différentes pièves de l ‘appareil (…) l’énorme cornue d’où tombait un filet limpide