Ascite

celle du CEC : 290 mosmol/l. Dr Boukoufa.A.MA physiologie clinique métabolique et nutritionLe compartiment trans-cellulaire : * Négligeable à l'état physiologique (1 a 2% du poids corporel total) mais qui peut augmenter énormément en pathologie (ascite, pleurésie..). * C’est l’eau séparé du secteur plasmatique par un épithélium et non par un endothélium. * Représenté par : les sucs digestifs, le liquide céphalorachidien(LCR), le liquide des séreuses (plèvre, péritoine, synoviale), de l’œil et

Insuffisance respiratoire 44- Autres AH (suite) 46- Splénomégalie 47- Purpuras 49- Leucémie aiguë 50- Lymphome 57- Fièvre typhoïde 58- Poliomyélite aiguë 59- Rougeole 66- Maladie cœliaque 67- Ictère néonatal 68- Polyarthrite CJ 73- PNA 74- PNC 75- IRA 79- Ascite 80- Hépatites virales 86- CML 87- Epilepsie 88- Maladie de Parkinson 92- Bouffée délirante 93- PMD 98- Epistaxis 99- Vertige 102- Eczémas 104- Trachome 105- Glaucomes 13- Insuffisance surrénale aiguë 14- Hyperthyroïdie 15- Hypothyroïdie 16- Hyperparathyroïdie

surface ou l’échocadiographie transoésophagienne. VI. L’EVOLUTION DES VALVULOPATHIES Les valvulopathies exposent aux risques: - De décompensation cardiaque gauche ou droite voire globale Décompensation cardiaque droite avec dyspnée, hépatomégalie, ascite anarsaque Décompensation cardiaque gauche à type de dyspnée, sub-OAP, d’OAP asthme cardiaque - De troubles du rythme supra ventriculaire le plus souvent : ACFA, flutter . L’ACFA en cas de valvulopathies aortiques témoigne de formes vieillies - D’embolies

se manifeste par une gêne ou des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements, une diarrhée, une augmentation de la taille des ovaires. Plus rarement, cela entraine une prise de poids brutale, une accumulation de liquide dans le péritoine (ascite), des troubles respiratoires. Exceptionnellement, l’hyperstimulation ovarienne peut avoir des conséquences sévères (formation de caillots sanguins). Dans tous les cas, l’apparition de signes, même peu importants, impose une consultation en urgence

état infectieux ou mycosique non contrôlé par un traitement spécifique. Certaines viroses en évolution notamment herpès et zona à manifestations oculaires. Goutte. Ulcère gastrique ou duodénal évolutif. Etats psychotiques. Cirrhose alcoolique avec ascite. Hépatite aiguë à virus A, B ou non A, non B. Ils sont surtout à craindre lors d’un traitement prolongé. Désordres hydro électrolytiques : hypokaliémie; alcalose hypokaliémique; rétention hydro sodée avec parfois hypertension artérielle, voire

es liquide d’épanchements sont des liquides faciles à analyser le mode opératoire reste le même ils différent au niveau du prélèvement. En effet le liquide pleurale provient de la membrane qui entoure le poumon : la plèvre .tandis que la liquide ascite provient de la région péritonéale. L’étude cytologique est le point culminant de ces analyses 1-Prélèvement des liquides pleuraux Le prélèvement se fait par un médecin .c’est un acte médical consiste à introduire une aiguille ou un cathéter

Démarche diagnostique ► Interrogatoire L’interrogatoire permet de préciser notamment les antécédents, personnels et familiaux, les facteurs de risque et les comorbidités. ► Examen clinique L’examen clinique repose notamment sur la recherche : d’une ascite ; de symptômes évoquant une anémie ; d’une masse abdominale (hépatomégalie) ; d’adénopathies sus-claviculaires ; d’une carcinose péritonéale (toucher rectal). HAS / Service maladies chroniques et dispositifs d’accompagnement des malades / INCa /

lorsque l'élévation des œstrogènes est importante, les ovaires sont très augmentés de volume et deviennent douloureux. Dans les huit jours suivants la ponction, l'abdomen peut-être ballonné. Si ce ballonnement est très important, cela est dû à une ascite (liquide de la cavité abdominale). Cette situation peut nécessiter une hospitalisation. Les risques à long terme de la stimulation ont été évoqués (cancer de l'ovaire) mais n'ont jusqu'à présent pas été démontrés. - Liés à l'anesthésie:

embolie pulmonaire Alcoolisme, tabagisme c. Symptômes : Insuffisance cardiaque droite : Insuffisance cardiaque gauche : Turgescence des veines jugulaires Œdème des membres inférieurs Hépato- et splénomégalie, reflux hépato-jugulaire Ascite Prise de poids (due aux Œdèmes) Faiblesse et fatigabilité Dyspnée d’effort, de repos, orthopnée Râles crépitant au niveau des poumons, toux Œdème du poumon Cyanose Utilisation des muscles respiratoires accessoires Symptômes communs

Staphylococcus, ENTEROBACTERIACEAE, Pseudomonas, Vibrio Gélose nutritive ordinaire 3 à 6 mois Corynebacterium Sérum coagulé 3 à 6 mois Mycobactérium Milieu de Löwenstein-Jensen 3 à 6 mois Neisseria Gélose molle + ascite 15 à 21 jours 37 °C Heamopilus Gélose à la gélatine + extrait globulaire 8 à 10 jours 33 ou 37 °C en fonction des espèces 3 mois Température ambiante ou au réfrigérateur 1 an Température ambiante Streptococcus,