Âshram

domination étrangère. Gandhi fut emprisonné plusieurs fois en Afrique du Sud et en Inde pour ses activités ; il passa en tout six ans de sa vie en prison. Gandhi etait Adepte de la philosophie indienne, Gandhi vivait simplement, organisant un ashram qui était autosuffisant. Satyagraha : c'est le principe de non-violence par la désobéissance civile que Mohandas Karamchand Gandhi a instauré. Ashraam : fait de s'isoler , montagne ou dans la foret pour des raison religieuse ____________

nationalisme en Inde, où son retour en 1915 est triomphal. Les débuts de la lutte en Inde (1915-1928) Gandhi ne sépare pas la lutte politique de la lutte sociale, mais il alterne les périodes de militantisme avec de longues retraites dans des ashrams, ce qui déconcerte même ses collaborateurs. Rapidement devenu la principale autorité morale au sein du parti du Congrès, il recourt au jeûne et au boycott comme moyens de pression sur les autorités coloniales à travers plusieurs campagnes de désobéissance

l'appel au mouvement Quit India le 8 août 1942. Il fut emprisonné plusieurs fois en Afrique du Sud et en Inde pour ses activités ; il passa en tout six ans de sa vie en prison. Adepte de la philosophie indienne, Gandhi vivait simplement, organisant un ashram qui était autosuffisant. Il faisait ses propres vêtements — le traditionnel dhoti indien et le châle, avec du coton filé avec un charkha (rouet) — et était végétarien. Il pratiquait de rigoureux jeûnes sur de longues périodes, pour s'auto-purifier

au mouvement Quit India le 8 août 1942. Il fut emprisonné plusieurs fois en Afrique du Sud et en Inde pour ses activités ; il passa en tout six ans de sa vie en prison. Adepte de la philosophie indienne, Gandhi vivait simplement, organisant un ashram qui était autosuffisant. Il faisait ses propres vêtements — le traditionnel dhoti indien et le châle, avec du coton filé avec un charkha (rouet) — et était un militant végétarien. Il pratiquait de rigoureux jeûnes sur de longues périodes, pour s'auto-purifier

au mouvement Quit India le 8 août 1942. Il fut emprisonné plusieurs fois en Afrique du Sud et en Inde pour ses activités ; il passa en tout six ans de sa vie en prison. Adepte de la philosophie indienne, Gandhi vivait simplement, organisant un ashram qui était autosuffisant. Il faisait ses propres vêtements — le traditionnel dhoti indien et le châle, avec du coton filé avec un charkha (rouet) — et était un militant végétarien. Il pratiquait de rigoureux jeûnes sur de longues périodes, pour s'auto-purifier

par la non-violence : la satyagraha. Il continuera son combat jusqu’en 1914, ce qui lui vaudra de nombreux emprisonnements, mais il parvient à faire signer un accord sur la suppression de nombreuses lois raciales. Il rentre en Inde où il établit un ashram, son nom est désormais associé à la lutte contre l’injustice. À la fin de la première guerre mondiale, pendant laquelle Gandhi avait appelé au soutient de l’effort de guerre, il présente aux britanniques ses premières revendications d’autonomie pour

partent en stop ou en bus. Ils vont y chercher, certes, les "paradis artificiels" de la drogue qu'ils estimaient faire partie intégrante de la culture orientale, mais aussi des refuges spirituels et des réponses aux questions métaphysiques avec les ashrams. Les hippies ont également d'autres destinations privilégiées qui conjuguent souvent "paradis artificiels" et "valeurs spirituelles", comme le Mexique, le Maroc puis dans les années 70, la Thaïlande. A l'intérieur de ces pays, des villes ou des lieux

désobéissance civile. Il s’agit, dans un contexte d’immobilisme britannique, de protester contre la loi sur le sel (1882) qui donne à la Grande-Bretagne le monopole total de la vente, du contrôle et de la fabrication de sel. Le 12 mars 1930, Gandhi quitte son ashram des environs d’Ahmedabad pour rejoindre à pieds les marais salants de Dandi, sur la côte ouest. Ils sont alors soixante-dixneuf volontaires. Le nombre de ses partisans atteint rapidement plusieurs milliers. La marche arrive à Dandi, le 6 avril, au

en Inde et il s’est aperçu qu’il ne connaissait pas du tout sa patrie, et a donc voyagé en toute l’Inde, pour découvrir la vraie âme du pays. Après ça, toujours en 1915, il a fondé une « âshram », une sorte de maison dans la nature, en dehors des villes et de la vie quotidienne. Il l’a appelée « Sabramati Âshram », où vont après loger 25 hommes et femmes qui ont fait les vœux de la vérité et de la pauvreté. Ensuite, en 1917, il a aidé à bannir l’engagiste des coolies (agriculteurs immigrés en Inde)

produits alimentaires inopportunément jetés alors qu’ils sont encore consommables. Le dossier relate une autre approche, plus radicale, servie par une quête spirituelle : c’est celle choisie par Gandhi. La photo du document 3 prise en 1925 dans son ashram à Sevagram montre un décor dépouillé. Un lit simple, quelques meubles de rangement utilitaires et des livres composent le décor austère de cet espace, sorte de miroir inversé de l’opulence dans laquelle vit Nana. Pour autant, ces démarches sont difficiles