Aspects Libertinage Moeurs

Valmont celle-ci se pose en rivale de son correspondant en matière de libertinage, ce qui est au centre des débats est en effet la séduction, les stratégies développées par les libertins et les systèmes de défense mis en jeu dans la partie adverse. Le choix d’un vocabulaire guerrier est d’ailleurs significatif du plan sur lequel se situe les opérations : il s’agit de combat, de domination, de victoire ou de défaite. A travers le libertinage, c’est donc la question des rapports entre les sexes qui est posée

épique (épopée). → exemple : L’Iliade et L’Odyssée d'Homer. Personnages marqués par les héros antiques d'Homer et de Virgile ou par modèles italiens de Tasse. Mlle de Scudéry écrit Clélie, histoire romaine (1654-1661) → roman à clef qui change les mœurs antiques qui contient la « Carte du tendre » (carte géographique imaginaire dans laquelle on retrouve tracer sous forme de villages et chemins, les différentes étapes de la vie amoureuse selon les précieuse de l'époque). Romans pastoraux (Le roman

Nous allons montrer au travers de notre anthologie comment le thème de l’amour est traité en littérature. Nous nous attacherons donc à mettre en évidence la manière dont les auteurs traitent de l’amour dans leurs œuvres et donc par-là des différents aspects de ce thème. Pour y parvenir, nous allons rassembler des extraits de nature, d’époques, et d’auteurs différents. Ainsi, nous appuyant sur une chronologie littéraire, nous avons pour objectif de choisir les textes les mieux représentatifs des principaux

« va », « prends »). 3) Un Sganarelle décidément tenté par le modèle libertin Sganarelle qui avait présenté son maître comme un tyran auquel il n’obéissait que sous la contrainte trahi le fait qu’il est bel et bien tenté par l’impiété et le libertinage mais qu’il est trop pleutre pour aller jusqu’à de tels excès, c’est ce que nous laisse entendre le « jure un peu », comme s’il était possible de trouver un moyen de pécher mais pas au point de risquer un châtiment divin. De même, on peut s’interroger

  qui   la   détermine   et   que   finalement   la  personnalité et la détermination ne sont qu’une lutte face au moule de la sociabilité. Nous allons tout d’abord nous intéresser au fait que la parole est représentative de  la société et des mœurs de ce XVIIIème siècle. Nous pouvons voir grâce au texte de  Marivaux :  La Vie de Marianne, que la vie sociale est vécue de l’intérieur, ou du  moins que Marianne essaye de rentrer dans ce cercle mondain. Marivaux connaît bien  les cercles mond

utiles à manger”→ relation cause – but → montre les astuces d'un enfant débrouillard, du picaro qui est très perspicace. c. L'amour matérnel “c'est très dûr pour une vielle femme qui est seule au monde” → hyperbole et emphase sur vielle et seule → aspect protecteur de Momo “il faut maigrir pour manger moins” → impératif → Momo lui donne des conseils “Lorsqu'il y a personne pour vous aimer autour, ça devient de la graisse” → effet de sentence → il essaye de comprendre sa condition et son manque

champs lexicaux et donnez les références au texte : nos de lignes. 2. Acte I, scène 2 : Extrait p. 38 : « Quoi ? tu veux qu’on se lie (L.40) […] mes conquêtes amoureuses. »(L.81) Dom Juan affirme ici une règle de conduite qui relève du libertinage de mœurs. a) Dom Juan se révolte contre la pensée conformiste dont Sganarelle est le porte-parole. Relever les mots et expressions que Dom Juan utilise. Donnez les références au texte. b) Amour et inconstance : démontrer sous forme de

paysan. Ces règles et ces codifications participent à la compréhension de la dimension théâtrale que veut donner le dramaturge à son œuvre, et elles sont à certaines époques nécessaires s'il veut être compris du public, car le théâtre malgré son aspect irréel, est dans sa relation avec celui-ci, représentatif d'un état d'esprit dans l'Histoire, par l'intermédiaire des différents mouvements littéraires. Le réel d'une pièce de théâtre constitue le fond de la pièce, il est le chef d'orchestre qui

séduit l’imaginaire du XVIIIème siècle par rapport au monde sauvage. C’est le problème du libertinage amoureux, qui s’est également posé dans la littérature avec des œuvres comme Les égarements du cœur et de l’esprit de Crébillon ou Les liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos. Le discours d’Orou est d’ailleurs lancé par le mot « libertin ». Diderot s’inspire donc d’un sujet traditionnel du discours sur les mœurs sauvages : la sexualité. Mais son approche est originale : il n’y a pas de pittoresque

Dictionnaire de l’Académie : « qui aime trop sa liberté et l’indépendance, qui se dispense aisément de ses devoirs ». Ce sont les détracteurs de ce courant de pensée libertin – notamment le parti dévot – qui a favorisé le glissement de libertinage d’esprit vers le libertinage de mœurs. Dom Juan revendique la liberté d’esprit et la raison plutôt que les croyances (« Ce que je crois ? Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit », III, 1). Il est certes un « coureur de