Assemblée Plénière 19 Juin 1981

: l’établissement de la filiation, par des actes juridiques (déclaratifs). à Elle peut aussi être établit : Ø Ø Possession d’état (310-1 C.C) : établit la réunion de certains faits qui révèle la filiation (faits juridiques). L’adoption plénière ou simple : résultat d’un acte juridique (d’une requête de l’intéressé). Paragraphe 2 : Le lien conjugal. à Art 213 du C.C à Est celui qui unit les personnes mariées. Acte juridique par lequel les époux organisent leur communauté de vie et

d’un président parmi les juges et par les juges à chaque renouvellement Selon importance de l’affaire les juges siègent : soit en chambre de 3 ou 5 juges / soit au sein d’une grande chambre de 13 juges avec un corum minimum de 9 / Soit en assemblée plénière avec un corum fixé à 15. 1. Les attributions juridictionnelles de la CJCE Nombreuses mais trois principales dans la mesure où elles concernent les sources du droit et le respect de la hiérarchie des normes : ⎝ La CJCE

à obtenir des Etats-Unis, qu’ils puissent s’engager dans une protection permanente de l’Europe de l’Ouest. * Le Conseil de l’Europe: procède d’un processus de création dual en premier lieu, son idée provient d’un discours de Winston Churchill du 19 septembre 1946 à Zurich dans lequel le premier ministre britannique invite les pays européens à se diriger vers les Etats-Unis d’Europe, en gardant un lien spécial avec les Etats Unis * le congrès de La Haye réunit en mai 1998: se détache de ce congrès

présentant la liberté du mariage comme l'une des composante de la liberté individuelle. La Cour de Cassation a également décidé que cette liberté nuptiale devait être respectée comme une liberté publique fondamentale (Arrêt rendu le 19 mai 1978 par l'Assemblée plénière. Il s'agit de l'affaire du Cour Sainte-Marthe. Il faut un consentement pour qu'il y ait mariage. Ce consentement doit être intègre. En cas de contestation, le contrôle du consentement porte sur son existence et son intégrité. A. Existence

objectifs de valeur constitutionnelle que sont la sauvegarde de l’ordre public, le respect de la liberté d’autrui et la préservation du caractère pluraliste des courants d’expression socio-culturelle ». (1ère référence sans consacré de ces objectifs en 1981). B) La loi C’est la source principale du droit français. Elle émane du pouvoir législatif conformément aux dispositions de la constitution. Elle peut avoir 2 sens : Un sens matériel : la loi est une règle de droit général et abstraite qui est adopté

perspective qu’elles puissent concourir selon ses propres potentialités et spécificités au développement national général. Passant par une longue évolution dont le point de départ est la discours royal du 24 Octobre 1984 à Fès, puis par la loi du 16 Juin 1971 portant création des régions économiques, la région est consacrée comme collectivité locale par la constitution du 9 Octobre 1992. Son statut juridique est fixée par la loi n° 47-96 promulguée par le Dahir n° 1-97-84 du 2 Avril 1997. Désormais

amendements, adoptés en 1791, constituent la Charte des Droits fondamentaux (Bill of Rights) pour la Fédération, mais, historiquement, la première Déclaration américaine des Droits est la Déclaration des Droits qui précède la Constitution de Virginie du 12 juin 1776, qui est immédiatement suivie de la Déclaration d'Indépendance du 4 juillet 1776. Les apports de cette constitution sont nombreux : l’Etat fédéral, régime présidentiel, bicamérisme. Du fait du caractère rigide et formel de la constitution américaine

jugements attaqués devant les juridictions administratives continuent de produire leurs effets: elles sont donc exécutoires de plein droit. Toutefois, lorsque l’exécution peut avoir de graves conséquences pour le demandeur, celui-ci, depuis une Loi du 30 juin 2000 relative au référé devant la juridiction administrative, peut demander au juge des référés d’intervenir. Le juge des référés intervient donc par des mesures qui présentent un caractère provisoire, et ce juge a 3 instruments à sa disposition:

maîtriser le sens des termes suivants : loi interprétative ; loi de validation ; espérance légitime ; revirement de jurisprudence ; common law.  Les lois de validation : l’affaire dite du tableau d’amortissement :  Document 1 : Cass. 1re civ. 20 juin 2000, Bull. I n° 191 ; D. 2000, p. 699, note M.-L. NIBOYET ; JCP 2001.II.10454, note A. GOURIO ; RTDCiv. 2000.670 obs. N. MOLFESSIS ; RTDCiv. 2000.676, obs. R. LIBCHABER.  Document 2 : Cass. 1re civ. 29 avril 2003, Bull. I. n° 100 ; Def. 2003.37810

institutionnalisé d’arbitrage international et également * le projet du roi de Bohême, Georges de Podiebrad, qui prévoyait déjà la création d’une confédération européenne fondée sur une limitation de souveraineté des Etats et dotée d’organes communs (assemblée, cour de justice) ainsi que d’un budget fédéral et d’une force armée commune. 2. Le XVIIème siècle : les précurseurs de l’idée européenne Si au XVIème siècle (Renaissance) la doctrine est relativement pauvre, en revanche au XVIIème siècle elle