Assurance Prospection Coface

Robert Castaigne Michael Pragnell Pascale Sourisse managing partner de Barber Hauler Capital Advisers Robert Castaigne, François David, Patrick Faure, ancien directeur financier et ancien membre du comité exécutif de Total président du groupe Coface président de Patrick Faure et associés Comité de la Stratégie et des Investissements Il aide le Conseil à élaborer la stratégie du Groupe. Il examine les projets d’investissements et de désinvestissements susceptibles d’avoir une incidence significative

II-3 la banque d’investissement, banque d’affaires Pour conserver leur clientèle internationale, les grandes banques ont développé des activités d’accompagnement dans la recherche de financements d’envergure, la restructuration de dette, la prospection de partenaires nouveaux ou les opérations de croissance externe. Dans ces nouveaux métiers, on distingue souvent la banque de financement, la banque d’investissement et la banque d’affaires, bien que ces appellations ne recouvrent pas toujours les

été créées et ne peuvent donc pas choisir librement leur activité), et d’autre part parce qu’elles bénéficient de prérogatives de puissance publique qui fausseraient le libre jeu concurrentiel. Ainsi, dans le secteur des assurances des crédits à l’exportation, lorsque la COFACE (créée après la Seconde guerre mondiale dans un cadre purement administratif et désormais partiellement privatisée) garantissait les opérations d’exportation, elle bénéficiait de la garantie de l’État c'est-à-dire que celui-ci

critique. Et ils pourront ensuite être recrutés. Donc, autant les bichonner ! Une autre forme de recrutement à envisager : les VIE (Volontaires Internationaux en Entreprises7). On leur confie généralement des missions d’études de marché et de la prospection commerciale dans les pays où doit démarrer l’exportation, le plus souvent en Europe. Les VIE sont gérés par Business France qui consolide les offres et les demandes de VIE et assure leur gestion administrative pour le compte de l’entreprise. Dans

3.2. Un potentiel d’offre limité à court terme à la poursuite du programme de privatisations. .............79 2.4. Un rôle mineur dans le financement de l’économie........................................................... 80 3. Le marché des assurances................................................................................................83 3.1. Eléments de cadrage............................................................................................................. 83 3.2. Un

paiement qui s’utilise de plus en plus est la délégation de paiement. La confiance des consommateurs en a donc pris un coup derrière la tête. De plus, afin de vérifier la solvabilité des clients, les entreprises ont recours à une assurance en termes de délais de paiement. (COFACE) Facteurs politiques : Le taux normal est fixé à 20 % (art. 278 du code général des impôts), pour la majorité des ventes de biens et des prestations de services : il s'applique à tous les produits ou services pour lesquels

rôles) 3- Système d’animation (mise en œuvre de l’action) 4- Système de contrôle (respect des objectifs) 1.3.3/ Le découpage fonctionnel Est définit par la référence aux missions fondamentales d’évolues aux organisations. (sociales, lucrative, assurances…) Cf → Tableau 4 Les grandes disciplines de la gestion sont regroupées en 5 fonctions : 1- Fonction de direction (stratégie) 2- Fonction commerciale (marketing) 3- Fonction de production 4- Fonction de ressource humaine (M1) 5- Fonction financière

suffisant et la ségrégation raciale qui persiste. Santé, des efforts insuffisants3 : Dans le secteur de la santé, des inégalités criantes subsistent : environ 19 millions de Sud-africains, soit près de la moitié de la population, n'ont aucune assurance maladie et 50% de la population n’a pas les moyens de consulter un médecin libéral. Pour les pauvres, les dépenses de santé publique du gouvernement sont donc indispensables. Elles ont atteint 32,3 milliards de rand en 2000/2001, contre 24,8 milliards

(PEL) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .104 2.14 Plan d’épargne populaire (PEP) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .106 3. Les produits d’épargne non bancaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .108 3.1 Assurance-vie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .108 3.2 Bon de capitalisation (bon de capi) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .111 3.3 Plan d’épargne retraite populaire (PERP) . . . . . . . .

(PEL) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .104 2.14 Plan d’épargne populaire (PEP) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .106 3. Les produits d’épargne non bancaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .108 3.1 Assurance-vie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .108 3.2 Bon de capitalisation (bon de capi) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .111 3.3 Plan d’épargne retraite populaire (PERP) . . . . . . . .