Atoum

                              Art, Washington.         .B. 4.  La philosophie   .B.5. L'ethnonymie, c'est-à-dire l'étude des noms de groupes humains de l'Afrique actuelle qui conservent encore de nombreux noms attestés en Egypte ancienne : Atoum, Antef, Sek, Meri, Kara, Bara, Bari, Raka, Sen Sar, Kaba, Keti, Amenti, Kamara, Konare, Sankale, Sangare, Sankare, etc.   En 1984, L'UNESCO publie dans le cadre de la rédaction de l'Histoire générale de l'Afrique dans la collection associée, Études

                             Art, Washington.         .B. 4.  La philosophie   .B.5. L'ethnonymie, c'est-à-dire l'étude des noms de groupes humains de l'Afrique actuelle qui conservent encore de nombreux noms attestés en Egypte ancienne : Atoum, Antef, Sek, Meri, Kara, Bara, Bari, Raka, Sen Sar, Kaba, Keti, Amenti, Kamara, Konare, Sankale, Sangare, Sankare, etc.   En 1984, L'UNESCO publie dans le cadre de la rédaction de l'Histoire générale de l'Afrique dans la collection associée, Études

Noun qui n’est pas encore quelque chose, contient en germe, toutes les potentialités de l‟être, mais à l’état sommeillant. Cet état est désigné par le mot égyptien qui va ensuite donner tèm, qui signifie « ne pas être ». Or c’est le même mot Itèm, Atoum, c’est-à-dire « l‟être-parfait ». A un moment donné, moment difficile à déterminer, la potentialité sommeillant dans le Noun va s’éveiller à l’existence, en prenant conscience d’elle-même : c’est Rê, la conscience émergée du Noun. En tant que conscience

honorées par les familles régnantes accédèrent à un statut priviligié. Les divinités principales furent regroupées en famille, les ennéades et les ogdoades. Parmi les familles les plus importantes se trouvaient l’ennéade d’Héliopolis et son dieu créateur Atoum et l’ogdoade d’Hermopolis et son dieux central Rê. Après l’unification de la Basse et de la Haute Egypte, la religion devint polythéiste. Les dieux égyptiens étaient la personnification des éléments naturels, des évènements de la vie et des sentiments

créateur du monde. Selon les Egyptiens, Rê navigue éternellement au ciel dans sa barque. Le Dieu soleil peut prendre la forme d’un scarabée (Khepri), d’un homme à tête de faucon (Horakhty) ou encore un être à tête de bélier à la tombée de la nuit (Atoum). Seth est un Dieu violent meurtrier de son frère Osiris, il a la forme d’un homme portant la tête d’un animal toujours non identifié de nos jours c’est-à-dire un âne ou un porc. Seth symbolise le désordre cosmique cependant des bons côtés s’ajoutent

et Amon devinrent : Amon-Rê. A l’aube, les Egyptiens nommèrent le Soleil Khépri, le Scarabée qui roule une boulette de fumier, rond comme le disque solaire ; à midi, il se nomme Horakhty, le faucon qui vole haut dans le ciel ; le soir, il s’appelle Atoum le Vieillard, autrement dit « celui qui va mourir ». Pendant la nuit, Rê traverse le royaume des morts ou les défunts l’aide à pousser sa barque d’or. On ne sait pas exactement ce qui se passe lorsque Rê n’est pas visible des mortelles, car l’histoire

infernaux Rajeunissant inexplicablement après leur bain dans les eaux du delta, l’une pour renaître et l’autre pour mourir, la mendiante et Anne-Marie Stretter s’imposent donc bien comme deux incarnations symétriques du soleil. Comme elles, le viel Atoum des Égyptiens connaît une nouvelle jeunesse sous les traits de Râ après avoir enduré le long cheminement initiatique de la nuit infernale. Car c’est bien l’enfer que visitent les deux femmes. De sorte que leur voyage, tout en s’apparentant à celui

U002+U009+U017 +B071 'Imn−R' U002+B024+U013 +H403 'Imn−R'−nsw−ntrw U002+B024+U010 +H403+B056+U022 +U010+T008+H714 'Imsti 'Inpw U002+U010+U007 +U005+H210 'Inpw C015 Anubis H211+H021 Anhour C016 dieu de this Ahy C017 fils de Hathor C018 Atoum 'In−hrt B078+U010+U013 +B024+U011+U022 +H410 'Ihy U002+U013+U003 +H007 'Itm U002+U022+B072 Aton C019 le disque solaire comme divinité Anoukis C020 déesse d'Assouan C021 Anty Ouadjit C022 déesse cobra de basse égypte Oupouaout dieu chacal

environnement naturel date depuis l’Antiquité. Les mythologies égyptiennes, grecques et romaines mettent en avant l’importance de la nature par la présence des Dieux : chez les grecques, Héphaïstos (dieu du feu), Poséidon (dieu de la mer), chez les égyptiens, Atoum (dieu du soleil) et même chez les Vikings, Freyr (dieu des fruits de la terre). Ce n’est qu’à la deuxième moitié du XXè siècle, que l’association de l’activité humaine avec les écosystèmes est de nouveau relancée. En 1951, le premier Rapport sur

l’ordonnant, elle donne aussi naissance à un monde structuré. Exemple avec la cosmogonie égyptienne d’Héliopolis (vers 2400 av. J.-C.) : au commencement du monde était le chaos constitué par les eaux primordiales, le Noun. Depuis ce néant, le dieu solaire Atoum-Rê se donna lui-même naissance, créant la lumière ; ainsi prit fin le chaos, et l’Univers fut alors doté d’équilibre et de vie… À l’instar de ce mythe exhumé des pyramides, le thème de l’énergie originelle fécondant la matière est omniprésent dans