Attentes Du Lecteur

Sujet: attendez-vous du personnage principal d'un roman qu'il soit un héros? Dans la dimension littéraires, chaque lecteur a ses préférences. Cela peut dépendre du genre du roman: fiction, réalisme, policier... mais aussi du rôle que porte le personnage principal. Ce dernier peut nous plaire, nous décevoir, être un héros ou un anti-héros. En parlant de héros, nous comprennons un personnage qui nous plait et auquel nous espérons ressembler et par conséquent un anti-héros est un personnage

Korkmaz Seyma 1G1Commentaire : Paul-Jean Toulet « L’Alchimiste » L’École Fantaisiste était un mouvement littéraire désignant un groupe de poète du XIXe siècle qui tentèrent un renouveau poétique. Les Fantaisistes se sont attachés à ne suivre que les caprices de leurs imagination sans se préoccuper des règles de la littérature classique. Non seulement, ils souhaitaient s’affranchir de la loi commune, railler le bon sens et créer des paradoxes. Mais ils voulaient aussi étonner

une pièce centrée sur le conflit famillial, mais aussi sur la crise personnelle car Louis annonce d'entrée ça mort prochaine. Il annonce aussi sont envie d'en faire part a ça famille, mais cette aveu est empêché, et le public et sans cesse dans une attente interminable. C'est pourquoi Jean-Pierre Sarrazac, analyse la pièce comme: " Un drame qui n'advient pas, qui restera l'affaire intime d'un seul, en butte a l'impossibilité de se faire entendre ou a celle de s'exprimer". L'homme de théâtre insiste

résolution du problème, une chute : de l'émotion quoi! A) Cas des comédies, tragédies Le dénouement a donc comme fonction première de terminer une comédie ou une tragédie. Il fixe définitivement le genre de la pièce et répond généralement aux attentes des spectateurs. Ainsi, les spectateurs des comédies viennent souvent pour se détendre ou même rire. Le dénouement de la comédie résout les obstacles survenus pendant toute la pièce et met fin au quiproquo très utilisé dans les pièces de Molière

Problématique : Comment à travers se double dialogue, Meursault apparait-il comme un anti-héros ? Nous verrons tout d’abord une double déception avec le personnage décevant, puis une déception portée par le texte même qui est contre aux attentes du lecteur. I Une double déception 1) Un tournant de vie ? * Deux proposition s’offre à lui proposition professionnelle et sur le mariage * Tout d’abord, proposition professionnelle, assez flou. Projet vague, le patron voulait savoir si

interprétations (ex. : Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir). III. Le personnage de roman se trouve entre le désir de l'écrivain et les attentes du lecteur. a) Il est porteur du sens que l'auteur a voulu lui donner. Il peut signifier une condition sociale (ex. : Lantier dans Germinal) ou porter une idée philosophique. b) Il est porteur des attentes des lecteurs. Il permet l'identification et agit comme un miroir de l'âme humaine. Conclusion Il serait donc illusoire de croire à ces auteurs qui

lire Une œuvre littéraire est le fruit d’un long processus de fabrication, de diffusion et de réception par les lecteurs. 1. L’édition du livre Le statut de l’auteur : Jusqu’à la fin du XVIIe siècle, l’écrivain vit souvent grâce au système du mécénat : un protecteur puissant entretient l’artiste et lui commande parfois des œuvres. A partir du XIX e , le nombre des lecteurs s’accroît, l’édition se développe ; le droit d’auteur permet à l’écrivain d’être rémunéré en fonction de la vente de

courte sont faciles à mémoriser, et sont la source de chants révolutionnaires tels que « La Marseillaise » de Rouget de Lisle. C. Jouer avec le genre pour renverser les attentes Les attentes des lecteurs envers la poésie sont souvent figées, de sorte que le poète peut faire réfléchir le lecteur en renversant ses attentes comme Verlaine dans « L’enterrement » Conclusion : En conclusion, on constate que la poésie présente des atouts non négligeables pour critiquer la société. S’il est vrai

la difficulté […] » l.17 à 20. « sans doute » est répété deux fois, ce qui nous évoque une anaphore montrant l’obsession de connaître les véritables intention de ce tueur. On ne sait pas exactement à quoi s’attendre, le narrateur, comme le lecteur est en attente. Il attend une réaction de Jean-Claude Romand, on doute sur ses sentiments, sur ses intentions, sur sa véritable identité. Carrère interprète alors les actes du criminel, il évoque la précision qui nous pousse à croire que Romand n’éprouve

connaissances se sont ainsi constituées, d’une part (et surtout) sur les lecteurs, d’autre part sur les textes, et ces deux savoirs empiriques sont restés séparés. On connait bien qui dit quoi. » « Je prétends qu’il est inutile de chercher une solution à ces problèmes par une accumulation d’informations sur le lectorat, ou par un traitement de plus en plus « raffiné » de ces informations. Tant que le support et ses lecteurs seront conçus comme deux réalités séparées, ces problèmes ne pourront pas