Attentes Du Lecteur

en 1829. C'est un roman à thèse. Il est écrit à la première personne. Il a une légère ressemblance avec un journal intime. C'est l'histoire d'un homme condamné à mort pour crime de sang. Il va mourir, il le sait alors pour tromper son intolérable attente: il écrit. Le fait qu'il écrit presque un journal intime nous plonge vraiment bien dans la peau d'un homme qui vit ces derniers instant et pour qui le temps passe lentement. Les personnages principaux sont le condamné -le narrateur-. Marie, la fille

un soulagement inattendu. Tout ceci fait de l’arrivé du train une sorte de miracle sur lequel le personnage ne comptait plus. Le lecteur espère dès lors que la suite des événements soient à la hauteur de ce jaillissement soudain de la machine « comme d’un toril derrière la cabine de l’aiguilleur ». Cependant, cette apparition triomphale du train ne comble pas ses attentes. En effet, l‘écrivain marque déjà une rupture lorsqu‘il écrit que « l’événement (va) accoucher maigrement ». A partir de là le

pièce : peu d'éléments décrits « moustiquaire », « rectangle de lumière », « ombre des barreaux ». Contraste intérieur/extérieur. Formes géométriques, (comme dans le cubisme) + idée de verticalité « tombait ». C) L'atmosphère Tension, angoisse (le lecteur a connaissance des tensions de Tchen) Lieu clos qui rappel l'univers de la tragédie. La ville apporte la lumière (contraste), mais aussi les bruits, source d'angoisse. → « cette nuit écrasée d'angoisse n'était que clarté » => antithèse D) Des personnages

décrit la vie de Jeanne, de sa sortie du couvent jusqu'à sa mort, de ses rêves jusqu’à ses désillusions et de ses espérances jusqu’à son amertume. Ce début de roman est traditionnel mais original. La présentation de Jeanne et de son père permet aux lecteurs de cerner le caractère de ces personnages principaux et d’entrer directement au cœur de l'action. On a donc un début In Medias Res, c’est-à-dire qu’on est tout de suite dans la vie du personnage. L’analyse du texte reposera tout d’abord sur les

Dissertation Un héros de roman doit-il être complexe ? Le roman permet au lecteur de s’évader, de voyager avec les personnages. L’auteur qui les crée, peut faire en sorte que son histoire se rapporte à la vie réelle ou bien il peut effacer les contraintes pour permettre au lecteur de rêver. Il y a plusieurs personnages dont un qui peut devenir un héros, le héros est le personnage principal qui peut accomplir des exploits. Certains auteurs donnent des indices sur les traits de caractère de ce héros

ci-joint) Les besoins fonctionnels En front office: - Pour le réseau social Moteur de recherche, forum de discussion, ajout de commentaires, inscription à une liste de diffusion d'informations (newsletter), formulaire pour recueillir les attentes/demandes des utilisateurs, présence d'espace publicitaires (Google Adsence, partenaires,...), flux RSS,... - Pour le site de vente en ligne: gestion du panier d´achat, possibilité pour l´internaute de sauvegarder (durée) ou non ses choix dans un

La littérature éveille diverses émotions et sensations chez le lecteur ; Le roman y est propice. En effet, il offre au lecteur la possibilité de s’évader et de se distraire. Il s’impose également comme une source de réflexion ou un témoignage des problèmes de la vie économique et sociale (en lien avec une époque, une civilisation, …). Tous les genres de romans, sont favorables à l’imagination et la projection du lecteur dans une autre réalité que la sienne. Nous n’oublierons pas d’insister

constituant l’ouverture de L’Assommoir, c'est à dire qu’il doit tenir compte de certaines contraintes propres à un début de roman (fournir les informations et les repères nécessaires au lecteur). On étudiera donc comment Zola met ici en œuvre les règles de l’incipit romanesque. La nécessité de procurer des indications au lecteur est aussi une exigence caractéristique du roman naturaliste qui veut que le narrateur s’efface et donne l’impression que les faits sont livrés en toute objectivité. Cette ouverture

pourquoi l’utopie fait rêver le lecteur mais aussi a le faire réfléchir. Tout d’abord, l’utopie procure au lecteur une évasion vers d’autres lieux, vers d’autres horizons. Une de ses caractéristiques, c’est le recours à un récit de fiction. Or qui dit récit, dit narration. D’autre part, le rêve suppose l’imagination à ce que l’on ne connaît pas mais à ce que l’on souhaite. Donc la fiction proposée par le genre utopique répond bien aux attentes du lecteur. On retrouve le côté fictif dans

interprète en fonction de son intérêt et de ses passions auteur s'efface au profit de son personnage qu'il immerge dans une réalité qu'il lui faut découvrir en même temps que le lecteur. Certes l'auteur intervient pour expliquer ce qu'éprouve le personnage pour commenter ses pensées et paroles mais le plus souvent, le lecteur n'en sait pas plus que le héros => création de l'illusion de la réalité. A lire : extrait des Misérables de Victor Hugo, 2è partie, livre I : « Alors on vit un spectacle