Attentes Du Lecteur

etre joué.Scènes d’exposition : le genre, registre, le cadre spatiaux, temporelle, introduire les personnages (et leurs caractéristiques), installer l’intrigue principal, l’horizon d’attente (pacte avec le lecteur) et expliquer la situation.Les personnagesL’intrigue passéLe registreLes attentes des spectateursNéron : empereur et fils Agrippine Britannicus : fils de l’empereur ClaudiusAgrippine : veuve de Domitius (père de Néron) puis veuve de Claudius ne parle plus avec son filsJunie : amante de BritannicusAloïne :

doctrine humaniste. Lecture Problématiques - Le lecteur peut-il s’identifier au personnage de Gargantua ? - En quoi cet incipit est-il l’ouverture d’un roman de chevalerie ? - En quoi cet incipit est-il en rupture avec les romans de chevalerie ? Annonce du plan ANALYSE I- Adresse au lecteur Situation de communication mise en place par l’utilisation de la première personne (« je »), le fait que l’auteur s’adresse au lecteur (« vous »), il parle de son personnage ainsi que de lui-même

manifester vos compétences littéraires, en répondant à des questions de même type. La différence essentielle réside dans les modalités de communication : – à l’écrit, vous aurez à rédiger des textes explicatifs et argumentatifs à destination d’un lecteur absent. – à l’oral, vous vous adresserez à un interlocuteur présent en direction de qui il vous faudra argumenter vos points de vue, d’abord par l’exposé, puis dans l’échange verbal, en réponse à des questions ou à des contestations de vos points

personnage de l’histoire. Le narrateur est généralement un personnage principal du roman, mais peut également (plus rarement) n’être qu’un personnage secondaire. Dans les deux cas, il ne donne qu’un point de vue (le sien) et laisse le choix au lecteur de s’associer ou non à ce point de vue (peut plus facilement être remis en question). Ce mode narratif implique généralement une bonne connaissance des émotions et des pensées du narrateur. Exemple : ___________________________ — Récit à la

personnages pour permettre au lecteur, au destinataire de les imaginer, de les voir à son tour. Dans le cas des personnes ou des personnages, on parle de portrait. Cette fonction est avant tout explicative et/ou informative ; c’est pourquoi on le trouve sous forme de séquence dans de nombreux écrits et surtout les ouvrages documentaires, les récits de voyage, les guides touristiques ou les romans. Fonctions implicites : - narrative : grâce à une description : le lecteur peut mieux ressentir l’atmosphère

transmettre une pensée parait plus efficace pour en convaincre le lecteur ? Introduction : Dans le domaine littéraire, on définit l’argumentation, soit directe ou indirecte, comme une stratégie ou une façon efficace mise en place par l’écrivain pour faire connaitre aux lecteurs sa position, son point de vue ou sa propre thèse sur un thème déterminé. En argumentant, l’auteur justifie donc une opinion personnelle et cherche à convaincre le lecteur par l’usage de la raison. Cependant, il existe deux formes

s’écrit pour divertir le lecteur. Une histoire est racontée et sort le lecteur de sa vie quotidienne en le plongeant dans une aventure. C’est aussi ce qui donne au lecteur l’envie de continuer la lecture du roman. Dans toutes les œuvres fantastiques, malgré une hésitation entre deux interprétations, l’une rationnelle et l’autre irrationnelle, l’histoire est fondée et essaie au départ de se rapprocher le plus possible de la vie réelle. En même temps qu’il permet au lecteur de vivre des aventures singulières

Sujet : La littérature peut-elle apporter le réconfort au lecteur par rapport aux questions graves qu’il se pose ? Que cherche t-on quand on ouvre un livre : un simple divertissement ou une réponse à des questions essentielles ? Le lecteur y cherche parfois et y trouve souvent des solutions aux questions inquiétantes qu’il se pose, comme la peur de la mort par exemple. Peut-on trouver dans la littérature des réponses aux interrogations graves que nous nous posons ? La lecture apporte parfois du

dramaturge comique le plus fameux de l’époque classique, Molière. Les pièces sont d’ailleurs trois comédies dites « sérieuses ». Examinons comment dans ces trois extraits de scènes d’exposition, le dramaturge s’y prend pour captiver son lecteur/spectateur. Dans les textes la technique diffère sensiblement, entre le texte 1 (l’école des femmes) et les deux suivants. Le premier texte appâte en misant tout sur l’effet d’annonce et donc sur la fonction informative d’une exposition

puisqu’il est souvent interrompu par du dialogue qui rythme la description. De plus, Séverine entre dans le récit par un verbe de mouvement « poussa la porte » qui d’emblée donne du dynamisme à l’extrait.Elle nous est d’abord présentée physiquement. Le lecteur apprend qu’elle a 25 ans, et divers adjectifs attributs du sujet « elle » nous renseignent sur sa silhouette. «grande, mince, très souple, grasse ». Le narrateur s’attache ensuite à décrire son visage sans pour autant que cette description nous permette