Attijariwafa Bank Contrôle De Gestion

au grand public Mr SAID LABDI : Chargé de clientèle intermédiaire au grand public Mr ZEKLANI KHALID : Chargé de clientèle professionnel Je tiens enfin à saluer l'esprit de camaraderie qui a régné pendant cette période de stage dans l'agence BMCE BANK Je dédie également ce travail à ma chère famille qui m'a toujours soutenus durant la période des études, et à tout mes amis et amies, et à tout ceux qui connaissent la famille de EL KHADDAR . Sommaire Remerciement……………………………………………………………………….

Stage d initiation Siège de la BANQUE POPULAIRE Régionale Marrakech- Beni Mellal AGENCE DAOUDIATE - Stage effectué entre le 02 - 09 - 2014 et le 01 - 10 - 2014. Réalisé par : AZZEDDINE ALLIOUI Etudiant à l’Ecole Nationale de Commerce et de Gestion de Marrakech. 1 | P a g e A Z Z E D D I N E A L L I O U I Avant tout développement sur cette expérience professionnelle, il apparaît opportun de commencer ce rapport de stage par des remerciements

à terme pour toute personne physique ou morale, au nom de laquelle ou par laquelle des fonds sont versés { la caisse { titre d’épargne. Poste Maroc assure le service des mandats-poste des régimes internesexternes, il se charge également de la gestion du service des comptes courants de chèques postaux conformément à la législation en vigueur. Les opérations d’émission et de paiement ainsi que celles de retrait et de dépôt effectuées par Poste Maroc, au titre des services précités, sont imputées

………………………………………………………...3 I- Le secteur bancaire au Maroc Section I : Le paysage bancaire marocain A. Présentation générale……………………………………………… .. .4 B. Les réformes du secteur……………………………………………….5 Section II : La Banque Centrale « Bank Al-Maghreb » A. Historique de Bank Al-Maghreb (BAM)…………………………… 8 B. Les rôles de la Banque Centrale……………………………………...9 II-  Le Groupe Banques Populaires Section I : Présentation du Groupe A. Organisation du Groupe……………………………………………..12 B. Chiffres

dans la mesure qu’elles n’avaient pas le droit de percevoir des dispositions financières , les banques ont essayées de créer un édifice juridique en donnant un habillage financier aux fonds qu’elles pouvaient percevoir en les appelant « frais de gestion ». (1) Adama Sylla «Barid Al Maghrib finalise trois méga-projets» Hebdomadaire « la gazette du Maroc » Du 14 Fév 2003 (2) Dahir 1-05-178 promulguant la loi 34-03.  Et surtout par l’intermédiaire

des abréviations GBP : Groupe Banques Populaires BPR : Banque Populaire Régionale BCP : Banque Centrale Populaire CD : Comité Directeur DCF : Département Comptabilité et Finance DTF : Dépense et Traitement Fiscaux AWB : Attijariwafa Bank BMCE : Banque Marocaine du Commerce Extérieur MAD : Dirham CPM : Crédit Populaire du Maroc PME : Petites et Moyennes Entreprises MRE : Marocains Résidents à l’Etranger TTC : Toutes Taxes Comprises TVA : Taxe sur la Valeur

son ensemble. Sur la base de ce contexte, nous allons nous concentrés sur une réflexion qui vise à expliquer le mécanisme de titrisation, à étudier son impact et les intérêts que procurent aux banques notamment en termes de refinancement et de gestion de leurs bilan. Pour ce faire, nous nous sommes posé les questions suivantes : Qu’apporte la titrisation aux banques ? Quel est l'impact de la titrisation sur le système bancaire marocain? Pour mener à bien ce travail, nous essaierons de répondre

au capital de 100 000 DH fondée par Accor pour abriter les deux contrats de location des villages de vacances CORALIA à Marrakech et Agadir. * Son activité principale est l’hôtellerie. * Ses principaux actionnaires sont : ACCOR SA, BMCE Bank, CFG Group, MAMDA-MCMA, RMA WATANIYA, la Société d’Investissement et d’Expansion Touristique; T Capital Group; Maghreb SIYAHA FUND ; CIMR et autres actionnaires. * En juillet 1996, RISMA est transformée en Société Anonyme et augmente son capital

Sud-Sud Cas du Maroc avec les pays subsahariens Préparé par : Kalifa Singhateh Ecole Nationale d’Administration Gestion de développement et de l’action sociale Promotion 9 Plan Introduction Section 1 : Le positionnement du Maroc au niveau de marchés africains A. Le cadre réglementaire B. L’intensité des échanges bilatéraux Section 2. Les courants d’échanges

0% 2000 5,6% 2003 2004 Croissance du PIB 2005 4,4% 4,6% 2,9% 2,4% 4,2% 3,5% 1,4% 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013E 2014E Croissance du PIB non-agricole Source : Rapports annuels Bank-Al-Maghrib, Estimations CFG Research pour 2013E, et Estimations CFG Research pour 2014E sur la base d’un consensus des prévisions de divers organismes nationaux et internationaux Le ralentissement des activités non agricoles s’explique principalement