Attijariwafa Bank Et Risques De Credit

AVANT PROPOS 1/ PRESENTATION GENERALE D’ATTIJARI BANK Créée en juillet 1968 dans la région du sud tunisien, sous le nom de « Banque du Sud », la banque a Contribué depuis sa constitution au financement de l'économie nationale, et a étendu sa représentation sur l'ensemble du territoire tunisien. Fin 2005, le consortium Andalumaghreb constitué de Grupo Santander et Attijariwafa bank a acquis 53,5% du capital de la Banque du Sud. Sur décision du Conseil d’Administration

de la puissance publique, aussi bien en termes de détention du capital qu'en terme de fixation des règles de fonctionnement du marché, notamment en ce qui concerne les taux débiteurs et créditeurs, le prix des services bancaires, les quantités de crédits distribuées, l'entrée dans le secteur, le choix des clients...etc. Ces conditions permettaient d'assurer aux acteurs bancaires des revenus appréciables. Historiquement, le système bancaire marocain est passé par trois phases importantes qui ont marqué

faisant grief à la suite de quoi une partie a intenté un recours pour excès de pouvoir. Ce faisant, le statut du « pouvoir consultatif » du Conseil de la concurrence lui permettant de formuler librement des recommandations n’a guère été éprouvé par le risque du recours pour excès de pouvoir. Le recours en appel manque donc à l’affiche des principes généraux de la procédure juridictionnelle. Les avis du conseil n’ayant pas l’autorité de la chose jugée et ne sont pas revêtus de la formule exécutoire en

l’affacturage, citer un peu d’historique et préciser les avantages et les inconvénients. A) Définition : Au Maroc, l’affacturage est défini par la loi bancaire du 14 février 2006 : « L’affacturage est la convention par laquelle un établissement de crédit s’engage à recouvrer et à mobiliser des créances commerciales, soit en acquérant lesdites créances, soit en se portant mandataire du créancier avec, dans ce dernier cas, une garantie de bonne fin ». Concrètement, l’affacturage est une forme d’escompte

(GBP) : Le GBP est organisé en Crédit Populaire du Maroc qui comprend : Le CPM (régi par la Loi 12/96 du 17 octobre 2000 portant réforme du Crédit Populaire du Maroc) et composé de : o la Banque Centrale Populaire (établissement de crédit organisé sous le statut de société anonyme. o 11 Banques populaires régionales (banques de forme coopérative à capital variable à Directoire et à Conseil de Surveillance). Trois fondations :    La fondation pour le micro crédit La fondation Education et Culture

francophones et directrice générale de Bank of Africa-Côte d’Ivoire - Les banques chinoises à l'assaut des marchés occidentaux - Retour sur la perception chinoise de l'économie mondiale - Alliance entre la Société Générale (Maroc) et Extrabanca (Italie) - Spécialisation sur la clientèle des immigrés - Progression des principaux indicateurs d’Attijariwafa Bank - Distinguée «banque de l’année » 2010 par The Banker, revue spécialisée de Financial Times, Attijariwafa est confortée dans sa stratégie

siège social est à Casablanca, est une société anonyme à capital fixe et à conseil d’administration, cotée à la bourse des valeurs de Casablanca depuis le 08 juillet 2004. Elle est investie de deux missions principales : Etablissement de crédit, elle est habilitée à effectuer toutes les opérations de banque. Elle peut intervenir dans les circonscriptions territoriales des Banques Populaires Régionales, mais en accord avec celles-ci ; Organisme central bancaire des BPR

la norme IAS 35 : Quelles pertinences et quelles implications pour le crédit agricole du Maroc ? • L’utilisation de la value at Risk pour la mesure du risque de trading sur un portefeuille d’actions via la méthode historique • Audit des placements des opérations d’assurance cas de la compagnie Atlanta • Mise en place de la fonction fiscalité au sein de CDG capital : manuel des procédures et cartographie de risques • La conception des tableaux de bord du pole moyens communs de poste

un système organisé ; puis il s’est propagé dans le monde. En effet, pendant près d'un siècle vont se développer des systèmes de prise en charge économique des conséquences des risques qualifiés de sociaux. La santé reste le domaine de prédilection le plus couvert par le mutualisme. Mais d’autres domaines à risque seront par la suite concernés, notamment aux niveaux industriel et agricole. Le système mutualiste au Maroc n’est apparu qu’avec le Protectorat. Les premières mutuelles ont été créées

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