Au bord du lit

quarante-deux ans qui vivait dans une demeure se situant au bord de la Seine.  Un jour sans raison apparente il fut pris d’étranges sensations et de malaises qui laissèrent penser à cet homme qu’il n’était pas seul, qu’on le suivait quoi qu’il fasse, qu’il était pourchassé par un être qu’il ne pouvait voir.  Le narrateur nous décrit son angoisse et l’instabilité du fonctionnement de ses sens. Un jour il s’endormit en laissant près de son lit une carafe remplie d’eau.  A son réveil qu’elle ne fut pas

Carnet de lecture :« Métamorphose en bord de ciel »Mathias Malzieu. 1. Avant la lecture : le paratexte.Samedi 24 novembre après-midi, assise sur le canapé du salon avec l'ordinateur sur les jambes.Le nom de l'auteur ne me disait rien, mais j'ai vu qu'il fait partie du groupe Dionysos dont j'ai déjà entendu parler. Je l'ai aussi déjà vu une fois à la télévision. D'ailleurs, l'illustration du roman m'y a fait penser, étant donné que la fois où j'ai vu le groupe à la télévision, le chanteur avait

de la sécurité et de la vie des prostituées. La disposition qui empêche une prostituée de la rue de recourir à un refuge sûr (...) alors qu'un tueur en série est soupçonné de sévir dans les rues est une disposition qui a perdu de vue son objectif », lit-on dans le jugement. L'effet préjudiciable de l'interdiction de la sollicitation sur le droit à la sécurité des prostituées de la rue est également « totalement disproportionné » par rapport au risque de nuisance causé par cette pratique, estime

Analyse de situation n°1 Identification de la personne et de la situation : La situation exposée ce situe dans le service de SSR d'un Centre Hospitalier. La situation est une toilette au lit d'une patiente atteinte de la maladie de Parkinson. La patiente nécessite donc une aide à la toilette ainsi qu’une aide lors des repas (aide pour couper la viande et éplucher les fruits) et des déplacements (aide a la locomotion avec un déambulateur sous surveillance d'un membre du personnel). Madame est

a eu deux enfants et qui vient lui rendre visite hebdomadairement. M. (nom) travaillait dans le bâtiment et la confection. Il bénéficie de la sécu, mutuelle, prise en charge etc. Antécédents médicaux : * Révolus * Escarres du sacrum et bord externe du pied droit en 2007 * Escarres des deux talons en 2008 cicatrisés * Evolutifs * HTA * AVC hémorragique en 2001 compliqué d’une hémiparésie droite et une aphasie * AVC du tronc cérébral + état de mal épileptique le 18/03/2007

de scopolamine mais aussi du fait de ne pouvoir s'hydrater par la bouche. C'est pour cela que lui sont régulièrement fait des soins de bouche. Le soin de bouche est fait dans sa chambre, alors qu'elle se trouve en position demi assise dans son lit. Il est effectué par D. qui est habillée en tenue civile, a les cheveux détachés, les ongles courts et démunis de vernis. D. se lave préalablement les mains. Elle effectue une hygiène des mains simple (UE 2.10) qui est réalisée dans la salle de bain

faim, je vais plutôt aller me coucher, j’ai eu une journée bien remplie et la voisine peut bien attendre demain. Guillemette : Oui, elle peut. Mais notre lit est si peu confortable, nous pourrions en acquérir un neuf, tu dormirais mieux. Pathelin : Non, ne t’inquiète pas pour cela, je n’en ai pas besoin tout de suite. Si tu a envie d’un lit je t’en payerai un demain, d’accord ? Guillemette : Oui, mais j’insiste pour que nous fêtions ta victoire au tribunal. Nous pourrions nous payer un de ces

"POURQUOI LIT-ON DES CLASSIQUES?" Introduction: Calvino a dit "Toute première lecture d'un classique est en réalité une relecture" .Il veut dire ici que tout le monde connait des classiques: Candide, Roméo et Juliette, Bel-Ami,L'Avare, Les Fables de la fontaine nous évoquent à tous quelque chôse.On a toujours lu des classiques, on en lit encore et on en lira toujours car ces oeuvres, qui ont inspirées de nombreux auteurs sont intemporelles. Mais il faut se demander qu'elles sont vraiment les

politesse) , comment allez-vous ce matin ? (attitude de questionnement d’E. Porter) Elle est assise dos à moi sur le bord de son lit, la tête baissée et ne me répond pas. (communication non verbale émotion de tristesse de P. Ekman) Je me rapproche d’elle et m’agenouille à côté du lit (je me mets à la même hauteur pas de relation dominé/dominant, proxémie d’E. Hall : je rentre dans une distance personnelle) .

hydro-alcoolique, je lui annonce simplement que nous allons commencer la toilette. Elle acquiesce. Je monte alors le lit, baisse le dossier et lui signale que je vais enlever le draps. Je lui nettoie les jambes et les pieds et lui mets les bandes de contention. Je lui mets ensuite ses pantoufles. Je baisse le lit, et lui propose ensuite de m'aider à la lever en s'asseyant au bord du lit ce qu'elle fait avec beaucoup de plaisir mais difficilement. Je lui approche alors le déambulateur et elle se lève