Au clair de la lune

ainsi qu'une médaille neuve La pleine lune s'étalait, Et la solennité de la nuit, comme un fleuve, Sur Paris dormant ruisselait. Et le long des maisons, sous les portes cochères, Des chats passaient furtivement, L'oreille au guet, ou bien, comme des ombres chères, Nous accompagnaient lentement. Tout à coup, au milieu de l'intimité libre Éclose à la pâle clarté, De vous, riche et sonore instrument où ne vibre Que la radieuse gaieté, De vous, claire et joyeuse ainsi qu'une fanfare Dans

Chloé Vaysse La Nuit dans la peinture Nuit Rhénane Mon verre est plein d’un vin trembleur comme une flamme Ecoutez la chanson lente d’un batelier Qui raconte avoir vu sous la lune sept femmes Tordre leurs cheveux verts et longs jusqu’à leurs pieds Debout chantez pus haut en dansant une ronde Que je n’entende plus le chant du batelier Et mettez près de moi toutes les filles blondes Au regard immobile aux nattes repliées Le Rhin, le Rhin est ivre

par rapport aux autres arts, et surtout, par rapport à la littérature. Parlant donc de cette relation assez particulière né au début du siècle passé, d’aucun affirme qu’« au début du XXe siècle, la littérature est une chance pour le cinéma». Il est clair que de tels propos font allusion aux profonds renouvellements qu’a connu le cinéma avec l’adaptation cinématographique des œuvres littéraires. Quelles sont partant les circonstances historiques et les raisons pour lesquelles l'industrie du cinéma

Charles d'Orléans (1394 - 1465) Rondeau de printemps ( Le temps a laissé son manteau De vent, de froidure et de pluie,  Et s'est vêtu de broderie,  De soleil luisant, clair et beau. Il n'y a bête ni oiseau Qu'en son jargon ne chante ou crie :  Le temps a laissé son manteau  De vent, de froidure et de pluie. Rivière, fontaine et ruisseau  Portent en livrée jolie  Gouttes d'argent, d'orfèvrerie;  Chacun s'habille de nouveau:  Le temps a laissé son manteau. Alphonse de Lamartine (1790

la composition, selon la mythologie basque qui donne le titre de l’œuvre en espagnol . Autour de lui apparaissent des ​ sorciers​ jeunes et vieux, qui lui donnent à manger son plat favori : des enfants, suivant la légende. Dans le ciel nocturne, la lune brille et des animaux volent (ce pourrait être des chauves-souris). Au premier plan nous voyons des femmes et des enfants qui semblent accomplire un rituel . Le bouc est mis en évidence , en avant ; il représente le diable .Il porte une couronne de

Ce groupement de textes, constitué de « Le lac » (de Lamartine), « Fantaisie » (de Nerval), « La maison du berger » (de Vigny), « Clair de lune » d’Hugo et « Ondine » de Bertrand, reprend des poèmes du 19° siècle, période marquée par des transitions dans certains domaines comme l’art mais aussi par le progrès en marche. Chaque texte du corpus est marqué par une forte présence de la première personne du singulier où est illustrée une recherche d’évasion de leur monde et leur époque de la part des

l'élève 1-développer chez lui le sens de l'observation scientifique. 2- atteindre des objectifs tels apprendre a observer des phénomènes qu'ils soient naturels ou pas 3- se poser des question 4- dégager une conclusion claire er fondée 5- faire des expériences claire, simple et fondamentale UNITES ET SUJET DES COURS CHAPITRE 1 ̶ Notion de généralités ̶ Sciences expérimentales def ̶ Subdivision des sces expérimentales ̶ Subdivision des sces physiques ̶ Physiques def

chaque élève a créé des métaphores et de belles images poétiques. Voici leurs œuvres : QUENTIN Je suis l’eau qui créé des fléaux Je suis le poisson agile Je suis le requin qui nage sans fin Je suis la mer qui respire le grand air Je suis la lune qui éclaire l’écume Je suis le soleil attirant l’abeille Je suis la luciole attirant la lumière Je suis la terre faisant pousser des merveilles Je suis la plante résistante Je suis l’espace qui fait rêver Je suis l’arbre majestueux Je suis l’univers

admirateurs. Son fils Alfred vend et disperse ce qu’il reste des œuvres de Gustave Le Gray et celles-ci mettront de nombreuses décennies avant d’émerger et de faire connaitre à nouveau ce personnage de talent. PHOTOGRAPHIE Brick [dit Brick au clair de lune], Normandie, 1856 Tirage sur papier albuminé, négatif sur verre au collodion, 320 x 420 mm Conservé au à Paris au musée d’Orsay Cette photographie de Gustave Le Gray fait partie de la série des Marines de Normandie exécutée semble t-il à l’été

navire Avec tous ses drapeaux au ciel, La troisième, elle, est d’un navire Ainsi qu’ils vont sous le soleil, Avec leurs mâts avec leurs ancres, Et leur proue peinte en rouge ou vert, Avec leurs mâts, avec leurs ancres, Et tout en haut leur guidon clair. Or, la troisième, elle, est dans l’air, Et puis aussi, elle, est dans l’eau, Or, la troisième sur la mer Est comme y sont les blancs bateaux, Et les rochers, et les accores, Et terre dure ou sable mol, Et les rochers, et les accores, Et les