Au clair de la lune

Ecrit par : NOURI SIRINE Remarque : j’étais surréaliste dans ce poème si non je n’ose jamais dire que je ne suis rien. Une nuit noire Une nuit noire La lumière est claire Des yeux sévères Une musique douce Mes idées poussent Au clair de la lune Les arbres pleurent Les fleurs dorent Moi, la pluie, et la lune. On cherche la douceur On cherche une nuit timide Mais nous, vous Nous, vous, on pleure Nos cœurs blessés Nos yeux fermés Nos sentiments soudés Se dévoilent cette

donneur de sérénade . On pense bien sûr à la délicatesse des tons utilisée dans la peinture de Watteau: « bleues, rose, gris » , aux jardins qui , « sous les ramures » cachent les amoureux, au clair-obscur favorable à la galanterie : puisqu'ici encore , comme dans « Clair de lune », la scène a lieu la nuit : cf « lune » (v14) L'importance de la musique dans cette scène: "Trumeau" abandonné au profit de "Mandoline" . La musique est dans le titre, le champ lexical « sérénade », « brise », « ramures chanteuses »

parle à Hélicon de la lune. Caligula a « beaucoup marché », il est « fatigué » et il a prit conscience « d’une vérité qui [lui] rend la lune nécessaire». Plus loin, à la scène IV de l’Acte III, Caligula dit : « Je l’ai eue tout à fait même. » ensuite il continue : « J’étais déjà couché. Elle était d’abord toute sanglante, au-dessus de l’horizon. Puis elle a commencé à monter, de plus en plus légère, avec une rapidité croissante. Plus elle montait, plus elle devenait claire. Elle est devenue comme

 ISLAM : LA SPLENDEUR DU TRÔNE D'ALLAH. Au commencement il y eut l’eau. Et l’eau était agitée de mille petits mouvements. Et il lui fut ordonné de cesser de remuer. Ce fut alors une eau claire et sans écume. Sur l’eau fut installé le trône du Créateur, fait d’une substance verte dont la beauté, l’immensité et l’éclat sont indescriptibles. Soixante-dix mille langues sont attachées au trône et y louent le Créateur en une multitude de langages. Allah fit

est appliquée de manière à produire la sensation d’un ciel avec ses nuages qui disparaissent au fur et a mesure qui semblent se prolonger au-delà du tableau. A l’opposé, la partie droite qui est sombre, le cercle bleu se détache sur un fond jaune clair, rythmé par la ligne serpentine noire  d’épaisseur variée, qui est de plus en plus épaisse. Entre les deux polarités du jaune et du bleu, se déploie une multiplicité de formes : rectangles rouges, se lisant derrière les transparences des formes qui

français par M. Bois en 1978 Le vent du Sud. Notre objectif est de démontrer que le traducteur n’emprunte par les mêmes procédés pour traduire les métaphores. Que ces procédés de traduction soient adoptés d’une manière consciente ou inconsciente, il est clair que, souvent, ce choix est motivé par des paramètres culturels et sociaux. Ainsi nous nous proposons, dans ce travail, d’effectuer une analyse de cette figure de style confrontée à son équivalent en traduction. Nous essayerons de décrire jusqu’à quel

des poètes « Je suis aussi nu que le feu… » Je suis aussi nu que le feu Que la fougère Que la nuit où crèchent les bœufs Nu comme un ver. Mes mains. Des insectes dedans. Mes mains me brûlent. Les oiseaux y boivent souvent Une eau de lune. Mains qui consacrent Qui consolent. Messe des mains Qui déplacent la nuit des hommes Jusqu’au matin. Suis-je si seul d’être si vieux Quel est mon crime ? Je suis aussi nu que le feu Que Dieu domine… Charles LE QUINTREC, Stances du Verbe

enfin devenir une allégorie du poète puis la dégradation du poème. On peut remarquer le champ lexical de la nature à travers les expressions « lune », « découpures du vert » et « massif ». Cette nature belle et chaleureuse est souvent utilisée dans la poésie romantique. L’antithèse « clair/sombre » v2.3 rapporte à une promenade romantique au clair de lune. On peut observer une anaphore du mot « un chant » dans chaque tercet. L’utilisation d’un article indéfinie pour citer cette voix crée une atmosphère

profondes, Des enfants dans vos mains tenant les têtes blondes, Vous me parlez ici, Et vous me demandez, sollicitude amère ! - Où donc ton père ? où donc ton fils ? où donc ta mère ? - Ils voyagent aussi ! Le voyage qu'ils font n'a ni soleil, ni lune ; Nul homme n'y peut rien porter de sa fortune, Tant le maître est jaloux ! Le voyage qu'ils font est profond et sans bornes, On le fait à pas lents, parmi des faces mornes, Et nous le ferons tous ! J'étais à leur départ comme j'étais au vôtre

visage chante? Dis-moi quel malheur fou fait éclater ton œil D'un désespoir si haut que la douleur farouche, Affolée, en personne, orne ta ronde bouche Malgré tes pleurs glacés, d'un sourire de deuil? Ne chante pas ce soir les « Costauds de la Lune » ! Gamin d'or sois plutôt princesse d'une tour Rêvant mélancolique à notre pauvre amour ; Ou sois le mousse blond qui veille à la grand'hune. Il descend vers le soir pour chanter sur le pont Parmi les matelots à genoux et nu-tête « L’Ave Maris