Au cœur des ténèbres

Focalisation : C’est un point de vue externe. Foma Grigoriévitch conte l’histoire, celle de son grand-père. Thèmes principaux : • L’obscurité / les ténèbres : champ lexical « le soir tombait… » ; « plus ils avançaient, plus il faisait sombre. » ; « …tout le ciel comme d’une bâche noire… » ; « …aussi sombre dans les champs… » ; « les ténèbres ». L’environnement est propice à l’apparition du diable. On ne présage rien de bon. • La présence du Diable : Il apparait tout d’abord dans l’histoire

langoureux vertige!Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir; Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige; Valse mélancolique et langoureux vertige! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige, Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir; Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir, Du passé lumineux recueille tout vestige! Le soleil

STRUCTURE CHIASMATIQUE Premier quatrain : rythme binaire, régulier = agréable, atmosphère chaleureuse, feu qui palpite = cœur = vie VS lac de sang = mort (Edgar Poe) ; carillon (léger et vivant) VS râle épais (relié à la mort, lourd) ; intérieur rassurant (feu qui palpite et qui fume = quiétude prénatale) VS dernière strophe extérieur étouffant + étouffé mais seul : ténèbres extérieures Souvenirs s’élèvent tandis que le blessé est « sous un grand tas de morts » sans pouvoir se mouvoir Carillons

il contempla ses oeuvres, et s'arrêta longtemps devant un groupe de chérubins ailés, dernier travail du jeune Benoni. "Cher enfant !" murmura-t-il avec un soupir. Ce pèlerinage accompli, Adoniram se retrouva dans la grande salle du temple. Les ténèbres épaissies autour de sa lampe se déroulaient en volutes rougeâtres, marquant les hautes nervures des voûtes, et les parois de la salle, d'où l'on sortait par trois portes regardant le septentrion, le couchant et l'orient. La première, celle du nord

froissement de feuilles » (l 5-6) rapproche encore davantage cette forêt de la faucheuse. En outre le fait que le champ lexical de la mort ne se fait pas rare sans citer « ténébreux » (l-5) ; « lugubres » (l-11) ; « lugubre » (l-23) ; «funèbre » (l-23) ; « ténèbres » (l-28) ; « apocalypse » (l-29) ; « bruit d’agonie » (l-29). Sans vie, mais pas sans éléments qui contribuent à l’atmosphère infiniment angoissante en désignant simplement une nuit profonde qui se révèle absolument ubiquiste. En effet, les

émettre des hypothèses en se basant sur ses connaissances et ses observations. La métaphore du flambeau et de l’obscurité ligne 12 à 14 représente cette démarche. Tandis que « les autres hommes » (l.11) se contentent d’avancer à tâtons « dans les ténèbres » qui symbolisent le doute et l’ignorance, le philosophe grâce à son recul et à sa réflexion, même si la vérité est éloignée et difficile d’accès, il « marche dans la nuit, mais il est précédé d’un flambeau ». En effet, ce flambeau fait écho à la

que dans Cage d’oiseau, de monsieur Garneau, cette fatalité mène à la mort. Dans ce poème, l’auteur définie la mort par l’action de «mangé»: «Il ne pourra s’en aller ∕Qu’après avoir tout mangé∕ Mon cœur∕ La source du sang ∕Avec la vie dedans» (vers 19 à 23). Garneau ressent le besoin de parler de son cœur qui le mènera probablement à une mort précoce . Garneau parle aussi de la mort à travers l’oiseau : «L’oiseau dans ma cage d’os ∕La mort dans ma cage d’os.» (vers 4, 14). L’Oiseau vit à l’intérieur

te produira des épines et des ronces…C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain… jusqu’à ce que tu retournes à la terre d’où tu as été pris… » (Gen. 3 :17-19). Désormais, l’homme et toute sa descendance sont obligés de vivre dans les ténèbres de la mort. Dieu déverse sur eux tous les maux qui cependant ne marquent pas la fin de l’histoire. Ils préparent une prise de conscience pour le petit reste qui essaye de revenir au Seigneur en se convertissant. Ainsi, Dieu conclut une alliance avec

 refuser  l’autre  et  de  lui  renvoyer  notre  problématique  qui  influencera  la  sienne.   Plus  nous  sommes  en  «  ordre  »,  centrés  aux  différents  niveaux  dans  le  cœur     et  dans  le  ventre,  plus  nous  sommes  à  la  fois  souples,  solides  et  moins  vulnérables.   7     Ces  confrontations  avec  un  autre  «  mauvais  »

Le fait que chaque élément reste imputrescible justifie l’idée que l’Acacia puisse être l’individu lui-même. Comme l’Acacia, le Maitre ne meurt jamais, il est assassiné et le secret meurt avec lui, du visible au subtil, des ténèbres à la connaissance, aucun autre que nous ne peut percevoir ce que porte nos cœurs et de quoi sont faites nos âmes. Je ne vous ferais pas l’affront de vous rappeler notre rituel de réception à la Maitrise, mais nous devons nous remémorer