Au cœur des ténèbres

musicien étaient sans égal: on disait que son chant et les sons qu'ils tirait de sa lyre charmaient même les objets inanimés. Une fois parvenu au cœur des Enfers, il se mit à jouer pour Hadès, leur roi, et son épouse Perséphone. Hadès se montrait d'ordinaire insensible aux suppliques des mortels, mais les notes éloquentes d'Orphée surent toucher son cœur, et il finit par consentir à la requête du jeune homme. Il décréta qu'Eurydice pourrait retourner sur terre avec son époux, si ce dernier s'engageait

mort rechercher le plaisir et fuir la douleur se désintéresser de la vie de la cité chants I et II : mise en place de la logique d’analyse des phénomènes Au début du livre II Lucrèce fait l’éloge du sage épicurien : délivré des « terreurs et des ténèbres de l’esprit », il connaît l’ataraxie (« absence de trouble » en grec). Cet extrait met en évidence l’opposition entre le sage et les autres hommes ; c’est aussi l’occasion pour Lucrèce d’exposer la conception épicurienne du bonheur ; enfin, il invite

de Bram stoker (1897). Inspiré d’un prince de Transylvanie du XV siècle. Archétype du vampire il inspira de nombreux films. FW Murneau Nosferatu , le vampire 1922. T Browning Dracula, 1931. T Fisher Le Cauchemar de Dracula 1958. Dracula prince des ténèbres (1966). » L’immortalité a depuis toujours été une source d’inspiration pour l’homme. Le mythe fantastique de Dracula le prouve et s’impose à travers les siècles sans prendre une ride. Légende animée par des chroniques populaires nourries

vent d'une manière très sophistiqué, comme un outil qui lui permet de changer de tonalité, puis l'usage de la métaphore « le vent de mer faisait trembler les chaises » donne l'idée de la mer qui engouffre le bonheur et remplace la lueur avec des ténèbres. La situation est un peu ambigüe car on sait pas si c'est à propos d'un état psychologique ou en fait physique car il est possible que le vent puisse faire bouger les chaises mais pas à ce point là. Dans la deuxième strophe il y a un changement

l’état d’esprit du poète (paysage état d’âme) : lire le poème CI « Brumes et pluies » (p.160) : «  Ô fins d’automne, hivers, printemps trempés de boue, / Endormeuses saisons ! Je vous aime et vous loue / D’envelopper ainsi mon coeur et mon cerveau / D’un linceul vaporeux et d’un vague tombeau  » : adéquation entre le décor et l’état d’esprit du poète en proie au spleen. «  Ici la boue est faite de nos

l’imaginaire. “En faisant le récit de son histoire”note l’éthologue Boris Cyrulnick “on ne la revit pas on la recrée” (MM, 21, 162). N’est-ce pas à ce décalage entre passé et récit que fait allusion Maryse Condé en donnant à son recueil autobiographique le coeur à rire et à pleurer le sous-titre “contes vrais de mon enfance”? Le roman de Simone Schwarz-Bart, Pluie et vent sur Télumée Miracle, se présente comme le récit autobiographique d’un personnage narrateur, Télumée. Composé de deux parties, “présentation

pâles », « vilain gaz sale » --) sentiment lié : mélancolie, agression, sent désagréable, tristesse « cœur assombri ». • L 51 « émotion imprévue et puissante », « exaltation », « folie » ==) transition, point de passage vers la folie ! Mais pas encore vraiment négatif rupture : point de transition « je marchai longtemps… » • L 56 Assombrissement : de plus en plus sombre, vers les ténèbres, la nuit, l’obscurité + de plus en plus seul : « avenue déserte » L59, « désert » L 70 L 57 présentiment

elle ne pouvait illuminer le paysage nocturne, à l’image de l’état d’esprit de Verlaine. Soleils couchants est par la richesse des suggestions, une poésie de l'angoisse. Le poète qui croit y échapper grâce à une douce mélancolie qui berce son cœur s'en trouve prisonnier. Le spectacle du soleil couchant où se mêlent les ors et les rouges invite le poète à la rêverie. Le pluriel de soleils indique que le paysage n'est pas à prendre au pied de la lettre, il s'agit d'un paysage rêvé, reflet d'un

de notre Maître Hiram, les travaux sont interrompus, tout n’est que deuil et tristesse. Le temple est recouvert de tentures noires parsemées de larmes d’argent qui nous rappellent notre condition de mortels. Le noir symbolise les mystères, les ténèbres et donc la mort, mais le noir possède comme l'eau un potentiel de vie à l'état latent, c’est le symbole de tout ce qui n'est pas encore manifesté, et donc de tout ce qui est virginal. Il est l’espoir de renaissance. Sa symbolique est positive, elle

sa force ~ A oublié la lune, le soleil et l'atome Inversion des pôles, vers la haine se dirige ~ A perdu la raison pour une excuse qui divise ~ L'égoïsme en devise, époque misérable ~ Haine collective contre rage viscérale ~ Une lueur dans le cœur, une larme dans l'œil ~ Une prière dans la tête, une vieille douleur ~ Une vie de rancœur là où meurt le pardon ~ Où même la Foi prend peur, allez viens, nous partons ! Des lois faites pour le peuple et les rois tyrannisent ~ Confréries et business