Au cœur des ténèbres

« Ma vertu, c’est de t’aimer, mon corps, mon sang, mon cœur, ma vie, mon âme, sont employés à t’aimer. » Victor Hugo à Adèle Foucher : « Vendredi, 21 décembre 1821 Adèle, sais-tu quelle est l’insupportable idée que je veux fuir et qui revient sans cesse m’obséder depuis le dernier jour que je t’ai vue, depuis quatre jours ? Grand Dieu ! si notre mariage faisait jamais ton malheur !... Adèle, sais-tu quelle est ma jalousie ? En as-tu bien pesé, avant de songer à lier ta vie à la mienne, toutes les

en matière de BD japonaise où le vocabulaire iconique peut paraître à un occidental particulièrement incongru. Par exemple, le saignement de nez y exprime le désir sexuel. L'imagination fait le reste, question d'interprétation. Nous voilà encore au cœur de la BD avec ce concept de l'ellipse, de l'enchaînement entre deux cases, car c'est justement cet « entre deux cases » (les américains le nomment "gouttière") qui va permettre de créer de la progression de temps et de mouvement. Et puis, la case elle-même

d'action, par exemple au vers 12 "Sourcil qui chasse et provoque les nues". C'est donc une sorte de métonymie. Le poète fait ressentir le plaisir mais aussi la souffrance que dégage ce sourcil car il dit emploi un champ lexical de la mort "funèbres",'ténèbres","dolente","mort".C'est don c son rapport avec les femmes et l'amour qu'il décrit ici, un rapport beau mais qui a sa part de souffrance.Il y a une présence implicite mais très forte de l'amour. Prenons maintenant le poème de Guillaume Apollinaire

hommes de studio et homme qui a faim * Homme de la région de la Loire, cote tourelle * Admirateur d'Érasme, maniant la parodie et la satire, Rabelais lutte en faveur de la tolérance, de la paix et du retour aux valeurs antiques, par-delà ces « ténèbres gothiques » qui caractérisent selon lui le Moyen Âge. Gargantua : * Manifeste de l’humanisme, de la Renaissance * Grandgousier : roi qui boit beaucoup (vins) en grand appétit de connaître, homme médiéval * Gargantua : né par l’oreille

langoureux vertige! Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir; Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige; Valse mélancolique et langoureux vertige! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige, Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir; Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige. Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir, Du passé lumineux recueille tout vestige! Le soleil

« frémissais » est aussi employé à l’imparfait ce qui montre qu’il s’agit d’une situation qui n’est plus d’actualité. L’auteur était dépourvu de vie et de sentiments, en effet il parle de son « cœur défunt » dans la sixième strophe vers 4, qui peut s’interpréter de deux manières différentes avec la polysémie du mot cœur. On peut donc voir dans ce poème l’évocation d’un mal être profond et d’un désespoir qui poussent le poète à la limite de la mort, la vie et l’humanité n’ont plus le moindre sens

une poésie angoissée qui se manifeste par la métaphore hyperbolique "plongerons". Utilisation de la 1° personne du pluriel expérience personnelle du poète mais élargie à celle de toute de toute l'humanité. Le complément de lieu, "dans les froides ténèbres", est encore une métaphore angoissante, presque fantastique, qui sollicite péniblement les sens tactile et visuel du lecteur. Ces 2 métaphores, appuyées par une accentuation par 4 très régulière, une abondance de nasales et des allitérations en [b]

en lui renvoyant des images anciennes de bonheurs qu’il a eu avec son ex épouse surnommé Gala qui l’a quitté pour le peintre allemand dadaïste Max Ernst. C’est un poème de brisure de lien amoureux, il peut constater qu’il est descendu dans les ténèbres, que ses quelques images qui lui reste de lui est de son ex épouse sont devenus triste par la séparation. Ces images il peut encore les commander mais il se rend compte qu’il parle pour ne rien dire car son amoureuse à disparu pour toujours. Dans

“Le colonel Chabert”de BALZAC Présentation Publiée en 1832, Le colonel Chabert est l'une des premières œuvres de Balzac. Mais c'est aussi un chef-d'œuvre : Balzac y crée des personnages plus vrais que nature, avec une analyse passionnée du cœur humain, alliée à un style minutieux, énergique et coloré. Resume La nouvelle débute à Paris, en février 1818, peu de temps avant la chute de l'Empire. L’avoué Derville reçoit la visite d'un vieillard misérablement vêtu. Il assure être le colonel Chabert

alors il mit la main de sa fille en gage. Le chasseur leva sa main et dit : moi j’irais chercher la potion. Le lendemain matin, il partit avec son fusil magique et son castor. Après une heure de marche intensive, il arriva devant la forêt des ténèbres. Les arbres dans cette forêt sont maléfiques et te prennent par les pieds et te lancent à l’autre bout du monde. Il eut l’idée de demander au castor de marcher devant lui et si une branche bouge mange-la. Puisque les arbres avaient peur de se faire