Au Nom De La Liberté Faut Il Tout Tolérer

L’inaliénabilité de la liberté comme fondement du droit. Étude du Livre I, chapitre IV du Contrat Social de Jean-Jacques Rousseau Introduction Le Contrat Social de Rousseau, publié en 1762, s’interroge sur les conditions de possibilité d’établissement d’un pouvoir politique légitime, c’est-à-dire d’un pouvoir capable de garantir la liberté et l’égalité des citoyens. Il s’agit pour le philosophe de trouver le fondement logique d’une autorité capable de protéger le droit fondamental et

Un héros baroque. Tout d‘abord, Tirso de Molina met en scène Don Juan, un héros baroque qui vit dans l'instant et en toute liberté en défiant les lois des hommes. Or ce comportement subversif incarne les remises en question de l'époque et les grands courants de pensée qui commencent à ébranler l'Europe. Notamment, depuis la Renaissance, l'homme se demande de plus en plus s'il est libre ou s'il ne fait que suivre son destin, fixé par la main de Dieu. Ce débat sur la liberté de l’homme et la question

« Preuve pénale et provocation » Selon le professeur Coralie Ambroise-Castérot, la recherche et l’administration des preuves en procédure pénale est une sorte de « quête du Graal de la vérité ». Le procès est avant tout un problème de preuves. Deux parties vont s’affronter et chacune va apporter à l’appui de ses prétentions et pour défendre sa position, les éléments qu’elle estime déterminants et qui sont susceptibles d’emporter la conviction du juge. En matière pénale, où règne le principe

2013 | | | | |Académie : TOULOUSE |Nom : MOUTOU | | | | |Etablissement : Lycée Myriam

accordant une grande liberté religieuse et intellectuelle à ses sujets. Au XVIIIe siècle la France devient le principal foyer des Lumières.Les philosophes des lumières appartiennent au 18ème siècle. Ils ont marqué ce siècle avec de nombreux ouvrages notamment , L’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert. Ainsi ils ont mené de nombreux combats contre la torture, l’esclavage, l'intolérance religieuse, l’absolutisme, la violence, la guerre et bien d’autres. Ils défendaient la liberté de penser, d’opinion

représentations qu'elle se fait de l'art, la philosophie ne saurait ce distinguer de la sensibilité relâchée dont il s'accomode sous ce rapport, qu'en le condamnant absolument." L'idée de l'art que se fait la philosophie traditionelle selon Shelling est qu'il faut y porté un regard axé sur l'idée de l'art ,vers sa "contemplation intellectuelle", la vérité n'aurait donc pa de lien avec l'esthétique. Elle condamne l'art, ou la vérité serait mépriser au profit du sensible. Car l'art est considérer comme pur contemplation

« On trouve des sociétés qui n'ont ni science, ni art, ni philosophie. Mais il n'y a jamais eu de sociétés sans religion » disait Bergson ; c'est-à-dire qu'on trouve dans le passé comme dans le présent des sociétés dans lesquelles la religion occupe tout l'espace, alors, la religion est considérée comme un phénomène universel, une caractéristique de toute société quelle qu'elle soit. Une société sans religion est-elle souhaitable ? La doxa nous permettrait de dire que la religion peut être dangereuse

différences culturelles, au lieu de favoriser un rapprochement des cultures, des religions et des civilisations pourrait bien, au contraire, s’avérer être un accélérateur de haine et d’incompréhension. Aura-t-on des guerres, au nom de la culture, au nom de la religion, au nom de Dieu ou bien, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, les hommes deviendront-ils un peu raisonnables et, soit pour des raisons de vertu démocratique, soit par intérêt, accepteront-ils de construire cette cohabitation

et Napoléon » écrit René Rémond dans son ouvrage Introduction à l’Histoire de notre temps. Cette formule résume de la façon la plus claire possible les revendications des libéraux. Etre libéral c’est avant tout être animé d’un idéal humaniste. On lutte pour la défense des droits et des libertés de l’individu, pour leur primauté, face à ceux de l’Etat. Mais c’est aussi se référer à la doctrine des Lumières et à la Révolution de 1789. Le libéral se voit comme l’héritier et le continuateur des idéaux

toujours, forcément et dans toutes les circonstances, s'interdire de le juger ? L'amitié, par exemple, consiste-t-elle à accepter chez autrui (son ami) ce que l'on ne tolère pas chez soi ? Doit-on accepter, par exemple, le mensonge, le vol, le crime, la trahison chez autrui ?  On doit se garder de condamner, mais on ne peut pas ne pas juger car il y a des comportements critiquables, aussi bien sur le plan individuel que sur le plan collectif. Le relativisme culturel conduit à tout accepter, même les pratiques