Au Tribunal D Amour

Idéal » 1857, Charles Baudelaire 4. « L’Invitation au voyage » 5. « Le Poison » 6. « La Beauté » Lecture cursive : Lettres à un jeune poète, Rainer Maria Rilke Questions d’ensemble : - Qu’est-ce que la poésie ? - Le langage amoureux : amour courtois, pétrarquisme, néo-platonisme - La structure du recueil des Fleurs du Mal Activités complémentaires : - ! Etude du tableau Medea d’Anthony Sandys, 1867 Rappel du mythe de Médée Texte 1 : ! Je vis, je meurs ; je me

« Elle ne fait rien. Elle ne dit rien. Mais elle est là. ») => Electre ne serait-elle qu’un objet ? I,3 : Egisthe fait appeler Electre et sa mère. I,4 : deuil anormal d’Electre (elle prend la place de sa mère et porte le deuil comme une épouse) => amour excessif, presque incestueux ; cf complexe d’Electre de Freud (le désir qu’éprouve Electre de tuer sa mère est une façon de prendre symboliquement sa place). Comment qualifieriez-vous la relation d’Electre avec sa mère ? II. Le conflit entre la

ils semblent faits l'un pour l'autre.  Leurs doubles et leurs rivaux : l'Infante et Don Sanche Don Sanche, jeune chevalier, un peu plus âgé que Rodrigue, est son rival en amour. L'Infante, qui doit avoir à peu près le même âge que Chimène, est éprise de Rodrigue, comme elle, sans qu'elle le sache. Pour se guérir d'un amour impossible, puisque, fille de roi, elle ne peut songer à épouser un de ses sujets, elle favorise le mariage des deux jeunes gens. Ni l'un ni l'autre ne constituent donc à proprement

fils de la sœur du baron et d’un gentilhomme du voisinage. Madame la baronne n’a pas voulu épouser cet homme ....................................... Candide est amoureux d’une fille qui malheureusement est la fille de madame la baronne. Son amour pour sa cousine lui jouera de mauvais tours. Pangloss, donc le grand philosophe allemand, est chargée de l’éduqué. Pangloss prouve qu’il n’y a pas d’effet sans cause et que dans le meilleur des mondes possibles, le château du baron est le plus

vieux don Diègue pour le poste de précepteur du prince, donne un soufflet à son rival. Don Diègue, affaibli par l’ âge, remet sa vengeance entre les mains de son fils Rodrigue qui, déchiré entre son amour et son devoir, finit par écouter la voix du sang et tue en duel le père de Chimène. Sans renier son amour, Chimène demande la tête de Rodrigue au roi. Mais l’attaque du royaume par les Maures donne à Rodrigue l’occasion de sa valeur et d’obtenir le pardon du roi. Plus que jamais amoureuse de Rodrigue

Pasiphaé, Ariane et Phèdre, tombent amoureux irrationnellement et elles souffrent par conséquent, d’où les cris au ciel de cette dernière : Ô haine de Vénus! Ô fatale colère! / Dans quels égarements l’amour jeta ma mère! […] Ariane, ma sœur, de quel amour blessée, / Vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée ! […] Puisque Vénus le veut, de ce sang déplorable / Je péris la dernière et la plus misérable11.  La tonalité tragique se définit par la présence des caractéristiques tragiques, notamment

aimée. Face à ces arguments, Célimène riposte. Tout le monde rit d’Alceste. La conversation devient tendue malgré que Philinte et Éliante essaient d'arranger les choses. Soudain un officier de police débarque. Il est chargé de convoquer Alceste au tribunal des Maréchaux. On apprend que c’est à cause de sa dispute avec Oronte. Alceste part, mais promet de revenir le plus vite possible. Acte 3 Restés seuls, Acaste et Clitandre rivalisent d’orgueil. Chacun se croit le favori de Célimène. A son

société (qui ne lui inspire en réalité que haine et horreur). Le contexte historique : Avec le Rouge et le noir Stendhal part d’un matériau qui n’est pas le sien : il s’inspire de source journalistique pour écrire son chef d’œuvre. La gazette des tribunaux des 28, 29,30 et 31 décembre 1827 a en effet publiée compte rendu de l’affaire Berthe, du nom d’un jeune homme de la dauphine qui a tiré sur la mère des enfants dont il a était le précepteur. Stendhal s’y intéresse ainsi qu’a une autre affaire, celle

démocratie fut rétablie en 403, cette activité d'examen et les sympathies oligarchiques qu'il lui étaient imputées firent de Socrate l'objet d'une hostilité marquée de la part des Athéniens. En 399, Socrate est traduit pour cause d'impiété devant un tribunal de plus de cinq cents jurés tirés au sort. Reconnu coupable, il est condamné à boire la ciguë. La mort de Socrate est apparue à Platon comme la preuve d'un mal politique irréductible, attaché à la plupart des formes de gouvernement, qu'elles

aux séminaires de Grenoble et de Belley, guillotiné à Grenoble, le 23 février 1828, pour tentative d'assassinat sur la personne de Mme Michoud. De ce fait divers, Stendhal avait eu connaissance par les comptes rendus proposés par La Gazette des Tribunaux _, notamment les 28, 29, 30, 31 décembre 1827, et 29 février 1828. Ces textes sont reproduits en appendice dans le tome II des Romans, de la collection « L'Intégrale », Seuil, 1969, pp. 649-656. L'idée d'un roman serait venue à l'auteur en octobre