Audit Autres Charges D Exploitation

D’ASSISTANCE AUX PLUS PAUVRES [PROGRAMME DE MICROFINANCE] Audit externe des institutions de microfinance Guide pratique Annexes Série « Outil technique » n° 3 Décembre 1998 Table des matières Annexe A. Recommandations du CGAP concernant le contenu et la présentation des états financiers des institutions de microfinance Annexe B. Les normes comptables et les normes d’audit Annexe C. Exemple de termes de référence pour un audit d’états financiers Annexe D. Exemple de procédures convenues

Mamadou BADIANE/Séminaire portant sur « audit bancaire »/SUPDECO DECEMBRE 09 1 SOMMAIRE Introduction I.- Réglementation bancaire 1.1.- Fondements de la réglementation bancaire 1.2.- Harmonisation internationale de la réglementation : normes internationales 1.3.- Objectifs de la réglementation bancaire 1.4.- Réglementation prudentielle II.- Contrôle interne bancaire 2.1.- Caractéristiques du contrôle interne bancaire 2.2.- Architecture et organisation du contrôle interne 2.3.- Types de contrôle 2

comptes en qualité de réviseur légal est prévue : - dans les sociétés anonymes, par la loi n° 17 - 95 (promulguée le 30/08/1996) en son article 159 : "Il doit être désigné dans chaque société anonyme un ou plusieurs commissaires aux comptes chargés d'une mission de contrôle et de suivi des comptes sociaux dans les conditions et pour les buts déterminés par la présente loi. Toutefois, les sociétés faisant appel public à l'épargne sont tenues de désigner au moins deux commissaires aux comptes

L’appréciation du dispositif de contrôle interne 3.3.- La validation des comptes IV.- Annexes annexe 1 : Présentation du secteur bancaire annexe 2 : Modèle de confirmation directe des banques V.- Exercices Mamadou BADIANE/Séminaire portant sur « audit bancaire »/SUPDECO DECEMBRE 09 1 INTRODUCTION La banque est un établissement de crédit ayant pour objet de procurer des services financiers aux particuliers ainsi qu’aux entreprises, qu’elles soient privées ou publiques. L’activité de banque

l’objet de contrôle de commissaire aux comptes - Chapitre 1 :LE BILAN -section1 : l’actif de bilan -section2 : le passif de bilan - Chapitre 2 : le compte de produits et des charges -section1 :les charges de CPC -section2 :les produits de CPC Partie-2- Chapitre1 : le contrôle interne et risques particuliers -section1 :le contrôle interne des etablissements de credits - section2 : les risques particuliers

cette page, sélectionnez "Imprimer" dans le menu "Fichier" de votre navigateur Date de publication : 30/04/2008 Détails du premier projet de loi validant les engagements du Grenelle Après plusieurs mois de travail, le projet de loi de programmation chargé de traduire dans le langage législatif les conclusions du Grenelle de l'environnement a été présenté aujourd'hui par le gouvernement. Il regroupe un ensemble d'engagement et d'objectifs généraux dans les domaines du bâtiment, de l'énergie, des transports

l'assiette imposable. En dépit de ces forces, notre système fiscal souffre d'un rapprochement entre l'objectif de transparence visé et d'équité fiscales ajoutons à cela l'ampleur de la fraude. En outre, l'accroissement des obligations juridiques à la charge de l'entreprise, la prolifération des règles et des lois ainsi que le développement de l'économie, la concurrence accrue au sein des différents secteurs et la législation des échanges internationaux, etc., poussent l'entreprise à maîtriser son environnement

(Maroc Chimie) ❖ 1965 : création de la société des transports régionaux « sotreg » ❖ 1972  : Création de FERTIMA ❖ 1973  : Création de MARPHOCEAN ❖ 1975 : Création de CERPHOS ❖ 1975 : création du groupe O.C.P ❖ 1976 : Exploitation du centre minier de PHOSBOUCRAA. Lancement des deux nouvelles unités de valorisation Maroc Chimie (MAROC PHOSPHORE II) ❖ 1981 : Ouverture du centre de production de BEN GUERIR. ❖ 1981  : Démarrage de MAROC PHOSPHORE II. ❖ 1996 : Démarrage

passive et la corruption positive, le clientélisme, l’’abus de pouvoir, le détournement des fonds, l’’escroquerie l’’acquisition de privilèges illicites, ont été incriminées par le code pénal marocain,. De son coté, le code électoral incrimine l’’exploitation illégale de la propriété publique. En ligne avec sa ferme volonté de moraliser la vie publique et de lutter contre toutes les manifestations de la corruption, le Royaume du Maroc a signé la Conventions des Nations Unies 6 Les Organes de

générale du Ministère du Commerce et de l’Industrie Vice-Présidente Directeur des rédactions de l’Economiste Mme Silvia Cornacchia Assesseur Représentant la SIDI (France) Abdeljalile Azzane Hicham Talib Med El Haitamy Pôle Exploitation Pôle Support Pôle Finances Chefs de Départements M. Med Fouzi Mourji Trésorier Professeur Chercheur Assesseurs au Conseil d’Administration M. Ahmed Abbouh Commerçant Khadija Boujmal Mehdi Houachi Administratif Organisation