Auguste Scheurer-Kestner

L'État-Major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord. Afin d'attirer l'attention sur la fragilité des preuves contre Dreyfus, sa famille contacte en juillet 1897 le respecté président du Sénat Auguste Scheurer-Kestner qui fait savoir, trois mois plus tard, qu'il a acquis la conviction de l'innocence de Dreyfus, et qui en persuade également Georges Clemenceau, ancien député et alors simple journaliste. Le même mois, Mathieu Dreyfus porte plainte auprès

L'État-major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord. Afin d'attirer l'attention sur la fragilité des preuves contre Dreyfus, sa famille contacte en juillet 1897 le respecté président du Sénat Auguste Scheurer-Kestner qui fait savoir, trois mois plus tard, qu'il a acquis la conviction de l'innocence de Dreyfus, et qui en persuade également Georges Clemenceau, ancien député et alors simple journaliste. Le même mois, Mathieu Dreyfus porte plainte auprès

l’état-major, qui se livre à des manœuvres de protection du véritable coupable, dont le but est de maintenir coûte que coûte Dreyfus au bagne. À la fin de l’année 1897, le cercle des dreyfusards s’élargit. Le vice-président du Sénat, Auguste Scheurer-Kestner décide de prendre fait et cause pour Alfred Dreyfus. De proche en proche, ces rumeurs atteignent Émile Zola, jusque là totalement étranger à l’affaire Dreyfus. Il publie quelques articles, sans effet majeur. Mais la rumeur enfle. L’état-major

apparitions dans la presse des années soixante. Il n’hésite pas à s’engager dans le clan des dreyfusards tant il est convaincu de l’innocence du capitaine. Il défend ses idées dans des plaidoiries en faveur de Dreyfus. La première est intitulée M. Scheurer-Kestner, elle paraît le 25 novembre 1897 et se veut un plaidoyer en faveur de l'homme politique courageux qui se dresse contre l'injustice de la condamnation du capitaine Dreyfus. Mais cet article, et les deux suivants (paru dans le journal le Figaro)

Picquart pour un agent des dreyfusards et protège Esterhazy et en1897, Picquart est muté en Tunisie. Profitant d’une permission, Picquart révèle l’erreur judiciaire à son ami Mr Leblois. Celui -ci révèle l’affaire au vice-président du Sénat, Auguste Scheurer-Kestner. Le 2 novembre 1897 : le colonel Von Schwartz Koppen est rappelé en Allemagne. Le 11 novembre il avoue au Président Félix Faure : « Je n'ai jamais connu Dreyfus.». Le 15 novembre 1897 : Mathieu Dreyfus dénonce la culpabilité d’Esterhazy

Esterhazy. Il n’est pas écouté par l'état-major et est affecté en Tunisie. La famille du capitaine tente de prouver son innocence et est à l’origine du cercle des dreyfusards contenant des personnalités tels que le vice-président du Sénat Auguste Scheurer-Kestner, l’ancien député Georges Clemenceau, ou encore l’écrivain Emile Zola. Ces derniers tentent de prouver l’innocence de Dreyfus mais Esterhazy est acquitté à l’unanimité le 11 janvier 1988. Ce dernier finira ses jours en Angleterre sans aucun

réaliser en France et à l'étranger, de nombreuses expertises de l'écriture du bordereau Tous les experts sollicités concluent que l'écriture n'est pas celle d'Alfred Dreyfus. sa famille contacte en juillet 1897 le respecté président du Sénat Auguste Scheurer-Kestner qui fait savoir, trois mois plus tard, qu'il a acquis la conviction de l'innocence de Dreyfus, car est absolument "terrassé" par les révélations d'un de ses amis, qui lui a fait part des découvertes de Picquart et qui en persuade également

L'État-Major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord. Afin d'attirer l'attention sur la fragilité des preuves contre Dreyfus, sa famille contacte en juillet 1897 le respecté président du Sénat Auguste Scheurer-Kestner qui fait savoir, trois mois plus tard, qu'il a acquis la conviction de l'innocence de Dreyfus, et qui en persuade également Georges Clemenceau, ancien député et alors simple journaliste. Le même mois, Mathieu Dreyfus porte plainte auprès

Après une très sommaire analyse graphologique, du fait de similitudes d'écriture, il est arrêté le 15 octobre et incarcéré à la prison du Cherche-Midi. Le 31 octobre son arrestation est rapportée dans la presse. Le 2 novembre, le général Auguste Mercier, ministre de la Guerre, décide d'entamer des poursuites à son encontre. Il est traduit devant un premier Conseil de Guerre à Paris, à huis clos. Pour forcer le jugement, un dossier secret est communiqué aux juges sans que la défense assurée

condamnation, la famille du capitaine, derrière son frère Mathieu, tente de prouver son innocence . Afin d'attirer l'attention sur la fragilité des preuves contre Dreyfus, sa famille contacte en juillet 1897 le respecté président du Sénat Auguste Scheurer-Kestner qui fait savoir, trois mois plus tard, qu'il a acquis la conviction de l'innocence de Dreyfus, et qui en persuade également Georges Clemenceau, ancien député et alors simple journaliste. Le même mois, Mathieu Dreyfus porte plainte auprès