Augustin Barruel

religion et la iberté, il veut séduire , La contre réforme va être réussit. L’approche jesuite du dogme t de la religion veut plutôt apparaître comme un rapport heureux. Les jansénistes refusent d’être confondu protestants. Père de l’Eglise (saint augustin, la façon dt il parle de la grâce et du pécher se rapproche de celle des protestants ; la grâce est difficile à être obtenir. Qu’est ce que j’attend de dieu ? qu’il m’offre le pardon de mes fautes, et j’attend un don, = le bonheur et la vie eternelle

son œuvre une singularité particulière. Rousseau présente son œuvre comme unique et sans prédécesseur : «  Je forme une entreprise qui n’eu jamais d’exemple » (l.1). Mais nous savons que St Augustin, auteur de l’Antiquité, avait déjà écrit son autobiographie : Les confessions de St Augustin. et que, de même, Montaigne avait écrit au XVI siècle, ses Mémoires. Rousseau affirme également qu’il n’aura « point d’imitateur » (l.2) mais, paradoxalement, il invite ses semblables à suivre ses traces :

mémoires de ses cinquante premières années. Cette oeuvre contient 12 livres, divisés en deux parties distinctes qui sont Le Préambule du livre I au livre VI et la seconde partie du livre VII au livre XII. Il emprunte le titre de son oeuvre à Saint Augustin qui écrit ses confessions vers 400. Dans cet extrait, il s'agit d'un des faits marquants de sa jeunesse lorsqu'il fut terrifié par un homme alors qu'il observait de jeuqui par la fin le laissa s'en allé. Nous étudierons l'innovation de l'autobiographie

CAÏN ET ABEL Adam et Eve eurent Caïn puis Abel or Abel devint pasteur de petit bétail et Caïn cultivait le sol.  Le temps passa et il advint que Caïn présenta des produits du sol en offrande à Yahvé (Dieu),   et qu'Abel, de son côté, offrit des premiers-nés de son troupeau, et même de leur graisse. Or Yahvé (Dieu) agréa Abel et son offrande.   Mais il n'agréa pas Caïn et son offrande, et Caïn en fut très irrité et eut le visage abattu.   Yahvé(D) dit à Caïn : "Pourquoi es-tu irrité et pourquoi

d'autorité : il s'appui sur un ce (reprendre l'anecdote à l'orale), qui donne en apparence de la justesse et de l'exactitude, car il aboutit sur un fait concret. L'argument est renforcé par « merveilleusement ». Il souligne aussi qu'il approuve (St. Augustin) donc il convainc St-Yves. Cette anecdote rappelle celle de St-Yves. Vocabulaire de la religion. Il fait preuve d'un excès de piété ridicule, son discours n'est pas salutaire. De plus, il cite une parole de Jésus (l.41-43), dans le contexte trivial

Émile Zola : Déclaration au jury Traîné devant la justice pour avoir pris la défense d'Alfred Dreyfus en mettant en cause l'armée française (J'accuse a paru dans L'Aurore le 13 janvier 1898), Émile Zola prononce cette déclaration au terme de son procès, le 21 février. Vous n'en êtes pas à dire comme beaucoup : « Que nous importe qu'un innocent soit à l'île du Diable ! est-ce que l'intérêt d'un seul vaut la peine de troubler ainsi un grand pays ? » Mais vous vous dites tout de même que notre

Dominique-Claire Germain « Vous êtes nombreux à me contacter afi n de connaitre mon point de vue sur les événements qui se déroulent actuellement dans le monde. Je vous remercie de votre confi ance, mais je ne peux que vous partager mon ressenti et mes perceptions et il est important que chacun puisse écouter ce que cela réveille en son coeur et en son âme ! Rien n’est dû au hasard et ce que nous percevons n’est que la manifestation très limitée de ce que nous sommes et de ce qui prend place

mais il n’y a pas d’aspect historique. Dans les Confessions de Sainte Augustin on se trouve au sens propre du terme confession c'est-à-dire au sens chrétien, puisqu’il avoue dans un premier temps ses pêchés à Dieu et dans un second temps il proclame la gloire de ce dernier. Plus de 1000 ans après, Rousseau écrit Les Confessions, œuvre dans les quels il n’y a pas d’allusion religieuse à la différence de celles de Sainte Augustin. Mais Rousseau fait tout de même de certains pêchés. - Confessions :

Le philosophe m’invite à douter de tout, je me rétracte. J’ai en mémoire l’ombre de doutes angoissants, j’ai peur de tenter l’expérience. Alors j’invoque l’idée que douter menace la cohésion sociale parce que tout le monde pourrait faire tout et n’importe quoi s’il n’y a pas de vérité morale. Et si je parvenais à douter radicalement, ne prendrai-je pas le risque de ne plus faire attention à ma santé en ignorant les actions qui la préservent ? A ces réserves quant à l’exercice du doute radical, s’ajoute

incertains. Son argument principal : «  Jésus Christ n’a-t-il pas répudie la violence ?pour prouver la douceur et le pardon ? » Contre l’intolérance n’avons-nous pas les témoignages des philosophes et des noms de l’Eglise comme St. Augustin, St. Bernard et Fénelon ? «  Je vous dis qu’il faut regarder tous les nommes comme nos frères : quoi ? Mon ferre le turc ? , mon frère chinois ? Le juif ? Le siamois ? » « Oui, sans soute. Ne sommes-nous pas tous enfants du même père et créatures