Autobiographie Et écriture Du Moi Chez Chateaubriand

Desbordes-Valmore, « Je ne sais plus » G. F. Kersting, La Brodeuse C. Baudelaire, « Parfum exotique » Exercices d’approfondissement 1 A. de Lamartine, Méditations poétiques, « L’isolement » 2 C. Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Paysage » 3 F.-R. de Chateaubriand, René 4 Pétrarque, Canzoniere, « En retournant en Italie » 5 A. de Musset, Poésies nouvelles, « Nuit de mai » 6 L. G. Damas, Névralgies, « Quand bien même » Prolongements Séquence 10 Romantisme et engagement F. de Goya, Le 2 mai 1808 V. Hugo

réciproque et simultanée qui existe entre eux. » Pour Buffon, le style, c'est l'homme même, c'est-à-dire que le style, c'est l'écart par rapport à la norme linguistique. Cet écart peut être de différents ordres mais il vise à produire un effet chez le lecteur (ou chez l'auditeur). Georges Mounin distingue le style comme écart, le style comme élaboration (cependant, précise-t-il, tout écart ou toute élaboration ne fait pas nécessairement style) et le style et la connotation. Michael Riffaterre défend

pouvoir en place et elle doit plusieurs fois s’exiler. Elle visite l’Allemagne où elle rencontre Goethe et Schiller, écrit De l’Allemagne (1810), interdit de publication par Napoléon. À Coppet, elle reçoit les esprits les plus distingués d’Europe – Chateaubriand, Byron, Sismondi. À partir de 1812, elle effectue un grand voyage dans l’Europe en guerre et décrit ces pays dans Dix années d’exil. La fin de sa vie est occupée par la rédaction des Considérations sur la Révolution française, qui paraissent en

Balzac, Le Père Goriot Stendhal, Le Rouge et le Noir Hugo, Les Misérables Flaubert, Madame Bovary Maupassant, Bel-Ami Zola, L’Assommoir Camus, L’Etranger Céline, Voyage au bout de la nuit Proust, « un amour de Swann » extrait de Du côté de chez Swann Robbe-Grillet, Djinns Argumentation : Montaigne, Sans commencement et sans fin (extraits des Essais) La Fontaine, Fables, extraits (Livre I et VIII, notamment) Voltaire, Candide Diderot, Supplément au Voyage de Bougainville Montesquieu

historiens ont montré que St - Simon avait raconté des choses inventées. Il y a les Mémoires d’Outre-tombe de Chateaubriand. Elles sont considérées comme une œuvre littéraire. Il a été ambassadeur. Il y a une part de lyrisme (épique). Dans la littérature française, on a considéré les mémoires comme une littérature, comme une production littéraire. Il y a eu le problème des autobiographies (on raconte sa vie) qui sont devenues des références en matière de littérature, et qui sont devenues des œuvres

l’historien. De la chaire au prétoire, Paris, Albin Michel, 2003. KOSELLECK Reinhart, Le futur passé. Contribution à la sémantique des temps historiques, Paris, EHESS, 1990. LEDUC Jean, Les historiens et le temps. Conceptions, problématiques, écritures, Paris, Seuil, 1999. MARROU Henri-Irénée, De la connaissance historique, Paris, Seuil, 1954. NOIRIEL Gérard, Penser avec, penser contre. Itinéraire d’un historien, Paris, Belin, 2003. NOIRIEL Gérard, Sur la « crise » de l’histoire

S'interroger : Que doit-on transmettre à l'auditoire, en combien de temps et avec quels moyens techniques. - Lecture survol pour trier les documents collectés - Lecture intégrale pour prise de notes. (Comprendre, prendre des notes, résumer, citer). Écriture du plan Rédaction du texte (ne jamais recopier, le texte doit être personnel) Choix des documents pertinents : textes ou illustrations supplémentaires. Introduction (délimiter le sujet, préciser ce qu'on veut montrer, poser le problème) et conclusion

joycien ……………………………………………………… 119 18. Les espaces mythiques et emblématiques.…………………………………. 120 19. Personnification et humanisation du paysage.…………………………….. 124 20. Conclusion ………………………………………………………………… 127 V. LE PAYSAGE MYTHIQUE DE « YOKNAPATAWPHA » CHEZ WILLIAM AULKNER…………………………………………………………. 1. Le secret de l’écriture faulknérienne.………………………………………. 2. Contre la propriété de la terre……………………………………………… 3. Le thème du « géocide » …………………………………………………… 4. La signification de la chasse.………………………………………………

était convaincu d’être victime d’un «complot» ourdi par ses ennemis, Diderot, d’Alembert, d’Holbach et même Hume, tout le genre humain étant complice, avait voulu se justifier des accusations portées contre lui en écrivant ''Les confessions'', son autobiographie, et ''Rousseau juge de Jean-Jacques'', un plaidoyer frénétique. Mais il avait encore connu, avec ces œuvres, de cruelles déconvenues. D’abord, en 1771, il se vit interdire de continuer ses lectures publiques des ''Confessions''. Puis, en 1776

sentiment d’approbation ce dont on reconnaît la valeur. On se trompe en pensant que l’admiration induit une faiblesse. Au contraire. Admirer, c’est se forger des modèles et tendre à les égaler. Jeune, Victor Hugo admirait Chateaubriand au point de se promettre qu’il serait « Chateaubriand ou rien ». On connaît la suite, Hugo, prenant modèle sur l’auteur d’Atala, devint lui-même un grand écrivain. Différent mais aussi puissant, sans qu’il ait été diminué le moins du monde par cette admiration. Au contraire