Autocratie

marxisme les présente. La lutte des classes y est théâtralisée, adaptée au cadre du village et finalement transformée en lutte physique »[67]  Cette tentation d’un théâtre dialectique et dogmatique est empêchée, dans une large mesure par les autocraties, comme celles installées en Centrafrique par Jean Bedel Bokassa et au Zaïre par Sese Seko Mobutu, qui répriment de façon sanglante toute contestation et mettent en scène leur propre pouvoir en confisquant la parole publique. Nkashama Pius Ngandu

être quelqu’un de respectueux des droits et libertés du sujet. A l’inverse, il n’y a pas d’incompatibilité absolue entre approche libérale et totalitarisme. Aucune démocratie n’est à l’abri d’une approche totalitaire. Typologie qui distingue autocratie et démocratie (par Kelsen) qui remonte à 1945, et qui repose sur une distinction selon les grands types de rapports entre les Hommes. Soit les normes sont produites par leurs destinataires (ceux qui sont soumis = démocratie), ou les normes sont

la théorie de Huttington, elle est remise en cause par le politologue américain Robert Cagan. Ce dernier constate que le monde n’est pas entré dans une ère de consensus idéologique et il estime qu’un nouveau combat se dessine entre démocratie et autocratie (Russie, Chine). TITRE II : Le contexte politique : Les relations internationales elles mêmes §1) L’héritage du XXème siècle Du point de vue des relations internationales, l’héritage du 20ème siècle est triple. Il s’agit d’une part du

politique (raison d’Etat, salut public). Le peuple agit dans la consultation électorale, et décision dans la révolution. Le droit assure toujours une contrainte. La sociologie pense dans la situation économique et sociale (monocratie et succession, autocratie et morcellement des empires ou décolonisation, pouvoir discrétionnaire). On suppose la domination ou l’ambition mais au service de la collectivité (même chez le parvenu ou l’arriviste).on suppose la responsabilité et un cortège grossier de vertus

vie politique des États fut modifié ; tous furent atteints d'une maladie mortelle : la décomposition du sang. II ne reste plus qu'à attendre la fin de leur agonie. 04 Le libéralisme engendra des gouvernements constitutionnels qui remplacèrent les autocraties. Une constitution n'est guère autre chose qu'une école de discordes, de querelles, de mésintelligence, de dissentiments, d'agitations stériles, de tendances de partis, de tout ce qui sert à affaiblir l'activité des États. La tribune, comme ta presse

monarchie absolue et despotisme. L’autocratie est celui qui exerce le pouvoir par lui-même, qui trouve son fondement de son pouvoir en lui-même. Si on raisonne en terme stricte, si on considère que le roi est le représentant des Dieux on n’est pas en autocratie mais si le roi est un Dieu alors il détient son pouvoir d’autocratie. On la trouve en Russie, ou le roi se voyait comme l’équivalent sur terre comme Dieux vis-à-vis des âmes. Il y a la dictature. Le dictateur est celui qui va exercer un pouvoir

politiques, groupes de pressions, contre pouvoirs : syndicats, médias, presse...). Quand on va parler de régime politique, on prend en considération tout ce qui dans la société a une incidence. → Approche plus réaliste. 1) Distinction entre autocratie et démocratie Proposée au Xxe siècle par l'autrichien Hans Kelsen. Elle repose sur le critère de la participation des citoyens à l'élaboration des lois. Ce n'est pas sans référence à JJ Rousseau. La démocratie se caractérise par la participation

pas à la hauteur de l’attente des citoyens. Ainsi le parlement perd-il son autorité et sa crédibilité pour réclamer des ressources supplémentaires sur un budget national limité. 43 L’autonomie parlementaire ne doit pas se transformer en une « autocratie » parlementaire. Les besoins du parlement doivent se limiter dans des proportions supportables par le cadrage macroéconomique tout en laissant au gouvernement une marge de manœuvre importante pour pouvoir réaliser les objectifs de politique publique

être quelqu’un de respectueux des droits et libertés du sujet. A l’inverse, il n’y a pas d’incompatibilité absolue entre approche libérale et totalitarisme. Aucune démocratie n’est à l’abri d’une approche totalitaire. - Typologie qui distingue autocratie et démocratie (par Kelsen) qui remonte à 1945, et qui repose sur une distinction selon les grands types de rapports entre les Hommes. Soit les normes sont produites par leurs destinataires (ceux qui sont soumis = démocratie), ou les normes sont

et le convocation de la Douma (« pensée » en russe) qui est une assemblée nationale consultative, non législative, élue au suffrage restreint et indirect. Cependant, il n'y aucune modification prérogatives du tsar ni du cadre social de cette autocratie. Les Balkans et l'Europe du pourtour méditerranéen: Il y a mise en place d'une procédure constitutionnelle sans grand succès car la participation du citoyen à la vie publique n'est guère assurée à cause de la base sociale des ces Etats qui