Automatisme mental

d’obtenir une vérité ?  Toujours selon Lucrèce, nos représentations mentales sont toujours formées à partir de deux parties : les données brutes transmises par nos sens et un «petit quelque chose» que la raison y ajoute.  C’est-à-dire qu’il y a les données brutes proprement dites, provenant de nos sens, et un décodage de ces données par notre raison, qui elle interprète et y donne une signification, formant ainsi nos représentations mentales. Ces représentations ne sont bien sûr pas toujours exactes, mais

ai demandé qui voulait y participer. Tous étaient très enthousiastes. J’ai choisi les deux personnes qui se sont manifestées les premières. Ce sont deux femmes en situation d’handicap, l’une atteinte de la trisomie 21, l’autre d’une déficience mentale moyenne (la lecture n’est pas maîtrisée par ces deux personnes). Ces deux résidentes ont besoin d’être stimulée et motivée mais néanmoins il faut veiller à ne pas faire les choses trop rapidement et donc suivre leur rythme. Les objectifs de cette

d’obtenir une vérité ?  Toujours selon Lucrèce, nos représentations mentales sont toujours formées à partir de deux parties : les données brutes transmises par nos sens et un «petit quelque chose» que la raison y ajoute.  C’est-à-dire qu’il y a les données brutes proprement dites, provenant de nos sens, et un décodage de ces données par notre raison, qui elle interprète et y donne une signification, formant ainsi nos représentations mentales. Ces représentations ne sont bien sûr pas toujours exactes, mais

d’obtenir une vérité ? Toujours selon Lucrèce, nos représentations mentales sont toujours formées à partir de deux parties : les données brutes transmises par nos sens et un «petit quelque chose» que la raison y ajoute. C’est-à-dire qu’il y a les données brutes proprement dites, provenant de nos sens, et un décodage de ces données par notre raison, qui elle interprète et y donne une signification, formant ainsi nos représentations mentales. Ces représentations ne sont bien sûr pas toujours exactes, mais

éternuement, etc. Certains réflexes vont servir de socles à la construction de l’intelligence. Ex : succion, regard, préhension, etc. Ils vont devenir des schèmes c'est-à-dire des actions qui se répètent et donc sont acquises et deviennent des automatismes (réflexe de préhension aboutit à comment tenir un crayon) Dans un premier temps, l’enfant ne fait pas la différence entre son corps et le monde extérieur : il ne fait qu’un avec son environnement. On parle d’égocentrisme initial. Le nouveau-né

2.1.1. Le choix de l'échantillon .................... p 19 2.1.2. La procédure .................... p 20 3. L'observation directe .................... p 21 III. Auteurs et concepts .................... p 25 1. Les parents de l'enfant handicapé mental vus comme « acteurs » plutôt qu' « agents » .................... p 25 1.1. Le concept d'agent social .................... p 25 1.2. Le concept d'acteur social .................... p 26 2. La sociologie compréhensive de Max WEBER ............

veut renouveler l’approche de la psy sociale. Projet disciplinaire qui aura comme obj principal : les stéréotypes. 2.1 La structure du stéréotype - le stéréotype comme schéma En psychologie cognitive, les schémas sont des représentations mentales abstraites qui résument et organisent de façon structurée des événements, des objets, des situations ou des expériences semblables. Les schémas, stockés en mémoire à long terme, permettent d'analyser, de sélectionner, de structurer et d'interpréter

apparaissent. Ce sont ces derniers qui prédominent à l'adolescence et chez l'adulte (Dehaene, 1995). - Troubles des acquisitions : Ils sont variables en fonction de l'atteinte cérébrale et des troubles environnementaux. Notamment un retard mental : chez 50% des enfants, le QI moyen est de 65 (20 à 120), la sévérité semble corrélé au retard de croissance et à la dysmorphie. Très souvent apparaissent des difficultés d'apprentissage scolaire (même avec un QI normal) par l'hyperkinésie , des

L’histoire sociale est aussi liée à l’histoire des mentalités. L’économie ne régente pas forcément avec la position sociale des personnes. L’image que les individus se font de leur statut est toujours conditionnée par tout un ensemble de représentations mentales : des croyances, des valeurs voire des mythes reconnus dans une société donnée. C’est ainsi qu’au M-A l’Eglise a façonné un modèle de société dans lequel les choses de l’esprit sont beaucoup plus importantes que les réalités économiques. Période

message de la part de l’artiste et ces notions sont surement inconnues de l’homme atteint de troubles bipolaires. C’est dans l’humain que le mental atteint sa pleine formation. Quand le mental est en équilibre et à sa juste place l’humain est pleinement humain, quand le mental est dans le déséquilibre l’humain cesse d’être vraiment humain. La folie est dans le mental et nulle part ailleurs. L’artiste, lui, prend son statut trop au sérieux pour être considérer comme fou. Mais on pourrait le soupçonner