Autonomie Fiscale Des Collectivités Locale Au Maroc

financer globalement l'administration et la défense de l’empire. Néanmoins l’éloignement accordait aux fonctionnaires de l'administration coloniale une marge d’interprétation des directives. De plus les fonctionnaires locaux avait développé une solidarité forte avec l'oligarchie locale en s’alliant face au pouvoir métropolitain. 1: La première vague de colonisation occidentale Les Hollandais Voulant leur part du butin colonial (Or et argent affluait vers les nations ibériques) ils choisirent

La politique culturelle au Maroc Mohammed ben Bachir N j b Moulay Mohammed ai Les politiques culturelles :études et documents Dans cette collection Ré$exions préalables sur les olitiques culturelles La politique cdurelle aux LatdJnis,par Charles C. Mark L s droits culturels en tant que droits de l’homme e La politique culturelle au Japon, par Nobuya Shikaumi Aspects de l politique culturellefrançaise, a par le Service des études et rec-x&es du Ministère des affaires cultuelles,Paris

Royaume du Maroc Ministère du Tourisme, de l’Economat Social et de l’Artisanat Département du Tourisme Institut Supérieur International de Tourisme de Tanger * Administration et Gestion des Entreprises Touristiques et Hôtelières - Management Hôtelier Les Stratégies d'Evolution des Entreprises Touristiques. Quelles conjugaisons ? Cas du Maroc Mémoire de Fin d’Etudes Recherche réalisée par : Driss El Moudni Mehdi Saadaoui Sous la

D’autre part je remercie plus particulièrement M. MARCH Stéphane Chef de Secteur et M. BALBIYA Lahcen chef rayon qui ont tenu le rôle de guide durant cette période ; ils ont su me rassurer et me donner les moyens de concrétiser des projets en autonomie, ainsi qu’en équipe à leurs côtés. Merci pour leur soutien et leur écoute. Merci à toute l ‘équipe du magasin AUCHAN de Sète pour l’accueil et le partage, ce qui a pu rendre mon stage plus agréable et instructif. [pic] SOMMAIRE

31 OCTOBRE 2011 EST COMPOSE DE 13 ADMINISTRATEURS DONT 7 SONT INDEPENDANTS (*) ET DE 2 CENSEURS : HENRI GISCARD D’ESTAING Président-Directeur Général - Club Méditerranée ANASS HOUIR ALAMI Directeur Général - Caisse de Dépôt et de Gestion du Maroc ISABELLE SEILLIER (*) Président - J.P. Morgan France Directeur des activités de banque d’investissement France et Afrique du Nord SAUD AL SULAIMAN (*) Associé et Directeur Général - Rolaco Trading ANNE-CLAIRE TAITTINGER (*) Senior advisor

qu’il n’est que de 2 p. 100 aux États-Unis. En Europe de l’Ouest, 40 p. 100 de l’énergie est consommée par les particuliers, 25 p. 100 par l’industrie et 30 p. 100 dans les transports ; près de la moitié de l’énergie totale est consommée dans des locaux d’habitation ou professionnels. |5 | |RÉDUCTION DE LA CONSOMMATION D’ÉNERGIE | |5.1 | |Chauffage | Pour les particuliers, la consommation énergétique la plus importante

 ROYAUME DU MAROC SOMMAIRE Introduction 05 Synthèse du programme de formation 06 Description de la compétence 07 Les séquences du module de compétence 08 Séquence 1 09 1-1 Caractériser l'activité commerciale et les conditions d’acquisition du statut de commerçant…………………………………………………………………………………………..10 1-2 Présenter le régime juridique et les conséquences

La formation professionnelle au Maroc Éléments d’analyse des réformes et des résultats Des cinquante années d’indépendance Introduction ............................................................................................................247 I. Genèse et évolution du système de la formation professionnelle .............248 1. État de la formation professionnelle sous le protectorat ........................248 1.1. La période 1912 – 1944 ...................................................

la potasse et le phosphate sont des matières abondantes en France mais de moins en moins exploitées. Le plus grand débouché est l’engrais. Mais concurrence de la chimie du pétrole (ou chimie de synthèse ou organique) et de pays producteurs (ex : Maroc, Russie, …). La PAC intervient à travers la mise en jachère (baisse de l’utilisation d’engrais). Cela pose des problèmes de pollution, de déchets (terrils) mais aussi d’infiltrations des eaux de pluies qui polluent les nappes phréatiques (ex : Alsace)

............................................................................................... 6 Chapitre premier : Le poids du groupe Attijariwafa Bank dans le système bancaire marocain ......... 7 Section 1 : L’évolution du secteur bancaire au Maroc ........................................................................ 7 1.1 : Historique du système bancaire marocain .............................................................................. 7 1.2- Les apports de la nouvelle loi bancaire