Autoritarisme

son caractère. Sa peur d’être trompé (ce qu’il nomme un « accident ») est une véritable obsession, qui révèle en fait son  le mépris pour la femme, considérée comme un être inférieur, qui ne mérite pas d’être instruite ; on observe également son autoritarisme et son amour du pouvoir : il veut tenir la première place dans sa maison comme le prouvent l’interrogation oratoire (v. 91-92) et les verbes de volonté : « je prétends », « je veux ». Son sens de la possession ressort de l’ordre des mots qui place

de situation : Question : 3 Cet extrait est caractéristique du théâtre de l’absurde car cette leçon particulière relève à la fois de la comédie et de l’absurdité. Sur cette scène le public peut rire de l’aspect ridicule du professeur mais son autoritarisme excessif continue de donner un caractère inquiétant à cette scène. Ionesco cherche à montrer les limites de la communication entre les êtres aimé en scène en mode absurde. Cet extrait est caractéristique du théâtre de l’absurde car cette leçon

important. Ils ont tendance à culpabiliser et à se trouver trop stricte et réduisent ainsi leur autorité auprès des enfants en accordant beaucoup trop de liberté à leurs enfants. Tendance à l’autoritarisme : Les parents qui on tendance à un autoritarisme sur démesuré sont souvent des parents dont les enfants sont difficiles. Ils n’exercent en réalité pas une autorité saine mais une forme de pouvoir sur leurs enfants. Ils n’ont que la vision de l’autorité sur l’enfant mais pas celle de l’autorité

mondain « je vous en prie » (lg.2), « mon cher Jean » (lg.80) de Bérenger, ses appels répétés à la réflexion « penser » (lg.10), « comprendre » (lg.19), « savoir » (lg.65), « réfléchir » (lg.49) et la véhémence de Jean, qui impose ses idées avec autoritarisme « il faut » (lg.45) ; « démolissons tout » (lg.55)  Un rapport de forces Le noyau de la scène est donc cette lutte entre deux langages, celui de Jean tentant d’écraser celui de Bérenger « Bérenger recule » (lg.4).   B. L’affrontement verbal 

lutte émancipatrice menée par certaines colonies, la France et le Portugal. La France s’est refusée, tant qu’elle a pu, a accorder sa liberté à l’Algérie, de là une guerre sanglante a éclaté et a duré huit ans. Quand au Portugal, figé dans son autoritarisme, Salazar s’est refusé a entamer des négociations avec les nationalistes angolais et mozambicains, provoquant pareillement de violents conflits. 4. D’après les documents 4 et 5, de quels maux politiques et économiques l’Afrique souffre-t-elle depuis

continent, la sortie des autoritarismes est contrariée par la crise sociale et l’impréparation des élites. Par Achille MbembeCoups d’Etat, renversements d’alliances, mouvements sociaux et processus électoraux chaotiques accompagnent la transition politique entamée il y a dix ans sur le continent noir. Cependant, contrairement aux autres vagues de démocratisation (Europe du Sud et Amérique latine notamment), la disparition des partis uniques et la sortie des autoritarismes se sont effectuées en Afrique

professeur incompétent Caricature d’un très long cours magistral : voir répartition de la parole (parle tout seul quasiment) Il ne vérifie jamais si elle comprend + met un terme volontairement au sujet qui commence à intéresser l’élève : p.58 ... 2) Un autoritarisme grandissant Commence sur « silence » + répétition (de se taire) -> disproportionné car il fait cours seulement à une élève et en plus elle ne dit rien Utilise impératifs + gradation dans ceux-ci : p59 -> ce n’est pas la logique du cours particulier

sujet Genres théâtraux qui ont laissé leurs traces Le bourgeois gentilhomme représente un exemple du genre théâtral, « comédie de mœurs.» Ce genre a été utilisé par Molière pour exposer la bourgeoisie pour leur naïveté, vanité, égoïsme, et autoritarisme en utilisant le personnage de Monsieur Jourdain. Molière montre avec l’expérience de Monsieur Jourdain que rien que la naissance peut permettre à quelqu’un de monter l’échelle sociale à l’aristocratie pendant l’époque de Louis XIV. Ce genre de

dès le début une discordance entre le ton mondain (" je vous en prie ", " mon cher Jean ") de Bérenger, ses appels répétés à la réflexion (" penser ", " comprendre ", " savoir ", " réfléchir ") et la véhémence de Jean, qui impose ses idées avec autoritarisme. 3. Un rapport de forces Le noyau de la scène est donc cette lutte entre deux langages, celui de Jean tentant d’écraser celui de Bérenger, le seul personnage encore confiant dans les forces persuasives de la parole. Dès le début, Jean semble

termes péjoratifs "dieu sinistre, effrayant, impassible" vers 1 crée un rythme saccadé avec encore l'impression de martèlement qui fait réagir le lecteur. - L'horloge et à  travers elle le temps, a le pouvoir sur les hommes, d'une part par son autoritarisme avec les impératifs vers 16/24/10..; d'autre part par la métaphore du moustique qui suce le sang vers 12 "j'ai pompé ta vie avec ma trompe immonde" on remarque que dans tout le poème les attributs du temps sont toujours en fonction sujet, et jamais