Autorité

............... 1 2. Le pouvoir comme notion principale ............................................................ 2 B. LE PHENOMENE POLITIQUE.................................................................................. 2 A. II. POUVOIR, AUTORITE, CONTROLE ET DOMINATION...................... 3 A. LE POUVOIR ......................................................................................................... 3 B. LE CONTROLE SOCIAL......................................................

par des moyens contraignants, en leur imposant un modèle qu’il n’ont pas choisis ou une discipline qu’ils ne comprennent pas? A cette opposition vient s’ajouter la notion de génération. Le conflit des générations, pousse l’individu à refuser cette autorité, une génération n’existe et n’est identifiable que parce qu’elle s’oppose à ce qu’incarne la précédente. Le refus de l’éducation classique est fortement incarnée par la génération mai 68. En effet cette génération refuse l’autorité héritée par les

(charisme, autorité…) ; - sur ses qualités professionnelles (connaissances, expériences…) ; - sur sa position officielle dans l’organisation (par exemple, dans l’armée, un capitaine a un pouvoir sur les lieutenants, les sergents, les soldats). Les styles de commandement indiquent la façon dont un supérieur dirige ses subordonnés. On oppose souvent le style de commandement centré sur le supérieur et le style centré sur le subordonné. Style de commandement centré sur le supérieur + Autorité du supérieur

de pouvoir Autorité= aptitude de se faire obéir par celui qui commande : c’est un signe de pouvoir Domination = signe de puissance. Il n’y a domination qu’en cas d’inaptitude à faire exécuter des décisions sans avoir recours à la force ou à la répression. Quand un homme ne peut imposer sa décision à un autre homme sans avoir recours à la force, il est autoritaire ; il y a du pouvoir partout La société est régie par ses rapports autoritaires : dès qu’il y a communauté, il y a autorité. -pouvoir :

arrivait d'être parfois violents avec leurs élèves, c'était par souci de les voir progresser. Le professeur, de l'école primaire au lycée, incarnait cette autorité, en quelque sorte inviolable, à l'intérieur et même à l'extérieur de la classe. Il se faisait respecter en tant que tel ; en plus il était vu comme un second père. Autant dire que cette autorité symbolique mais nécessaire au bon fonctionnement du groupe-classe, était acceptée par l'élève. Cela ne veut pas dire que les problèmes de discipline

intellectuel et serait salutaire. * Propension à la désobéissance qui dépend du niveau d’instruction * Influence du groupe sur l’obéissance acritique (responsabilité partagée) : « état agentique » * Le sujet se juge irresponsable car il y a une autorité, un médecin… * Encourager le sens critique ou éduquer à minima (à prévoir) Conclusion : Si le conformisme facilite les relations interindividuelles et une certaine forme de socialisation, il peut provoquer des comportements peu souhaitables

sais ». Il utilise aussi des questions dont il connait la réponse, comme « oublies-tu donc ? », « as-tu donc oublié ? », « l’as-tu oubliée ? », « cela n’est-il pas vrai ? », de la manière dont on sermonne un enfant. Cela démontre son pouvoir et son autorité car ça a un petit côté humiliant. Pour continuer, Ariel à un moment du passage se plaint comme on peut le remarquer avec les répliques « Encore du travail » et « tu me donnes tant de fatigues ». Il rappelle à Prospero que celui-ci a promis de le

contre la violence structurelle et symbolique (racisme institutionnel qui justifiait, selon les Black Panthers, la constitution de milices d'auto-défense). Dans la sphère privée, certains justifieront la violence comme moyen légitime d'exercer une autorité (fessée pour les enfants, violence conjugale ou violence contre les femmes : on tentera alors de justifier la violence en distinguant différents seuils : une gifle serait acceptable mais pas une bastonnade, etc.) ; d'autres critiqueront au contraire

croyant, des passions peuvent alors le commander et le diriger. Quand les Hommes sont commandés par une autorité, un maître, les relations avec les autres Hommes sont mieux gérées. En effet, les Hommes ne se laissent plus influencer par leurs penchants mais écoutent la voix de la raison. Un maître est nécessaire car dans le cas contraire, l’Homme opprime les autres pour asseoir son autorité, comme le dit encore Kant: « il abuse à coup sûr de sa liberté à l'égard de ses semblables» ce qui ne répond

Autorités fédérales La Constitution suisse définit trois grandes autorités au niveau fédéral : l’Assemblée fédérale (pouvoir législatif), le Conseil fédéral (pouvoir exécutif) et les tribunaux fédéraux (pouvoir judiciaire). En théorie, l'Assemblée fédérale est l'autorité prépondérante : non seulement elle élit les membres du Conseil fédéral et du Tribunal fédéral, mais elle est également chargée du contrôle de ces instances. Cependant, les faibles moyens de l'Assemblée (formée de miliciens accompagnés