Autrement

libérer. De même, dans les esprits des Grecs du IVe siècle, les Grecs sont nés pour être libres. C’est donc une attitude inqualifiable de la part de Sparte de ne pas permettre aux « plus grandes cités d’être leurs propres maîtresses » (l. 24-25), autrement dit de bénéficier d’une autonomie et d’une liberté exclusive, ainsi que d’une politique voulue et choisie, et non-imposée. De plus, les Lacédémoniens « les contraignent à être esclaves ou à affronter les plus grands malheurs » (l. 25). Il n’y a aucune

informations autour du décideur, dans un langage qui n’est pas politique mais apparemment économique. Economie, chez Xénophon, désigne ou désignait la disposition des instruments autour du pilote, autour de la décision 1.1. DÉFINIR "ÉCONOMIE" 7 autrement dit, d’orientation, de où on va, dans quelle direction on se dirige, etc. C’est intéressant de revenir à cette référence à Xenophon, parce qu’il se trouve que, lorsque les pères de l’Eglise ont repris le mot "économie", ils ont eu à faire quelque

qui est fait ou a été fait, le résultat d’une action dans sa dimension de preuve. Ne dit-on pas que « ce qui est fait est fait » ! Autrement dit, il est trop tard, le passage à l’acte tient lieu de preuve ; ce n’est pas comme dans le discours qui peut toujours se tenir dans une certaine ambiguïté ou revendiquer une méprise quant à la façon de s’exprimer... autrement dit, il est peut-être toujours possible de revenir sur ce qui a été dit. Il serait cependant réducteur de rattacher le fait à l’activité

est passé de la science naturelle à la science sociale comme plusieurs notions, termes, théories et modèles ; et nous traiterons en second lieu « la notion de système international » en Relations internationales dans la deuxième section. Exprimé autrement, dans ce chapitre, nous essayerons d’expliquer la perspective conceptuelle du système internationale avec une méthode déductive étant donné que le concept et la théorie de système international a suivi ce rang ontologique du général au particulier

: a = = b ab a = b a ~=b Description retourne 1 si a est égal 0, 0 si a est égal à 1 retourne 1 si a égale b, 0 autrement retourne 1 si a est plus petit que b, 0 autrement retourne 1 si a est plus grand que b, 0 autrement retourne 1 si a est plus petit ou égal à b, 0 autrement retourne 1 si a est plus grand ou égal à b, 0 autrement retourne 1 si a est différent de b, 0 autrement 8 Utilisation d’un résultat de test pour modifier l’exécution d’un programme On utilise couramment les tests logiques

l’entreprise. Thème 4 à 6 on est au sein de l’entreprise. Puis thème 7 à 9 : retour au cœur de l’entreprise. Thème 1 : Les mythes du management Qu’est ce qui définit l’entreprise au XXème siècle ? Quels sont les mythes auxquelles elles renvoient ? Autrement dit, le rôle la place de l’entreprise dans la société ? Thème 2 : Emergence de nouvelles formes d’organisation de l’entreprise Plusieurs formes d’organisation : taylorienne, fordisme. Mais qu’est-ce- qui est nouveau ? Et pourquoi sont-elles apparues 

infinie diversité, nous savons que le vivant est gouverné par une molécule particulière l’ADN : l’ADN permet-il de connaître le vivant ? L’ADN a pour fonction de produire un double de lui-même mais un double qui sera différent de ses géniteurs ; autrement dit, au cœur de la reproduction du vivant, il y a un phénomène imprévisible. Pouvons-nous connaître l’imprévisible ? Le problème de la connaissance du vivant est en effet qu’elle concerne un phénomène imprévisible. Si la matière est un phénomène

Le « je », ici, doit être pris au sens général. Il ne s’agit pas de ma personne en particulier mais de toute personne douée de conscience et donc capable de dire « je ». Le problème est de savoir si mon être correspond à la saisie que j’en ai. Autrement dit, est-ce que je suis transparent à moi-même et ai-je une conscience complète de moi-même ? Le problème posé est celui de la vérité de l’ introspection. Constitue-t- elle une réelle connaissance de soi ? Il est admis par le sujet que j’ai conscience

La subtilité de la problématique tient à ceci que, bien qu'il existe des oeuvres d'art dit "conceptuel", nous savons qu'une oeuvre d'art s'adresse à la sensibilité. Que l'oeuvre "touche", autrement dit, et qu'elle ne s'adresse pas à l'intellect. On peut donc non seulement aimer (comme ne pas aimer) une oeuvre sans la comprendre, mais encore l'oeuvre d'art est-elle précisément faite pour cela. Le problème est que cela ne veut pas dire qu'il n'y a rien à comprendre. L'oeuvre est au contraire un objet

qu’on appelle la conscience. Qu’elle soit temporelle de part en part, c’est une évidence, qu’il suffit de rappeler. Et que son temps propre n’a ni la régularité ni l’homogénéité de celui du monde ou des horloges. Aurions-nous autrement besoin d’horloges ? Y aurait-il autrement un monde ? Notre temps – le temps vécu, celui de la conscience et du cœur – est multiple, hétérogène inégal. C’est comme s’il ne cessait de se diffracter ou de se démultiplier en nous, selon qu’il se heurte ou non à nos désirs