Avarice

rire, ils ont aussi pour fonction de mettre en lumière la satire de l'avarice. En effet, le but du dramaturge est de dénoncer le comportement mono maniaque d'un homme qui ne pense qu'à son argent. Tout d'abord, pour nous montrer la gravité de son avarice, Molière nous montre le personnage plongé dans un désordre mental inquiétant : son discours est incohérent et ne suis pas une logique. On le constate à travers l'alternance des modalités interrogatives dont il n'attend pas de réponse. Ces modalités

propre satisfaction. Dans cette scène particulière, Harpagon qui est pris de colère a recours à des insultes pour intimider La Flèche. De l’autre coté, on voit que La Flèche, étant familier avec le caractère d’Harpagon, use des mots comme ‘voler, avarice, avaricieux’ pour provoquer son maître qui est d’un tempérament très chaud. Nullement satisfait des injures proférées à l’égard de La Flèche, Harpagon se laisse emporter par la colère et menace de lui battre violemment. Les propos de La Flèche selon

Harpagon s’abandonne au comique de geste « il se prend lui-même le bras » qui nait du jeu de l’acteur. Cela rend la pièce encore plus vivante. Transition : Dans ce texte de Molière le personnage d’Harpagon est présenté comme très avare , son avarice a été mise en valeur par plusieurs procédés de comiques . Jean baptiste Poquelin utiliser la comédie pour « corriger les vices des hommes en les divertissants » II) Dénoncer par le rire : 1) L’avarice est considéré selon les traditions catholiques

qui ruine le royaume de sa trésorerie et de sa richesse en hommes. Dans l’œuvre L’Avare, Molière dépeint la réalité du péché capital de l’avarice sous une forme comique. Il sera question de l’analyse du caractère autoritaire d’Harpagon et de son avarice ainsi que des conséquences pour lui-même et pour ses enfants au cours du texte suivant. Tout d’abord, les impacts de l’avarice sur les relations sociales du protagoniste seront exposés. Ensuite, le caractère autoritaire causé par la quête ardente

Th de comprendre la valeur de ce qu’on lui donnait ». M.B : les tares des hommes sont souvent liées à la démesure. Lorsque Malcolm dresse son autoportrait à Mac Duff(IV 3) il signale ses penchant au vice mettant la démesure en évidence : luxure, avarice, matérialisme poussé à l’extrême « tout les objets ». En particulier, l’hubris de Mac Beth le conduira à sa perte causée par les sorcières. Elles vont le punir pour sa trop grande confiance. Hécate rappelle aux sorcières « combien sécurité est pour

En second lieu, son avarice lui amène à faire de mauvais choix pour ses enfants. En effet, Harpagon décide des personnes que Cléante et Élise devront épouser sans même tenir compte de l’avis de ses enfants. Après que Cléante et Élise se soient querellés avec leur père à propos des dix mille écus qu’il dit ne pas posséder, Harpagon dit à Élise : « Quant à ton frère, je lui destine une certaine veuve dont ce matin on m’est venu parler; et pour toi, je te donne au seigneur Anselme. » (p.45). Ce comique

la généalogie du péché. Elle peut se traduire par une thésaurisation complète d’argent, sans aucune volonté de le dépenser un jour. À l'extrême limite, l'avare se prive de tout pour ne manquer de rien. Le philosophe grec Théophraste distingue avarice (μικρολογία)2 de radinerie (μικροφιλοτιμία)3 : l'avarice est une épargne excessive ; la radinerie est un manque de prodigalité. Rousseau recommande dans L'Émile de ne pas imiter l'avare : « Ne faites donc pas comme l'avare, qui perd beaucoup pour

la Renaissance. Cet argent mal employé empoisonne les relations familiales. Cléante, à la merci de son emprunteur, obligé d’accepter les conditions exorbitantes du prêt, exprime sa rancœur : « Voilà où les jeunes gens sont réduits par la maudite avarice des pères ; et on s’étonne, après cela, que les fils souhaitent qu’ils meurent.
Cette comédie présente deux séries de personnages opposés par l’argent : * Valère s’oppose à Cléante.
Valère et Cléante appartiennent au groupe des jeunes premiers

l’achèvera. Simmel prend justement garde de distinguer l’avarice de la cupidité au motif que le cupide cherche à gagner de plus en plus d’argent alors que l’avare vénère l’argent comme une personne. Mais il est bien obligé de considérer que cupidité et avarice ont un point commun fondamental : l’argent est pour chacun une fin absolue. Or, comment l’avare pourrait avoir de l’argent si ce n’est en le gagnant d’une façon ou d’une autre ? C’est déjà en ça qu’il en connaît le prix comme Alain le faisait remarquer

inquiet et soupçonneux. Il est anxieux et méfiant. Il suspecte ses enfants de l’épier pour le voler. b) Qu’est-ce que ces préoccupations révèlent du personnage ? Harpagon vient nous confirmer son amour obsessionnel pour l’argent, son avarice ainsi que sa méfiance maladive. c) De quoi se préoccupent ses enfants ? Ses enfants se préoccupent du fait qu’ils veulent se marier d’un mariage d’amour (Élise avec Valère et Cléante avec Marianne) alors qu’Harpagon préfère un mariage