Avarice

le rôle de l’arbitre en H et Cléante. En outre, les coups de théâtre relancent notre attention d’autant plus que pour certains Molière nous y a discrètement préparés : I, 4 - H annonce son intention d’épouser Mariane. (Va de paire avec son avarice) II, 2 - le prêteur de Cléante n’est autre qu’H. (confirme l’obsession du gain d’H) IV, 6 - le vol de la cassette. (menace voilée de La Flèche (I,3)) V, 5 - les reconnaissances miraculeuses d’Anselme et de ses enfants. La pièce se présente

auprès de JulietteIllustration d’Horace CastelliMme Mac’MicheVeuve d’une cinquantaine d’années à l’air dur et repoussant. Elle ne voit personne de peur de se retrouver entraînée dans des dépenses car elle est d’une avarice extrême. Elle est la dernière parente et tutrice de CharlesIllustration de Manon IesselBettyCuisinière, bonne et femme de chambre au service de Madame Mac’Miche, elle se prend d’affection pour le jeune Charles et le protège, comme une

de Shakespeare. Cet argent mal employé empoisonne les relations familiales. Cléante, à la merci de son emprunteur, obligé d’accepter les conditions exorbitantes du prêt, exprime sa rancœur : « Voilà où les jeunes gens sont réduits par la maudite avarice des pères ; et on s’étonne, après cela, que les fils souhaitent qu’ils meurent. » La crudité d’un tel aveu ne relève pas vraiment de la comédie. Prononcé sous l’effet de la colère, il n’en reste pas moins inquiétant. 8 En effet l’intermédiaire

ce que vous avez dit, ce n'est que par mon seul amour que je prétends auprès de vous mériter quelque chose; et, quant aux scrupules que vous avez, votre père lui-même ne prend que trop de soin de vous justifier à tout le monde, et l'excès de son avarice et la manière austère dont il vit avec ses enfants pourraient autoriser des choses plus étranges. Pardonnez-moi, charmante Elise, si j'en parle ainsi devant vous: vous savez que sur ce chapitre on n'en peut pas dire de bien. Mais enfin, si je puis

un palais situé rue Fortunée qu’il meurt ruiné au milieu d’un luxe inouï. Eugénie Grandet (résumé) A Saumur, Félix Grandet ( le père Grandet) s’est constitué, grâce à de nombreuses spéculations foncières, une fortune qui n’a d’égal que son avarice. Il règne en tyran sur son entourage : sa femme, sa fille unique, Eugènie, et sa servante Nanon. Il enferme tout à clé, et rationne toute la maisonnée. Lors de ce jour de Novembre 1819, une fête est organisée pour les vingt-trois ans d’Eugènie. Y

filles et les fait se battre l’une contre l’autre au lieu d’une dans celle-ci. En outre, Dom Juan est marié à Elvire, il a des devoirs d’honneur comme défendre Dom Carlos et ne refuse pas l’hospitalité à la statue. De plus il révèle une certaine avarice et un désintéressement total à la condition sociale de chacune de ses conquêtes (il courtise deux paysannes) ce qui était contraire aux idées de l’époque. Dom juan se livre aussi à certaines pensées philosophiques comme pour son discours sur la médecine

Les articles sont parfois même des réclames déguisées. * Portrait du journaliste médisant et incompétent : Saint Potin critique tous ses confrères, en particulier le patron : Saint Potin est plein de clichés, de préjugés (sur les juifs et leur avarice) * Conclusion Critique sévère du journalisme, qui ne recherche ni la vérité ni l’information véritables : le journaliste est prêt à travestir la réalité (déguiser, trafiquer) pour séduire ses lecteurs, leur donner ce qu’ils attendent et faire

rôle d’Harpagon. De même, le personnage de Picsou, créé par Walt Disney, apparaît dans des dessins animés, des bandes dessinées et des films. Extrêmement apprécié, Picsou représente L’Avare du jeune public. Les scènes comiques déclenchées par son avarice font toujours rire les jeunes et les moins jeunes. A présent, posons-nous une question: de quelle manière faudrait-il réécrire la comédie L’Avare pour la remettre au goût du jour ? Tout d’abord, certains éléments sont obsolètes : la dot n’existe

Poudrier s’impose des conditions de vie misérables puisqu’il juge qu’accroître ses économies est plus important. Or, le comportement de Séraphin n’est pas typique de celui des paysans d’autrefois. D’ailleurs, sa femme Donalda est exaspérée par son avarice. Bref, l’exagération présente dans les descriptions de l’homme de peine et de Séraphin Poudrier font entrave au réalisme de ces deux œuvres. En définitive, on constate que ces deux œuvres décrivent la vie paysanne de façon assez réaliste à l’aide

Peter Saul, ce tableau traduit la réalité de la société américaine. Comment l’artiste voit-il cette société ? Peter Saul porte un jugement négatif sur la société américaine. Selon lui, c’est une société qui comporte plus de défauts (gourmandise, avarice…) que de qualités. Il a une opinion très dure sur cette société qui est pourtant la sienne, peut-être parce qu’elle a fait de lui un artiste marginal, car politiquement incorrect et décalé. En outre, Peter Saul était en désaccord avec la politique