Avec le sourire

vécus auparavant sont remontés. Elle se voit quelques années plus tôt, avec ses parents et ses amis lors de son seizième anniversaire : ils sont sur la plage. Ses parents avaient donné une grande fête à l’occasion de cette journée. Meva revoit le sourire sur les lèvres de tout le monde et même plus, elle se revoit heureuse avec ses amis et sa famille entourés de musique, de cadeaux de joie et d’amour. Elle revoit aussi les bons moments passés avec ses amis. - Je me rappelle encore de la fameuse

qui m'attendait, à l'écart des autres élèves. C'est une fille douce, aux yeux marrons très foncés et aux cheveux bruns. Elle est très simplette, et se nomme Sarah. _ Moi : Salut. (sourire) _ Sarah : Ah, tu es enfin arrivée. Tu es en retard. _ Moi : Je me suis rendormie. _ Sarah : Alors, tu as survécu au sourire ravageur de ton beau Guillaume ? _ Moi : À une minute près, je rougissais. Si ce n'était pas déjà fait. _ Sarah : (petit rire) Il n'y en a pas deux comme toi. _ Moi : Ou plutôt, pas

réfléchir, elle s’élance et court vers ce mystérieux garçon. Son regard étrangement sombre est voilé par des cheveux aussi noirs que le jais. Sa peau est aussi hâlée que celle de Leona et son sourire séduisant dévoile des dents impeccablement blanches. Elle ne le quitte plus des yeux et fond droit sur lui. Un large sourire illumine alors son visage princier, sa chevelure dansant à la cadence de sa course folle. C’est lui, elle en est sûre. C’est lui qu’elle cherche, c’est lui qu’elle aime. Brutalement, la

Voltaire dans ses œuvres. Le texte que j'ai ici étudié est le chapitre 19 du conte philosophique Candide, qui décrit l'arrivée de Candide, le protagoniste, à Surinam. Je vais montrer que si ce texte vise à dénoncer et faire réfléchir, il fait aussi sourire le lecteur. Un texte dénonciateur Dénoncer la banalisation de l'esclavage Candide rencontre à Surinam, le premier esclave qu'il n'ai jamais vu. Lorsque cet esclave explique ces conditions de vie, Candide en est bouleversé : « il versait des larmes

l'armée française. Le général Léopold  Hugo (1773-1828), père de Victor, a combattu en Espagne pendant les guerres napoléoniennes. 2. Analyse de l’œuvre a) Description Le poème est organisé en rimes plates (ou suivies) : Mon père, ce héros au sourire si doux, Suivi d'un seul housard qu'il aimait entre tous Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille, Parcourait à cheval, le soir d'une bataille, Le poème est une évocation  de  la  guerre, comme le prouve son titre, Après la bataille, et les

2. Par notre accueil : L’accueil est un point vraiment important dans ce domaine, il faut toujours accueillir le client avec le sourire, le respect, et montrer toujours un signe de bienvenue pour signifier que nous sommes disponible. 3. Par la force de vente : Toujours aller voir le client, lui proposer nos opérations commerciales, toujours avec le sourire, lui annoncer que nous allons revenir vers lui pour lui montrer qu’on nous sommes à son attention. Grâce à cette photo, j’ai pu mettre

les autres passagers ! (il y avait notamment un autre mec à côté qui observait la scène avec de grands yeux) Elle m’a regardé. Elle a souri de ses jolies dents. Elle est partie A TOUTE VITESSE. Elle a littéralement tourné les talons en continuant à sourire, sans me laisser le temps d’enchaîner, et elle a disparu ! Je me suis senti totalement ridicule… Mais j’étais HEUREUX ! 1 J’AVAIS COMPRIS DEUX VERITES. 1. Les « phrases infaillibles », ça n’existe pas. 2. Les femmes ne mordent pas. Je me suis rendu

première partie , au début de cette rencontre , le narrateur nous fait partagées la peur , l’angoisse de Ariane envers ce vieillard , comme peut nous le montrer « il lui sourit , elle eut un tremblement, baissa les yeux «  ou encore «  Atroce , ce sourire sans dents «  l1-2 , ces citations nous montrer l’angoisse d’Ariane envers ce vieillard. On peut voir aussi qu’Ariane ne veut en aucun cas le contrarier par peur, exemple « Ne pas le contrarier, dire tout ce qu’il voudra, et qu’il parte, mon Dieu

on aurait envie d'aller. A l'autre bout du monde s'il le faut. II te suffirait d'un mot et nous partirions. Il te suffirait d'une caresse et je t'appartiendrais. Tes mains, ton sourire, un endroit à nous deux. Nous deux, seules, dans notre bulle passionnelle, mon amour, de ma vie jamais un visage ne me fit autant sourire, quel bonheur, ta présence... Quelle douceur, ton regard... Quelle folie, mon amour. Oh, emmène moi, où tu veux, peu importe. Tue moi de tes caresses, ma tête ne tourne que par ta

A une femme Que dire une femme, de qui le sourire Rsume une bont capable de faire convenir Lautomne malgr son temps dur. Cur tendre, esprit pur A jamais garde ton beau sourire. Laveu funeste Je suis croyant et convaincu, Que les anges ne paraissent plus. Sauf que ta contemplation me rend mystique. Car la bont de ton cur te rend anglique. Tu es belle, jeune et plaine de joie. Tu es douce, pleine de grce et de foi. Je ferai tout pour que tu tintresses moi. Car ma vie est sombre sans toi. Je parcourrai